Cloud computing. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le cloud computing[1], ou l’informatique en nuage ou nuagique ou encore l’infonuagique (au Québec), est l'exploitation de la puissance de calcul ou de stockage de serveurs informatiques distants par l'intermédiaire d'un réseau, généralement Internet. Ces serveurs sont loués à la demande, le plus souvent par tranche d'utilisation selon des critères techniques (puissance, bande passante, etc.) mais également au forfait. Le cloud computing se caractérise par sa grande souplesse : selon le niveau de compétence de l'utilisateur client, il est possible de gérer soi-même son serveur ou de se contenter d'utiliser des applicatifs distants en mode SaaS[2],[3],[4]. Selon la définition du National Institute of Standards and Technology (NIST), le cloud computing est l'accès via un réseau de télécommunications, à la demande et en libre-service, à des ressources informatiques partagées configurables[5].
Terminologie[modifier | modifier le code] C'est quoi le cloud ? Définition simple du cloud computing. C’est quoi le cloud computing ?
Vous ne pouvez pas y échapper, partout on vous parle de cloud. Jusqu’à présent, la notion était confinée à la presse informatique, mais maintenant le cloud est devenu grand public. Depuis quelques temps, on ne parle que de cloud. Mais au fait, c’est quoi le cloud ? Où plutôt, c’est quoi le cloud computing ? Avant de commencer, « cloud » veut dire nuage. Si vous posez cette question à différentes personnes, vous risquez avoir autant de réponse que d’interlocuteurs. » Cloud computing is a model for enabling ubiquitous, convenient, on-demand network access to a shared pool of configurable computing resources (e.g., networks, servers, storage, applications, and services) that can be rapidly provisioned and released with minimal management effort or service provider interaction.
On pourrait résumer de cette manière : « le cloud computing c’est de pouvoir utiliser des ressources informatiques sans les posséder ». Un exemple pour comprendre chez Microsoft : Comparatif : 5 solutions d'archivage en mode cloud. Alternatives à l'archivage sur bandes magnétiques, les prestataires de cloud proposent des solutions de stockage de données "froides" ou "tièdes".
Avec des contraintes et des tarifs très différents. Le cloud fournit une alternative aux services d'archivage froid qui reposent généralement sur des supports physiques comme les bandes magnétiques. A l'image de Glacier, l'offre d'Amazon Web Services (AWS) qui a ouvert ce marché en 2012, les solutions d'archivage en mode cloud sont conçues pour des conservations sur de longues périodes - 5, 10, 20 ou 50 ans - et pour des extractions peu fréquentes. Des données dites froides que l'on pousse et retire qu'exceptionnellement. Le taux de disponibilité, cher aux autres services cloud, disparaît au profit d'un niveau de durabilité et de multiples réplications de données dans les data centers d'une même région ou de régions différentes. "Plus une donnée est froide, moins son archivage revient cher" Le Centre Hospitalier de Pont-Saint-Esprit bâtit son PCA avec DataCore SANsymphony.
Le centre hospitalier de Pont-Saint-Esprit est une petite structure située au Nord d’Orange, à la jonction de l’Ardèche et du Rhône.
Cet établissement à taille humaine ne dispose pas de service d’imagerie, d’IRM, de scanner ou autres applications particulièrement gourmandes en termes de capacité de stockage (ces systèmes sont l’apanage du centre hospitalier de Bagnols sur Cèze, à une dizaine de kilomètres plus au Sud, qui s’appuie sur une infrastructure de stockage EMC, et du CHU de Nîmes). Il doit toutefois gérer un nombre important d’utilisateurs rattachés aux différentes entités gérées par le système IT central de l’établissement qui comprend : le Centre Hospitalier principal à Pont-Saint-Esprit, 3 maisons de retraites ainsi que de son Centre Local d’Information et de Coordination.
Environ 450 utilisateurs différents (médecins, aides-soignants, psychologues ou employés administratifs) – ont ainsi besoin de services performants, fiables et accessibles à tout moment. Selon M. Le nuage a un effet positif sur le bénéfice d'Alphabet, Intel et Microsoft. C'est surtout Microsoft qui a vu ses activités 'cloud' progresser avec de nouveaux clients pour Azure, qui a quasiment doublé son chiffre d'affaires.
Le trimestre dernier, le chiffre d'affaires global de Microsoft s'est établi à quelque 24,1 milliards de dollars. Quant à Intel, elle a gagné 7 pour cent. Son chiffre d'affaires a crû à 59,4 milliards de dollars, notamment grâce à la vente de processeurs pour les serveurs des centres de données. Il ne s'agit pas là d'un service purement 'cloud', mais des machines sur lesquelles s'articule le nuage dans son ensemble.