Paris, future reine des Civic Tech? Après la Halle Freyssinet, Le Cargo, deux paquebots de l'incubation prévus pour 2016-2017… et si Paris se dotait d'une nouvelle structure à start-up, dédiée au Civic Tech?
C'est l'idée, inspirée du Civic Hall de New York, dont s'est saisie la maire Anne Hidalgo. Dans le JDD, la Maire de Paris prévoit l'ouverture de ce nouvel incubateur citoyen «de plus de 1 000 m2», et «au centre de Paris». Alors que ce sont donc déjà plus de 2 000 start-up qui doivent être accueillies dans les deux structures phares que soutient la Ville, le Civic Hall de Paris devra, lui, héberger les projets qui visent à réinventer la démocratie.
«Le Civic Hall parisien sera un lieu d'innovation, de débat et de diffusion très puissant, connecté à la population », détaille la Maire au JDD. Sur le modèle de la Big Apple qui possède son Civic Hall sur la 5ème Avenue (dans le Top 5 des artères les plus chères, avec l'avenue Montaigne), Paris veut son incubateur citoyen au coeur de la capitale. Quel ROI? Ghosts in the machine. What could go wrong?
Plenty, according to Andrew Lo. He believes the markets may be in for more flash crashes, for example, or for other negative developments about which neither the industry nor regulators currently have a clear understanding. “The nature of these strategies makes them very difficult to understand. That means that the interactions are going to be hard to predict, in the same way that nobody predicted the flash crash of May 6, 2010 – even today we still don’t really understand what happened.”
He also points to the demise of Knight Capital, a major US trader whose software glitch in 2012 caused it US$440m in trading losses and sent it to the brink of bankruptcy: “I don’t think we’ve nearly fixed those kinds of issues, because ultimately you’re dealing with a mismatch between human ability and technology. Technology will not be able to remove the risks inherent in some financial activities, such as making bets on future events.
All in the algorithms AI Over-reliance. Bitcoin Users Reveal More Private Information Than They Realize. Most people think bitcoin is anonymous.
In fact, new technologies trace BTC transactions, attempting to identify bitcoin users. A number of startups have raised money to explore these new possibilities, such as: Given these are private services, an explanation is needed. What Exactly Are These Companies Doing? Most of them are offering a service called clusterization. Clusteriza-what-now? To keep it simple: It means monitoring all transactions on the blockchain. Why Would Anyone Want That? Knowing the source and destination of funds is necessary to fulfill a number regulatory requirements. When dealing with fiat currencies this is typically done in several ways. La situation du bitcoin et de la blockchain inquiète Joi Ito du MIT. Dans un édito sur son blog, Joi Ito met en garde contre les promesses révolutionnaires de la blockchain pour la banque, l’assurance, l’économie du partage, le crowdfunding, etc.
Pour éviter tout conflit d’intérêt avec la Digital Currency Initiative du Media Lab, le directeur du Media Lab du Massachusetts Institute of Technology (MIT) s’est publiquement désengagé des entreprises impliquées dans le bitcoin ou la blockchain, et, le jour même, publiait cet édito que nous reprenons et traduisons avec son aimable autorisation, sous licence CC by 3.0 (nous avons ajouté quelques liens hypertextes pour faciliter la compréhension globale). « J’ai déjà exprimé ma conviction que la blockchain peut potentiellement bouleverser et débloquer autant de possibilités et d’innovation que l’Internet, et qu’elle pourrait devenir un réseau omniprésent, interopérable, fiable et peu cher pour toutes sortes de transactions.
«Je m’inquiète de la situation actuelle du bitcoin et de la blockchain.» Digital Governance. Florent Crivello (@Altimor) Consensus Décentralisé - Blockcha... Louison Dumont, l'adolescent français qu... Démocratie et blockchain : le cas du vote – Blockchain France. Un vote électronique sécurisé et transparent Retrouvez l’intervention de François Dorléans lors de la conférence Big Bang Blockchain François Dorléans, cofondateur et COO de Stratumn, explique comment la blockchain pourrait être utile au vote en ligne.
La blockchain offre un outil de vote sécurisé dont le résultat, transparent, est auditable par tous. Ni l’administrateur du vote ni d’autres individus ne peuvent modifier le vote a posteriori. Au moins trois éléments sont nécessaires pour effectuer un vote sur une blockchain : un actif programmable (le bitcoin est pris comme exemple dans cette présentation), un protocole pour représenter et faire vivre le vote ; et une clé cryptographique, sorte de carte électorale digitale, pour garantir l’identité du votant. Un vote est une transaction critique : celle-ci doit être exécutée rapidement par le réseau. Les projets dédiés au vote sur la blockchain sont encore au stade expérimental. Sur le même thème.
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