Tati, 400 emplois menacés, merci Macron ! À nouveau, les salariés de TATI se sont mis en grève.
La loi Macron, nouvelle brique qui éloigne les salariés des prud’hommes - Page 2. CICE : 24 grandes entreprises ont touché 1,6 milliard d'euros en 2014. Plus de 20 milliards d'euros ont été distribués aux sociétés tricolores sous forme de Crédit d'Impôt Compétitivité Emploi l'an dernier.
Le secret est de moins en moins honteux mais il n'en reste pas moins bien gardé. Alors que l'an passé seules 16 entreprises sur 49 sollicitées avaient accepté de communiquer au JDN le montant du Crédit d'Impôt Compétitivité Emploi (CICE) qui leur avait été accordé en 2013, elles sont cette année 24 sur 50 à avoir répondu favorablement à nos incessantes relances. Etonnamment, certaines n'ont pas souhaité actualiser les données transmises l'année dernière : Auchan, EDF, Sanofi et Veolia Environnement. Résultat des courses : les 24 grands groupes qui ont joué le jeu de la transparence ont bénéficié en 2014 de 1,6 milliard d'euros sous forme de Crédit d'Impôt Compétitivité Emploi. Petit rappel : le CICE existe depuis le 1er janvier 2013. 24 entreprises se partagent 7,9% du montant total du Crédit d'Impôt Compétitivité Emploi en 2014.
Trop lourd, le Code du travail ? Pour accéder à tous nos contenus, vous devez être abonné… L’abonnement c’est maintenant !
(et c’est très simple) Grâce aux Abonnés Modestes et Géniaux, une partie du site reste accessible à tout le monde : certains nouveaux contenus sont en accès libre, l’accès aux archives des émissions (créé par un auditeur en 2003) reste gratuit, de même que l’espace réservé aux Repaires de Là-bas, sur lesquels nous comptons beaucoup dans cette nouvelle aventure. Mais l’information a un prix, celui de se donner les moyens de réaliser des émissions et des reportages de qualité.
Antik311 couleurs. O. Besancenot face à la nouvelle loi Macron. Par le bout des sinus. J’appartiens à une espèce archaïque que la nature a mis deux cent mille ans à sélectionner.
Homo sapiens. Pur jus. Je n’arrive donc à pas à m’adapter aux conditions de vie moderne du poisson panné, des barquettes de betteraves et de la momie de Ramsès II. Ceux-là parviennent à jouir sans entrave de l’air conditionné, nouvel environnement surgi il y a tout juste un instant. Pas moi. Me voici donc contraint à une pause enfermée, dès mon retour de Bruxelles. Je ne pourrai pas me trouver à Montpellier où triomphera ma thèse politique de l’union de l’opposition de gauche. Macron ose souiller la bourse du travail, ça ne peut pas passer sans réaction. Le ministre de l'économie, qui a grand ouvert le robinet des licenciements par sa loi Macron, et qui nous prépare la casse du droit du travail, a osé vanter les bourses du travail sur la scène de la bourse du travail de Lyon, lors d'une confėrence des journées économiques (JÉCO).
Il a réussi à éviter un comité d'accueil de 400 personnes de la CGT et autres, qui l'attendait en chantant "sans chemise, sans pantalon", mais il n'a pu éviter la contestation dans la salle. Depuis des années j'assiste au Jéco. D'ailleurs c'est en réaction à la réponse que m'avait donné Mme Parisot (patronne du Medef en 2011) sur la TVA "sociale" que j'ai écris une contre mesure pour sauver la Sécu : travail Assister au Jeco est gratuit, mais il faut s'inscrire à l'avance, je me suis donc inscrite en aout, et aujourd'hui, contrairement au manifestants, j'ai pu rentrer en montrant patte blanche.
Emmanuel macron, l'homme qui voulut un roi. « Je » et « Nous » : Nous est un autre : il est dans le « je » avec les autres… Ces gens de pouvoir qui, assez paradoxalement, veulent un Roi (sans doute pour mieux les protéger), et dont l’esprit est servile, ne supportent plus le peuple… Ils sévissent partout aujourd’hui...
