Tactiques de l'infanterie romaine. Les tactiques de l'infanterie romaine font référence aux formations, aux déploiements et aux manœuvres de l'infanterie romaine depuis les débuts de la République romaine jusqu'à la fin de l'Empire.
L'armée romaine fut un élément incontournable de la puissance de Rome. L'histoire militaire romaine ne fut pas une suite ininterrompue de victoires, Rome connut des défaites et parfois des désastres militaires. Néanmoins jusqu'au IIIe siècle, elle parvint à maîtriser ses adversaires. Face à de nouveaux adversaires et tiraillée par des tensions internes, l'armée romaine ne parvint pas à s'adapter et l'infanterie lourde, pilier du système militaire romain disparut.
Évolution des tactiques d'infanterie[modifier | modifier le code] Les tactiques et les stratégies militaires romaines évoluèrent de celles d'une petite tribu guerroyant pour une domination locale à des opérations massives englobant un empire de taille continentale. Organisation, commandement et logistique[modifier | modifier le code]
Légion romaine. Ne pas confondre avec la légion d'Antibes, troupe au service du pape au XIXe siècle parfois appelée « légion romaine ».
Pour les articles homonymes, voir Légion. La légion — legio, du verbe legere, lever (une troupe) — est l'unité de base de l'armée romaine de l'époque de la Rome antique jusqu'à la fin de l'Empire romain. Durant douze siècles (de 753 av. Lecon l armee romaine Cecile Bodaert. Les centurions, piliers des légions de Rome - Histoire & Civilisations. Militaires gradés autant qu’administreurs, ils incarnent à la fois la bravoure, la combativité et l’organisation de l’armée qui fit de Rome le cœur de la Méditerranée.
Du champ de bataille au camp militaire, ils menaient une vie à la dure. Mais l’ambition pouvait les mener loin… Contrairement à ce que son nom paraît indiquer, le centurion ne commandait pas 100 hommes, mais un effectif compris entre 60 et 100 soldats – plus souvent 60 que 100, d’ailleurs. Ce chiffre suffit à en faire non pas un sous-officier, comme il est parfois écrit, mais un officier subalterne.
Et il est très généralement admis qu’il joua un rôle essentiel au sein de l’armée romaine. Yann Le BohecProfesseur émérite, université Paris-Sorbonne Cet extrait d’article vous a plu ? L'ordre de marche de l'armée romaine : le témoignage de Flavius Josèphe. La question est traitée par un certain nombre d'écrivains grecs et latins, dans des passages couramment cités par les historiens ; mais l'on ne trouve que rarement étudié le témoignage de Josephe, seulement cité à titre d'exemple, alors que plusieurs extraits de la Guerre des Juifs fournissent des descriptions tout particulièrement détaillées, claires et originales des ordres de marche observés en Judée, et placent ainsi l'auteur parmi les sources anciennes capitales sur le sujet.
I. - Les ordres de marche de la guerre juive. Tactique hellénistique et tactique romaine : le commandement. La possibilité de ses abus, aussi bien dans les cités aristocratiques que dans les démocraties.
Chose curieuse, Garlan passe complètement sous silence le rôle militaire des tyrans5, qui, s'il ne se manifeste guère en Hellade, est essentiel dès le VIe siècle, en Sicile et en Grande Grèce. Il n'accorde que quelques lignes à Alexandre, et parvient à ne pas écrire le nom d'Hannibal. Pour comprendre le rôle du stratège hellénistique6 nous sommes donc obligés de recourir d'une part aux récits de bataille des historiens anciens, d'autre part aux monuments, triomphaux ou funéraires surtout, mais aussi décoratifs comme la fameuse mosaïque de la Casa del Fauno.
Alexandre nous apparaît ainsi essentiellement comme un général de cavalerie : c'est le roi qui mène la charge décisive du Gra- nique, où il met sa vie en danger. Il gagne de la même façon à Issos et à Arbèles, qu'on reconnaît généralement dans la mosaïque pompéienne7. Les mercenaires dans l'Antiquité : proches ou lointains ? Ce matin nous allons faire surgir un monde original et violent, coloré et marginal, le monde des mercenaires.
