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Kubernetes 1.9 apporte le support de Windows Server

Kubernetes 1.9 apporte le support de Windows Server
La version 1.9 de Kubernetes a été livrée et comporte l'API Workloads pour les charges de travail, une nouvelle API de stockage de conteneur (en alpha) et le support de Windows Server (en bêta). Livrée en décembre, la dernière version 1.9 de Kubernetes, le framework d'orchestration de conteneur open source, généralise la disponibilité de l'API Workloads pour les charges de travail, comporte une version alpha d'une nouvelle API de stockage de conteneur et inclut le support en bêta de Windows Server. L'API Workloads généralement disponible en version de production Avec la mise à jour de Kubernetes, l'API Apps Workloads, arrivée en version bêta dans Kubernetes 1.8, passe en version de production. Cette API permet de définir les charges de travail en fonction de leurs comportements, ce qui peut s’avérer fort utile pour les applications ayant besoin de temps d’exécution importants, voire persistants. Quatre API de la version 1 de l'API Apps Workloads accèdent à la disponibilité générale : Related:  Veille technologique

Docker Enterprise Edition intégrera bientôt Google Kubernetes La plateforme de pilotage d'architectures en containers bénéficiera de la technologie d'orchestration open source au premier trimestre 2018. A l'occasion de son événement européen (la Dockercon Europe) qui se tient cette semaine à Copenhague, Docker officialise une nouvelle étape de sa politique produit. L'éditeur de San Francisco prépare l'intégration de Kubernetes à sa plateforme de pilotage d'architectures containérisées. Swarm, son orchestrateur maison, ne sera plus le seul à être proposé avec Docker Enterprise Edition (Docker EE). "Nous allons livrer cette nouvelle possibilité en bêta dans les prochaines semaines, dans l'optique d'une sortie en version finale au premier trimestre 2018", confie Patrick Chanezon, membre de l'équipe technique de Docker. L'API de l'orchestrateur au cœur de Docker La promesse de cette intégration ? "Nous travaillons sur l'intégration de Kubernetes depuis plusieurs mois. Une plateforme Kubernetes pour AWS A lire aussi :

Comment Windows Server embarque Docker Sans surprise, le serveur de Microsoft supporte différemment les containers Docker selon leur format, Windows ou Linux. Le point sur l'architecture retenue dans chaque cas. Microsoft a identifié très tôt la technologie de containérisation promue par Docker. La micro-virtualisation sous le capot Comment Microsoft est-il parvenu à réaliser cette double intégration ? Au format Windows, les containers tournent en exploitant le même processus d'isolation que celui de leur grand frère du monde Linux. Via Hyper-V Containers, "nous donnons aussi la possibilité d'embarquer les containers Windows dans une machine virtuelle Hyper-V classique pour plus de sécurité et de fiabilité", souligne Frédéric Aatz, leader senior du groupe infrastructure et cloud hybride chez Microsoft France. Pour exécuter les containers Linux dans Windows Server, la toute dernière version du serveur d'applications de Microsoft sera nécessaire (la 1709). Le support de Kubernetes Une stratégie en ligne avec Azure

Kubernetes, l'orchestrateur de containers qui passe à l'échelle mondiale Issue de la R&D de Google, l'infrastructure open source peut piloter un cluster de dizaines de milliers de serveurs répartis sur plusieurs clouds, privés comme publics. Dévoilé en juin 2014 et livré en version stable 1.0 un an plus tard, Kubernetes (K8s pour les initiés) est issu d'une quinzaine d'années de R&D chez Google. L'orchestrateur de containers est la récriture en Go du système Borg utilisé par le géant américain en interne. Via cet orchestrateur maison, Google arrête et redémarre pas moins de 2 milliards de containers chaque semaine. Les clouds de Google et AWS compatibles "Le projet open source Kubernetes prône la vision d'un système d'information consolidé sur un seul meta-cluster piloté via un orchestrateur de containers unique. "La version 1.6 du framework peut gérer des clusters de 50 000 machines" Kubernetes est-il vraiment capable de concrétiser cette vision ? Des pods au service de l'architecture "Docker Swarm propose une approche plus packagée" A lire aussi :

Veille Technologique – dylangouzenne.fr Quelle différence entre conteneurisation et virtualisation ? Conteneurs et machines virtuelles permettent de séparer un workload du matériel sous-jacent, mais les deux approches présentent des différences importantes qu’il convient de connaître. Une machine virtuelle (VM – Virtual Machine) « imite » intégralement un serveur. Dans un serveur virtualisé type, chaque VM « invitée » contient un système d’exploitation complet, avec ses pilotes, fichiers binaires ou bibliothèques, ainsi que l’application elle-même. Chaque VM s’exécute alors sur un hyperviseur, qui s’exécute à son tour sur un système d’exploitation hôte, qui lui-même fait fonctionner le matériel du serveur physique. Bien que la méthode ait fait ses preuves, on s’aperçoit aisément que chaque itération du système d’exploitation hôte et des fichiers binaires associés risque d’entraîner des doublons entre les VM ; cela gaspille la mémoire du serveur et limite forcément le nombre de VM prises en charge par chaque serveur.

