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Patrimoine et conflits

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En images : ce qu’il reste du site afghan de Bamiyan. Le plasticien français Pascal Convert a séjourné une semaine à Bamiyan, en Afghanistan, au mois de mars, à l’invitation de l’ambassade de France et en compagnie des responsables de la société Iconem, start-up française spécialiste des technologies numériques documentant le patrimoine en danger.

En images : ce qu’il reste du site afghan de Bamiyan

En employant avion, drone et appareils à très haute résolution, il a rapporté des milliers d’images des niches où se dressaient les bouddhas détruits par les talibans en mars 2001, mais aussi des grottes sanctuaires qui ont été également saccagées alors. Guerre et milieux naturels : les forêts meurtries de l'Est de la France, 70 ans après Verdun. Jean-Paul Amat plusieurs années accrurent le rôle dévolu à la carte à grande échelle, qui devint peu à peu un outil déterminant de l'élaboration des plans tactiques.

Guerre et milieux naturels : les forêts meurtries de l'Est de la France, 70 ans après Verdun

Histoire, archéologie, patrimoine culturel. Courte histoire de la forêt domaniale de Verdun depuis 1900 Evolution des surfaces boisées entre 1914 et 1970 Ces deux cartes permettent de prendre la mesure de l'accroissement de la surface boisée depuis la Grande Guerre.

Histoire, archéologie, patrimoine culturel

Les enjeux historiques © ONF Cette carte des vestiges et sites sacrés est à télécharger ci-contre. JP AMAT reçoit le prix Maginot 2015 - Paysages et sites de mémoire de la Grande Guerre : Paysages et sites de mémoire de la Grande Guerre. Jean-Paul AMAT reçoit le prix Sergent Maginot 2015 pour son ouvrage « Les forêts de la Grande Guerre.

JP AMAT reçoit le prix Maginot 2015 - Paysages et sites de mémoire de la Grande Guerre : Paysages et sites de mémoire de la Grande Guerre

Histoire, mémoire, patrimoine ». De la protection à la valorisation du patrimoine dévasté : penser la valorisation des ruines pendant la guerre. 1 - Cet article s’inspire de notre travail de recherche de doctorat de 3e cycle sur les ruines de gue (...) 1Face à l’accumulation des ruines matérielles dans les zones de combats, les questions du dédommagement et de la valorisation de certains vestiges se posèrent vivement dès le début de la Première Guerre mondiale1.

De la protection à la valorisation du patrimoine dévasté : penser la valorisation des ruines pendant la guerre

Les villes et les villages français du front subissaient en effet, depuis le mois d’août 1914, l’avancée et le recul des armées, les combats et les assauts répétés de l’artillerie. Les destructions matérielles qui en résultèrent attestaient de l’efficacité de l’emploi intensif du matériel militaire. La disparition du patrimoine architectural – c’est-à-dire de l’habitat et notamment des formes artistiques et religieuses – devint vite un élément de mobilisation des populations (fig. n°1) (fig. n°2). Figure 1 Anzécourt (Meuse), carte postale, boîte A. Villes guerre. #5 – De l’urbicide à la réparation : le cas de la bibliothèque de Sarajevo.

Posted by urbanites on lundi, mai 18, 2015 · Leave a Comment Nicolas Detry et Vincent Veschambre C’est dans le cadre du conflit en ex-Yougoslavie qu’a été forgé le néologisme « urbicide », pour désigner des destructions visant à l’annihilation de l’urbanité (Chaslin, 1997).

#5 – De l’urbicide à la réparation : le cas de la bibliothèque de Sarajevo

Si le phénomène n’est pas nouveau et a par exemple conduit à parler de « villes martyrs » durant la Première Guerre mondiale, il est apparu particulièrement exacerbé dans le cas de Sarajevo, assiégée pendant près de quatre ans. 2014 Le patrimoine dans la Grande Guerre. Patrimoine commémoratif de la Première Guerre mondiale - La Région Normandie. Beit Beirut - Museum and Urban Cultural Center. Edifié en 1924 par l'architecte libanais Youssef Afandi Aftimos, puis surélevé en 1932 de deux étages supplémentaires par l'architecte Fouad Kozah, l'immeuble dit la « Maison Jaune » ou « Immeuble Barakat » marque de son style néo-ottoman l'angle des rues de Damas et de l'Indépendance.

