Patrimoine Mondial de l'Unesco : le phare de Cordouan en lice en 2018 - France 3 Poitou-Charentes. FRANCE 3 POITOU-CHARENTES "Versailles de la mer", "roi des phares" ou "phares des roi", le phare de Cordouan pourrait faire un pas de plus vers la renommée en devenant Patrimoine Mondial de l'Unesco.
Un dossier de candidature est en cours pour 2018. Chaque année, un seul monument français est retenu pour concourir. C.H Publié le 16/03/2016 | 16:38, mis à jour le 16/03/2016 | 16:47 © MAXPPP Le phare de Cordouan à marée basse. Problem loading page. Patrimonialiser les bases de sous-marins et le Mur de l’Atlantique. 1 - Cet article synthétise des recherches effectuées depuis 2000 dont il reprend en partie deux publi (...) 1Le Mur de l’Atlantique1 qui court de la frontière espagnole jusqu’au nord de la Norvège, est l’un des rares exemples d’un héritage bâti européen partagé puisqu’il concerne, outre la France où se trouve la majeure partie des fortifications réalisées, et l’Allemagne qui en fut le producteur, la Finlande, la Norvège, les Pays-Bas, la Belgique..., soit 1 200 km de côtes fortifiées. 2La construction du « Rempart Atlantique » est engagée dès 1940, avec les défenses du Cap Gris-Nez en France, avant même la signature formelle du cessez-le-feu ; elle se poursuivra jusqu’à la reddition du régime nazi, laissant inachevés des ouvrages importants comme, par exemple, la base de sous-marins de Marseille, pièce importante du « Mur Sud ».
Figure 1 Base de sous-marins de Lorient. Façade du block à 7 alvéoles. 3Dans ce dispositif les bases de sous-marins2 occupent une place particulière (fig. n°1). Mémoire et Patrimoine des Terre Neuvas. 2013 La patrimonialisation des paysages de l’eau dans l’ouest de la France. FIG Saint-Dié-des-Vosges » Le patrimoine maritime bâti des littoraux : élément majeur d'identité et de reconstruction culturelle et sociale des territoires côtiers d'aujourd'hui Télécharger l'intégralité de l'article (41 Ko - rtf) | Résumé Les littoraux français ont connu depuis l’Antiquité une longue histoire maritime qui a entraîné l’édification, au cours des siècles, de nombreux bâtiments, monuments, infrastructures portuaires ou encore éléments flottants.
Petits ou grands, prestigieux ou non, ils ont pour point commun de qualifier les littoraux d’aujourd’hui dans leur spécificité maritime. L’identification et la mise en valeur patrimoniale de ces éléments matériels hérités constituent, au même titre que celles des biens naturels (flore, faune…) ou des biens immatériels liés aux activités maritimes (rites, qualifications techniques, mythes…), des objectifs majeurs à développer dans le cadre des politiques de gestion intégrée des zones côtières, quel que soit le niveau territorial de celles-ci.
Cependant ces héritages maritimes sont menacés. Naviguer dans les contributions : Le rétablissement du caractère maritime du Mont Saint-Michel. Une opération partenariale d’intérêt national Le projet du Mont Saint Michel est né d’un partenariat entre l’État et le Syndicat Mixte pour le rétablissement du caractère maritime du Mont Saint Michel, maître d’ouvrage du projet.
Il a reçu, au niveau national, le concours de l’Agence de l’Eau Seine-Normandie. La Mission Mont Saint Michel, service de la Direction départementale de l’équipement de la Manche, a été chargée de conduire et de coordonner les opérations pour l’ensemble du projet. Afin de protéger et de valoriser ce patrimoine unique de la baie du Mont-Saint-Michel, le Gouvernement français à décidé en mars 1995 d’accompagner le projet par une Opération Grand Site. L’OGS concerne toute la Baie, aussi bien dans sa partie bretonne que normande. Car il ne faut pas oublier que si le Mont-St-Michel est classé au patrimoine de l’Unesco, il l’est à un double titre : patrimoine culturel, le rocher, mais aussi naturel, la baie. Un rôle accru de la région Bilan. Enjeux d’une cartographie du patrimoine côtier du fond du bassin d'Arcachon (Gironde, France)