Docker ajoute Kubernetes à sa plateforme container Afin d'accélérer l'adoption des conteneurs dans l'entreprise, Docker offrira aux administrateurs le choix entre Kubernetes et Swarm. Le fournisseur de conteneurs Docker a annoncé qu'il allait intégrer l’outil d'orchestration open source Kubernetes, offrant aux utilisateurs de sa solution Enterprise Edition le choix entre Kubernetes ou le gestionnaire de cluster maison Swarm. Le fondateur et CTO de Docker, Solomon Hykes, a indiqué à notre confrère d’IDG, à l’occasion de la DockerCon à Copenhague, que la décision était moins une réponse à une forte demande de la communauté, que le fait que, si Docker devait intégrer d’autres gestionnaires, le choix de Kubernetes a du sens. « Il ne s'agit pas tant des communautés mais de la restriction du choix en échange d'une meilleure intégration », a expliqué S. Deux gestionnaires de clusters disponibles L'intégration sera disponible pour les clients via Docker Enterprise Edition (EE). Une prééminence déclarée pour Swarm

Windows Server 2019 disponible en préversion avec un meilleur support de Linux et Kubernetes et des améliorations de sécurité Microsoft a annoncé hier que la prochaine version majeure de Windows Server sera généralement disponible au deuxième semestre de cette année, et dès maintenant vous pouvez tester une préversion de Windows Server 2019 via le programme Insiders. Avec Windows Server 2019, Microsoft supporte mieux les scénarios de cloud hybride, pour répondre au besoin croissant des clients de combiner des environnements on-premises et cloud. En septembre 2017, Microsoft avait déjà annoncé une préversion technologique de son projet Honolulu, une interface Web pour la gestion de Windows et de Windows Server, avec entre autres objectifs de simplifier la connexion des déploiements existants de Windows Server aux services Azure. Avec le projet Honolulu, Windows Server 2019 va faciliter la connexion des logiciels sur site aux services Azure tels qu'Azure Backup, Azure File Sync, la reprise après sinistre et bien plus. Source : Blog Microsoft Et vous ? Lesquelles appréciez-vous le plus ?

Docker intègre Kubernetes Pour son cinquième anniversaire, Docker nous ménage des surprises. Quelques jours après nous avoir avisés du départ prochain de son directeur technique et fondateur Solomon Hykes, le spécialiste du conteneur annonce l’intégration de Kubernetes. Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait une surprise puisque l’éditeur franco-américain avait déjà évoqué cette possibilité à l’automne dernier lors de la DockerCon Europe à Copenhague. La nouvelle version Enterprise Edition (EE) 2.0 n’abandonne toutefois pas l’orchestrateur-maison Swarm. Les deux produits peuvent d’ailleurs opérer simultanément sur le même cluster. « Ainsi les développeurs ne doivent pas choisir le type d’orchestration et les équipes d’exploitation ont la possibilité de choisir des orchestrateurs de manière interchangeable », explique l’éditeur dans un communiqué.

Virtualisation – Les types de connexion au réseau | Administration Réseau I. Présentation Lorsqu’on virtualise des serveurs par l’intermédiaire des machines virtuelles, on les connecte au réseau par l’intermédiaire d’un hyperviseur de niveau 1 et de niveau 2 avec des produits comme VMware Player, VMware Workstation, VMware ESXi, Microsoft Hyper-V, Proxmox, ou encore Oracle Virtualbox. En termes de connexion au réseau, on trouve plusieurs types de connexion au réseau, je dirais même que plusieurs méthodes sont disponibles pour se connecter au réseau de différentes manières. - Bridge - NAT - Host-Only - LAN Segment Maitriser cela est essentiel pour commencer dans la virtualisation et être capable de s’adapter selon la configuration et l’architecture qu’on souhaite obtenir. II. Ce mode est surement le plus utilisé puisqu’il permet de connecter une machine virtuelle directement sur le réseau physique sur lequel est branchée la carte réseau physique de l’hôte. III. IV. V. Le type LAN Segment permet d’isoler des machines sur un LAN virtuel. VI.