Beit Beirut - Museum and Urban Cultural Center

La Maison Jaune doit son appellation au grès ocre employé pour sa construction. La Maison Jaune est constituée de deux corps de bâtiment d'habitations bourgeoises, s'élevant sur quatre niveaux plus un toit-terrasse. Sur l'axe central, s'articulent, en profondeur, l'entrée principale de l'immeuble telle une faille à ciel ouvert, la cour avant donnant accès aux escaliers distribuant les logements et le passage sous l'immeuble conduisant à la cour arrière arborée. En façade, les deux corps de bâtiment sont unis entre eux par une colonnade aérienne, ornée de belles ferronneries, s'ouvrant largement sur la ville. Tombouctou ou l'épopée d'un patrimoine en danger - Patrimoines en danger. Aujourd’hui, 40% des manuscrits ont été digitalisés et partiellement analysés.

Tombouctou ou l'épopée d'un patrimoine en danger - Patrimoines en danger.

Si le chemin reste long, nous pouvons rappeler qu’avant l’invasion des djihadistes seuls 5% des manuscrits avaient été traités scientifiquement ou traduits. Le musée de la guerre à Beyrouth, un futur de lieu de mémoire. 6Conflits patrimoniaux. GRAND FORMAT. La villa des époux Ceausescu se visite. C'est une débauche de luxe. Le Palais Primaverii, ou Palais du printemps : c'est le nom de la luxueuse villa des époux Ceausescu à Bucarest.

GRAND FORMAT. La villa des époux Ceausescu se visite. C'est une débauche de luxe

Celle-ci, inscrite désormais au circuit touristique, a ouvert ses portes pour la première fois au public le 12 mars pour une visite exceptionnelle. Ici, le bureau du dictateur, sur une photo fournie par l'AFP. (AFP/DAVID MUNTEAN) Arrivé au pouvoir en 1965, Nicolae Ceausescu est renversé par un soulèvement populaire en décembre 1989. Il est alors exécuté, avec sa femme Elena, à l'issue d'un procès sommaire.

Situé dans l'ancien quartier de la nomenklatura communiste, le palais du Printemps a été bâti entre 1964 et 1965, et décoré au goût du couple Nicolae et Elena Ceausescu. Vue extérieure de la villa signée Augustin Birau. Chambre à coucher. Outre cette salle de cinéma, la villa compte également une piscine intérieure, un bunker souterrain et un jardin où se promènent des paons, relate l'AFP. Détail d'un lustre, sur une photo prise par Augustin Birau. Pourquoi la destruction du patrimoine yéménite passe inaperçue. Il est plus simple de s'insurger contre Daech que de mettre le doigt sur les failles d'une intervention dirigée par un allié de l'Occident: l'Arabie saoudite.

Pourquoi la destruction du patrimoine yéménite passe inaperçue

Le monde entier s’est indigné de la disparition de Palmyre, en Syrie, ou des sites de Hatra ou Nimroud en Irak. Et au Yémen? Qui s'émeut de la destruction de son patrimoine extraordinaire depuis six mois? En mars, une coalition dirigée par l’Arabie saoudite s'est formée pour remettre au pouvoir le président Abd Rabbo Mansour Hadi renversé par l'insurrection Houthis au Yémen.

Depuis, la coalition a lancé une seconde opération aux côtés des forces pro-gouvernementales intitulée «restaurer l'espoir» dans le but de détruire les positions et les infrastructures militaires de ces rebelles de confession zaydite, une variante du chiisme. Fierté nationale. Monténégro : polémique autour d'un projet d'hôtel dans un ex-camp de concentration - Hébergement sur Le Quotidien du Tourisme.

Hébergement Le fort de l'îlot de Mamula construit au XIXe siècle est situé en mer Adriatique, à l'entrée des bouches de Kotor au Monténégro. Durant la Seconde guerre mondiale, l'armée italienne a transformé ce fort en camp de concentration où étaient enfermés plus de 2 000 prisonniers. Les fascistes y ont exécuté 80 détenus et ont laissé 50 autres mourir de faim. Aujourd'hui, le fort tombe en décrépitude. Le gouvernement a donc accordé un bail de 49 ans à la holding helvético-égyptienne Orascom, qui compte y bâtir un hôtel haut de gamme comprenant une discothèque, un spa et un port de plaisance pour un montant de 15 millions d'euros.