Au sein des partis politiques, ailleurs, et parfois même aussi au sein des associations... Le culte du "Roi Soleil" et des fastes de Versailles a la vie dure… Et le Palais de Versailles est encore chargé de symbole car si jadis c’était le lieu où le Roi et les puissants du Royaume (la Cour) gouvernaient contre le peuple, même aujourd’hui encore c’est le lieu où l’on réunit le Congrès contre le peuple, puisque c’est là que notre Parlement adopte toutes les révisions de notre Constitution qui veulent éviter le recours au peuple, comme ce fut le cas en 2008 pour l’adoption du Traité de Lisbonne, après le rejet du TCE le 29 mai 2005. La loi Macron plafonne un peu plus les indemnités pour licenciement abusif. Dans la foulée de l'ANI, la loi Macron veut faciliter les licenciements collectifs.
Valls à Berlin : "On n'en est pas à la 1e faute politique du gouvernement" Loi Rebsamen : grande braderie des droits des salariéEs. LCP sur Twitter : "#LoiMacron - Qui composera la CMP ? Un accord est-il possible ? Réponse >> cc @maxenceka.
[LE PÉDAGO] Loi Macron : les enjeux de la commission mixte paritaire. Les sénateurs ont adopté mardi, en première lecture, le projet de loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques.
Le texte, profondément amendé, s’écarte largement de la version de l’Assemblée nationale, adoptée sans vote en février. Prochaine étape ? La réunion d’une commission mixte paritaire (CMP), composée de sept députés et sept sénateurs et chargée de trouver un compromis entre la loi Macron "version Sénat" et celle de l’Assemblée. Le projet Macron par Gérard Filoche. DANS LE DIPLO D'AVRIL. Emmanuel Macron, le 13 mars 2015 dans le documentaire Quelle Catastrophe !
Sur la BBC Martine BULARD : Loi MACRON, le choix du « toujours moins »Déroute aux élections départementales, progrès de l’extrême droite, montée du chômage, rien ne calme les ardeurs libérales du président François Hollande et de son gouvernement. La loi Macron impose en catimini l’enfouissement des déchets nucléaires. Ça s’en va et ça revient… Dans la nuit de vendredi à samedi 18 avril, ce n’est pas la partition de Claude François que les sénateurs ont repris, mais une autre ritournelle désormais bien connue du gouvernement Valls : l’introduction d’un amendement favorisant l’ouverture du projet Cigéo, centre d’enfouissement de déchets nucléaires, dans une loi présentée au vote des parlementaires.
Une première tentative avait déjà eu lieu en juin 2014 dans la loi de transition énergétique puis une deuxième en novembre dans la préparation de la loi Macron. Elles avaient échoué, avec retrait des textes de loi. Si la (ré-)introduction de cette disposition dans la loi Macron finit par ne plus être une « surprise », elle se fait chaque fois un peu plus par effraction. Cette fois, c’est à cinq heures du matin, dans la nuit de vendredi à samedi, après l’examen de 220 amendements tout au long de la journée et de la nuit, que les sénateurs ont adopté le fameux amendement. MACRON SOUHAITE QUE LES JEUNES DEVIENNENT MILLIARDAIRES...! CONTRE LA LOI MACRON : HAUT LES COEURS, ON VIT ET ON SE BAT AU PLUS HAUT DE SOI...!
Les grandes choses viennent au monde sur des pattes de mésange.
La gauche anti-austérité unie contre le « liberal killer » Macron. Pour bâillonner les salariés, Rebsamen s'attaque aux droits syndicaux. Le projet de loi du gouvernement sur le « dialogue social » prépare un affaiblissement de la représentation du personnel dans les entreprises. Particulièrement visé, le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) et, avec lui, la protection de la santé des salariés. S'il fallait une raison supplémentaire de se mobiliser dès ce jeudi 9 avril, les salariés qui l'ont d'ores et déjà prévu (et tous les autres) en ont une : le projet de loi sur le « dialogue social » concocté par le ministère du Travail.
Le 21 janvier dernier, patronat et syndicats se séparaient sans avoir pu conclure d'accord sur la question. Les droits des salariés dans le viseur patronal et gouvernemental. Alors que la négociation sur la modernisation du dialogue social s’est soldée par un échec au mois de janvier, la CGT, FO et la CFE-CGC refusant de signer le texte patronal, le gouvernement reprend la main sur cette réforme à haut risque. Le premier ministre, Manuel Valls, reçoit les organisations syndicales et patronales mercredi dans le but d’élaborer une « loi travail », qui pourrait abonder dans le sens du Medef de fusionner les instances représentatives du personnel – IRP – (délégués du personnel – DP –, comité d’entreprise – CE –, comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail – CHSCT) en un conseil d’entreprise.