Avec Docker EE 2.0, Docker intègre Kubernetes et fait sa révolution L'orchestrateur open source développé par Google est désormais pris en charge par la plateforme de pilotage d'architectures de containers. Un tournant. Docker Inc planche depuis plusieurs mois déjà sur l'intégration de Kubernetes. "D'un coup, Kubernetes bénéficie de tous les avantages de Docker EE", insiste Patrick Chanezon, membre de l'équipe technique de Docker. Techniquement, Docker EE s'adosse néanmoins à Swarm pour faire tourner les grappes Kubernetes. Grâce à Docker EE, il serait même envisageable de piloter les mêmes nœuds successivement via Swarm et Kubernetes. La sécurité comme argument phare Les architectures Kubernetes bénéficieront également des modules de sécurité de Docker EE : Docker Content Trust (pour certifier la qualité des containers) ou encore Docker Security Scanning (pour détecter les vulnérabilités dans les images de container). "Les frameworks orientés serverless et machine learning sont beaucoup plus nombreux dans l'écosystème Kubernetes" A lire aussi

En attendant Windows Server 2019 Windows Server Containers (WSC) et la prise en compte des containers sont sur la voie de la maturité avec Windows Server 2019 et les améliorations apportées à Kubernetes 1.9 constituent une option viable pour les applications d’entreprise tant anciennes que nouvelles. Windows Server se rapproche ainsi de Linux. Tel est le jugement du cabinet Robert Frances Group dans une note d’informations intitulée Windows Server 2019 and Windows Server Containers show Promise. De nouvelles améliorations couplant les améliorations de Kubernetes 1.9 à Windows Server 2019 visent à fournir aux développeurs la possibilité de gérer les conteneurs de manière similaire sur Windows et Linux, et incluent des capacités de segmentation réseau pour sécuriser les conteneurs Windows dans les environnements cloud. Windows Server Containers n’a pas connu une très forte adoption car les outils de gestion et d’orchestration étaient encore immatures. Les différentes versions de Windows Server Windows NT

Docker monte un plan conteneurs avec Kubernetes Swarm n’est plus le seul orchestrateur pris en charge par Docker EE. Kubernetes le rejoint dans la version 2.0 de la plate-forme de gestion de conteneurs. Mes conteneurs, orchestrés avec Swarm, Kubernetes ou les deux ? La question peut désormais se poser pour les utilisateurs de Docker EE* (Enterprise Edition), passé en version 2.0. Cette nouvelle mouture de la plate-forme de gestion de conteneurs concrétise un chantier annoncé en octobre dernier à la Dockercon Europe : l’intégration dudit Kubernetes. L’orchestrateur développé à l’origine par Google – et aujourd’hui hébergé par la Cloud Native Computing Foundation – vient côtoyer celui de Docker, baptisé Swarm. Les outils de développement de Docker deviennent utilisables pour construire des architectures Kubernetes, en l’état sans prise en charge des serveurs Windows. Docker affirme qu’aucune modification d’architecture n’est nécessaire. Crédit logo : Docker

Virtualiser un Mac OS sous Windows - ByB Intro à la virtualisation d’un Mac OS. Vous, oui vous qui rêvez d’avoir un #Mac mais qui avez compris que cela resterait un rêve quand vous avez comparé les prix d’entrées de gamme avec le contenu de votre portefeuille, vous qui êtes tout simplement curieux de découvrir l’univers mystique d’Apple ou vous qui voulaient être polyvalent et maitriser un maximum d’OS (Operating System (Système d’exploitation :p)), et bien aujourd’hui la team ByB va exaucer votre souhait, oui nous vous avons entendu ! Vous allez pouvoir jouir de cette expérience à moindre coût (un petit j’aime sur notre page Fb par exemple) tout en conservant votre système actuel. Tout cela devient possible grâce, à notre travail acharné bien sûr, mais surtout grâce à la virtualisation. Objectif de ce tutoriel. Prérequis pour ce tutoriel La virtualisation Pour commencer, ouvrez Virtual box pour créer une nouvelle machine virtuelle. Ensuite : choisissez (ou non) de créer un disque virtuel. choisissez le type de disque. Et voilà !

Architecture de containers : Docker EE 2.0 se renforce avec Kubernetes Docker EE 2.0 prend en charge Kubernetes, l’orchestrateur le plus utilisé du marché. Cette nouvelle mouture de la plate-forme de gestion de conteneurs constitue un virage stratégique pour la start-up. Selon une étude du fournisseur de solutions de monitoring Sysdig, 43 % des entreprises qui exploitent des conteneurs utilisent Kubernetes, contre 7 % pour Swarm et 9 % pour Mesos (de Mesosphere). En réponse au marché, Docker propose une version 2.0 de Docker EE ( Enterprise Edition) sui supporte désormais l’orchestrateur développé par Google, désormais hébergé par la Cloud Native Computing Foundation. Annoncée à la Dockercon en novembre 2017, cette nouvelle mouture de la plate-forme de gestion de conteneurs constitue un virage stratégique pour la start-up de San Francisco. Swarm et Kubernetes sur un même cluster Aucune modification nécéssaire Docker affirme qu’aucune modification d’architecture n’est nécessaire. Tous les fonctionnalités de Docker EE 2.0 sont détaillés sur le blog maison.

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