L'UNESCO et le pillage du Musée national de Bagdad. Par Judy AïtaRédactrice du "Washington File" New York (Nations unies) - Le directeur général de l'UNESCO, M. Koïchiro Matsuura, s'est entretenu le 30 avril avec le secrétaire général de l'ONU, M. Kofi Annan, et a préconisé l'adoption par le Conseil de sécurité d'une résolution interdisant l'importation et la vente de biens culturels volés en Irak.

M. Le pillage du musée de Bagdad a été encouragé par des soldats américains - NeoGabriel sur LePost.fr (15:39) Retour sur l'actualité de 2003, le pillage du musée de Bagdad Après la réouverture partielle du musée de Bagdad en 2009, et le retour d'une centaine d'antiquités retrouvées, le mystère qui entourre les commanditaires du pillage des plus grands trésors archéologiques babyloniens reste entier... Voir l'article du New York Times du 7 sept 2010 : Jérusalem, une ville divisée chargée de symboles. A la fois capitale de l’Etat d’Israël et ville sainte pour les trois grands monothéismes, Jérusalem cristallise les tensions et les divisions présentes à plus petite échelle (étatique ou régionale).

Pour comprendre les rivalités de pouvoir sur un territoire, fondement de l’approche géopolitique, il faut arriver à cerner les représentations des acteurs. C’est ainsi qu’une analyse géopolitique de Jérusalem devra d’abord se pencher sur la symbolique des lieux, sur ce que le territoire représente pour les différents acteurs, pour ensuite voir quels sont les stratégies et les rapports de force des groupes sur le territoire. Irrc_854_clement_quinio. 094464fo. La destruction par la guerre du patrimoine culturel de la Croatie et de la Bosnie-Herzégovine présenté par la Commission de la culture et de l'éducation. La destruction par la guerre du patrimoine culturel de la Croatie et de la Bosnie-Herzégovine présenté par la Commission de la culture et de l'éducation Rapporteur: M. Jacques Baumel, France, RPR Doc. 6756 Rapport d'information de M.

Baumel par M. I. Colin Kaiser : "L'ex-Yougoslavie était un bon élève de la convention de La Haye…" En décembre 1991, lorsque Dubrovnik a été bombardée, Colin Kaiser était chargé d'y mettre en œuvre les conventions de l'Unesco pour la protection du patrimoine culturel. Il n'a pas cessé, ensuite, de parcourir l'ex-Yougoslavie, avant de devenir, pendant six ans, chef du bureau de l'Unesco à Sarajevo. Kathmandu Edgelands: Brickfields, Horticulture and Urban Hill Villages Post Earthquake. “The Preservation of Architectural Heritage after World War One: Mihajlo Pupin and His Book Serbian Orthodox Church” Zbornik Matice Srpske za Likovne Umetnosti 43 [Matica Srpska Journal for Fine Arts] (2015): 195-210.

11. Igor Borozan, AESTHETICAL SPATIALIZATION OF THE STATE AND CREATION OF NEW : KING PETER’S SQUARE IN NEGOTINИгор Борозан, ЕСТЕТСКО УПРОСТОРАВАЊЕ ДРЖАВЕ И КРЕИРАЊЕ НОВОГ 12. Dijana Metlić, BONNARD AND DEGAS: BATHING SCENES IN PAINTING AND IN PHO. After the earthquake in L’Aquila. For a return to the foundamentals of history of architecture. More than ve years after the disaster, many vicissitudes of the L’Aquila earthquake of 6 April 2009 and the following days have been now widely disclosed. Still in 2010, just one year after the event, a lot of news about the damage to the buildings had already been spread by sources customarily unusual for hi-storians of architecture, that is on the internet from various sites of an institutional nature. Only after did news come out by means of the traditional press, but almost exclusively in the elds of earth science and earthquake and structural engineering. In the following years, on the subject of subsequent earthquakes in Emilia Romagna, Lombardy and Veneto in May 2012, so much was published again re-garding the same disciplines - although star-ting from a lower broader resonance of what happened. .

Research 26 to 27 October 2009), and some of the themes of the cycle of lectures entitled Themes and problems of dating structural. Géographie des conflits. Les lieux de mémoire dans la ville en. Patrimoine commémoratif de la Première Guerre mondiale. Géographie de la ville en guerre - BLOG: La notion d'urbicide : exemples en ex-Yougoslavie. L'urbicide et le spatiocide. Chaslin (François), 1997. Une haine monumentale, essai sur la destruction des villes en ex- Yougoslavie. Chaslin (François), 1997. Une haine monumentale, essai sur la destruction des villes en ex- Yougoslavie. Paris, Descartes et Cie.