Les mécanismes de la mémoire (vidéo) Biais émotionnel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Un biais émotionnel est un phénomène psychologique lié aux émotions. Il consiste en une distorsion de la connaissance et de la décision en raison de facteurs émotionnels. Il se présente comme une réaction émotionnelle inadaptée à la situation et pouvant perturber la prise de décision. Il peut venir de l'individu lui-même, ou être un effet de la relation interpersonnelle, ou encore être conditionné par un effet de groupe. Une personne sujette à un tel biais sera généralement encline : à croire quelque chose qui a un effet émotionnel positif, qui donne un sentiment agréable, même s'il existe des preuves rationnels contraire.à être réticente à accepter des réalités désagréables et donne une souffrance mentale, ou est une idée dérangeante car lié à une idée de souffrance : qui peut elle-même être conditionné par d'autre effet ou biais. Les effets des biais émotionnels[modifier | modifier le code] Biais cognitif.
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Un biais cognitif est un schéma de pensée, cause de déviation du jugement. Le terme biais fait référence à une déviation systématique par rapport à la réalité. L'étude des biais cognitifs fait l'objet de nombreux travaux en psychologie cognitive, en psychologie sociale et plus généralement dans les sciences cognitives.
Biais de jugement. Biais mnésiques. Biais sensitivo-moteurs (illusions) Biais de raisonnement. Théorème du singe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le théorème du singe est un exemple d'« histoire enseignement », une historiette présentée sur le mode narratif, non nécessairement véridique, dont la morale permet d'enseigner ou d'expliciter un phénomène. Ici, le théorème du singe est utilisé pour mettre en valeur le fonctionnement du conditionnement mental. Effet Hawthorne.
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L'effet Hawthorne ou expérience Hawthorne, décrit la situation dans laquelle les résultats d'une expérience ne sont pas dus aux facteurs expérimentaux mais au fait que les sujets ont conscience de participer à une expérience dans laquelle ils sont testés, ce qui se traduit généralement par une plus grande motivation. Cet effet tire son nom des études de sociologie du travail menées par Elton Mayo, Fritz Roethlisberger et William Dickson dans l'usine Western Electric de Cicero, la Hawthorne Works, près de Chicago de 1924 à 1932.
Effet Pygmalion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
En pédagogie, l'effet Pygmalion (parfois nommé effet Rosenthal & Jacobson) est une prophétie autoréalisatrice qui désigne l'influence d'hypothèses sur l'évolution scolaire d'un élève et sur les aptitudes de celui-ci. Le problème est d'importance, car si les enfants des milieux défavorisés réussissent moins bien à l'école que les enfants des milieux favorisés, la cause pourrait ne pas être uniquement liée aux carences de ces enfants et de leurs milieux.
Principe de Peter. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le principe de Peter, également appelé « syndrome de la promotion Focus », est une loi empirique relative aux organisations hiérarchiques proposée par Laurence J. Peter et Raymond Hull dans l'ouvrage Le Principe de Peter (1970)[1]. Selon ce principe, « dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence » avec le corollaire qu'« Avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité. » L'ouvrage de Peter et Hull est rédigé sur un ton satirique mais le principe qu'il expose a fait l'objet d'études universitaires étudiant sa validité par la modélisation ou par la confrontation à des cas réels, certaines concluant à sa validité complète ou partielle.
Présentation de la thèse[modifier | modifier le code] Explication du principe[modifier | modifier le code] Loi de Parkinson. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La loi de Parkinson pose que tout travail au sein d'une administration augmente jusqu’à occuper entièrement le temps qui lui est affecté. Elle concerne en particulier la multiplication inéluctable des fonctionnaires, et a d’abord été publiée par Cyril Northcote Parkinson le 19 novembre 1955 dans un article publié dans la revue The Economist et reprise ensuite avec neuf autres articles du même auteur dans un ouvrage intitulé Parkinson’s Law And Other Studies In Administration aux éditions The Riverside Press, en 1957.
Cet ouvrage a été traduit en français par J. Villehouverte en 1958, sous le titre 1=2, ou les Principes de Mr. Plafond de verre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Plafond. Exemples dans le monde[modifier | modifier le code] Les militantes du groupe La Barbe « remettent en cause le plafond de verre qui cantonne les femmes, et même les plus brillantes, à des positions subalternes »[7]. On peut aussi considérer la discrimination cachée envers les personnes issues de la "diversité", ou encore les handicapés. Dans l'entreprise, le plafond de verre peut prendre des formes diverses : notamment le diplôme d'origine (grandes écoles contre université, telle grande école réputée contre d'autres grandes écoles), appartenance à un cercle, à une obédience ou loge ou encore un parti politique.
Le plafond de verre peut être très localisé, un corporatisme, un cercle d'ami régionaux, être de la bonne vallée, etc.