La perspective d’un possible laminage des droits et prérogatives de ces instances est sur la table, l’année même où les comités d’entreprise, nés le 22 février 1945, fêtent leurs soixante-dix ans. Menacé, le CE n’a pas encore passé l’arme à gauche malgré les attaques incessantes du patronat. Les CE arrivent à stopper des procédures de licenciement. Loi Macron : pour les sénateurs communistes, "la bataille continue au Sénat" Licenciement économique: six mesures de la loi Macron qui ont pu vous échapper. Cécile Duflot s'oppose au « grand bond en arrière » que représente la loi Macron. Pour ne plus perdre sa vie à la gagner.
Cliquez ici pour signer la pétition en ligne Affaiblir les droits collectifs des travailleurs La négociation collective engagée depuis septembre, à la demande du gouvernement, autour d’un projet de réforme des seuils sociaux s’affiche comme visant à « faciliter la vie des entreprises et les aider à embaucher ».
Celle-ci se révèle en fait l’occasion d’une attaque en règle du patronat qui veut limiter toute possibilité de représentation du personnel dans les entreprises de moins de 50 salariés et faire table rase des droits existants au-delà, en invoquant une instance unique aux missions vagues et dépossédée des principales prérogatives des IRP actuelles. Prison pour les lanceurs d’alerte, syndicalistes et journalistes, impunité pour la finance ? « L’introduction de la notion de secret des affaires consacre le fait que le droit des actionnaires prime sur celui des salariés et de la société toute entière », affirment les signataires de ce texte, lanceurs d'alerte comme Hervé Falciani et Stéphanie Gibaud, journalistes, juristes, syndicalistes...
Lors des débats sur le projet de loi Macron, la notion de secret des affaires a été introduite à l’article 64. Cet amendement prévoit de punir d’une peine de trois ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende quiconque prend connaissance de, révèle sans autorisation ou détourne toute information protégée au titre du secret des affaires. Avec la loi Macron, la mise en pièces du droit du travail se poursuit. Gérard Filoche sur la loi Macron - Là-Bas Hebdo. La loi Macron : l'environnement passe à la trappe. Travail dominical, transports, prud’homme, logement, environnement... le projet de loi Macron ressemble à une foire (d’empoigne) : il y a de tout... Mais au nom de la croissance, que cette loi est censée favoriser alors qu’elle vise essentiellement à affaiblir les diverses protections des droits des travailleurs et de l’environnement, tout est permis.
En tous cas, la pilule, même amère, a du mal à passer. Face à l’hostilité d’une large partie des députés, le gouvernement a décidé de recourir mardi 17 février après-midi à l’article 49-3 de la Constitution. Celui-ci oblige les députés à accepter un texte ou à renverser le gouvernement. En ce qui concerne les dispositions relatives à l’environnement, les associations regrettaient de n’avoir pas les moyens de monter au créneau. « C’est le gros problème de ces lois fourre-tout : elles touchent à cinquante mille sujets. . - Emmanuel Macron - Résultat, le texte devrait être voté sans enthousiasme mais sans remous par la majorité PS. Pour une motion de censure des députés progressistes. À la suite du choix de Manuel Valls d'avoir recours à l'article 49-3 pour éviter tout risque de vote contre la loi Macron, plusieurs députés de gauche ont annoncé leur souhait de voter la motion de censure déposée par l'UMP et l'UDI.
Afin de se distinguer de la démarche de la droite, ils expliquent les raisons de ce choix dans ce texte que nous publions ici, qui prend la forme d'une motion de censure alternative qui ne sera jamais déposée (il faut un minimum de 58 députés signataires). Ce que prévoit (ou pas) la future loi Macron. Le gouvernement devrait user de l'article 49-3 pour faire passer cette loi fourre-tout, refusée par une partie de sa majorité.
Résumé des 300 articles de ce texte polémique. Monsieur Macron, votre société idéale n’est pas la nôtre ! Avec sa loi, le ministre de l’économie veut ramener la France au XIXe siècle. Appel contre la loi Macron.