Les nombreux conflits qui ont ensanglanté l’Afrique depuis les indépendances ont vu surgir un bon nombre de ceux-ci dans la réalité des combats ou dans les fantasmes des combattants. Du côté français, la figure de Bob Denard, qui guerroya notamment au Benin, en Angola, au Zaïre, au Yémen et aux Comores, où il soutint un coup d’Etat, cette figure conserve aujourd’hui encore une notoriété sulfureuse. Et voici que la guerre civile en Libye a fait parler à nouveau des mercenaires, de ceux que Kadhafi est allé chercher au Niger, au Mali, au Tchad ou en Mauritanie. 20 000, 30 000 peut-être.
Ces hommes recrutés à grands frais, ou parfois avec seulement de belles promesses, ont constitué un dernier rempart autour du tyran, à mesure que les troupes loyalistes étaient vaincues ou lui faisaient défaut. L'ARMÉE GRECQUE. I A l'époque homérique Le témoignage des récits homériques Une armée nombreuse, mais sans unité Des équipements disparates Le camp Les opérations militaires Conclusion.
Légionnaire romain. Le légionnaire de l'armée romaine est un citoyen romain qui possède un équipement militaire complet.
Si son équipement est incomplet, c'est un vélite. L'armée romaine est réputée pour sa discipline et sa ténacité, en grande partie obtenues par des récompenses, mais aussi des sanctions parfois très sévères. L'entrainement renouvelé à chaque incorporation annuelle assure une bonne formation militaire. Ces qualités ont permis aux soldats romains de conquérir le monde méditerranéen. L’équipement complet du parfait légionnaire romain. Avec la réforme dite marienne (107 av.
J. -C.), l’équipement s’est standardisé, perfectionné, voire personnalisé, à l’image du bouclier qui pouvait être aux initiales de son utilisateur. Le casque (cassis) Le modèle le plus répandu sous la République fut le « Montefortino » qui se caractérisait par un cône épousant la forme du crâne. Muni d’un imposant garde-joues visant à protéger le visage, il était aussi constitué d’un couvre-nuque et d’un bouton sommital auquel pouvait se fixer une crête.
L'équipement du parfait légionnaire romain [GEO Histoire] by GEO. Le paquetage du légionnaire romain. Le légionnaire était un marcheur.
Un dévoreur d’espace, qui, depuis la réforme du général romain Marius, devait porter lui-même son équipement militaire et son paquetage, les sarcinae. Cette réforme contribua de manière décisive au succès de l’armée romaine, désormais beaucoup moins ralentie par les bagages. Nous vous faisons dans cette vidéo la description du paquetage du légionnaire, ainsi que la façon de le porter, selon nos propres expérimentations. Qui est Jori Avlis ? Composition de la Légion romaine - LEGION VIII AUGUSTA. La première cohorte (à gauche sur le panneau) compte seulement 5 centuries de 160 hommes soit plus de 800 légionnaires. Elle regroupe l’élite de la légion. Les neuf cohortes suivantes, numérotées de II à X ( de gauche à droite sur le panneau), se divisent chacune en 6 centuries de 80 légionnaires.
Un centurion (CT), secondé par un optio (O) commande chaque centurie. Elle possède un tesserarius (T), un signifer (S) et un cornicem (C ). Ces centurions sont les vrais responsables des troupes pendant la bataille et au camp. Le Primus pilus, centurion de la première centurie de la première cohorte (tout à gauche) est le plus élevé en grade et a le privilège de participer aux réunions d’état-major. Le Tesserarius détient le mot de passe. Les sonneries du cornicem (sonneur de cornu) mobilisent les porteurs d’enseigne que les légionnaires suivent immédiatement, aussi bien dans les rassemblements, la marche ou les batailles. L’état-major comprend. Menu de l'Armée romaine. Extrait Archéologia. L'armée romaine - Lugdunum Musée et théâtres romains.
L'armée romaine. La légion romaine, redoutable instrument de conquête. En se modernisant à partir de la fin du IIe siècle av. J. -C., elles sont devenues l’instrument implacable des conquêtes romaines. Des machines de guerre très organisées, constituées de soldats de métier. Rome s’est faite par le glaive. Les techniques de combat dans l'armée romaine.