Modification des règles de la présidentielle : EELV dénonce un hold-up démocratique. Les modifications des règles applicables à l’élection présidentielle ne constituent en rien une quelconque «modernisation». Il s’agit au contraire d’un verrouillage en règle du système par la loi du plus fort et une atteinte au pluralisme démocratique pour un temps de la vie politique très suivi par les français. Ainsi le principe des cinq semaines d’égalité du temps de parole entre les candidats est supprimé pour un principe d’«équité» pendant la période dite «intermédiaire» dont le calcul s’établira à partir de la représentativité des candidats et des précédents scores électoraux. Cette disposition affaiblira naturellement les candidats éventuellement issus de la société civile et hors du système des partis dit de gouvernement.
Cette règle donnera en revanche un boulevard au parti d’extrême droite et cantonnera le débat dans un huis clos à trois (LR, PS et FN) qui verrouillera toujours plus notre démocratie. Julien Bayou et Sandrine Rousseau, porte-parole nationaux. Vous êtes 100 000 ! Et si tout commençait ? Mise à jour sur la pétition 5 avr. 2016 — 142 députés s'y sont opposés, 299 voix pour. Malheureusement la loi a été votée, à 12 voix près (Il s'agit d'une loi organique, il fallait donc une majorité absolue.) Vous êtes plus de 100 000 à dire que vous voulez pourtant une #PrésidentielleOuverte. Hier matin, avant le vote, nous avons été remettre la pétition à l’Assemblée Nationale à Elisabeth Pochon, rapporteur de la loi. Portés par vous, on s’était mis à espérer. Nous sentons pourtant que demain commence maintenant. Rien n’est plus puissant qu’une idée dont l’heure est venue disait Victor Hugo. Votre heure est venue, et dans le fond, malgré ce vote, vous le savez. Nous tenions à remercier de tout notre coeur les mouvements civic tech qui nous ont soutenus.
Se lance. Se concentre sur l’autre élection essentielle de 2017 : les législatives. Fait de nous des citoyens éclairés et veut nous réconcilier avec la politique. Présidentielle. L’exécutif veut enterrer le pluralisme. François Hollande sera peut-être un jour reconnaissable au fait qu’il ose tout. Sa majorité veut faire voter, demain à l’Assemblée nationale, un texte qui lui permettra de verrouiller toujours plus l’échéance de 2017. Baptisé « loi de modernisation des règles applicables à l’élection présidentielle », le projet vise à remplacer l’égalité du temps de parole entre les candidats par un « principe d’équité ». Cette modification concerne la « période intermédiaire », qui s’étend sur trois semaines, de la publication de la liste des candidats à l’ouverture de la campagne officielle, qui ne dure que deux semaines avant le premier tour.
Encore une fois, la « modernité » a ici bon dos, et cache mal un véritable loup au cœur du projet. . « C’est un nouveau coup porté au pluralisme », s’est indigné le PCF, dont les parlementaires rejettent en bloc la réforme. Ils ne sont pas les seuls. Valls rangé derrière Hollande. 4 jours pour défendre une #PrésidentielleOuverte. Mise à jour sur la pétition 1 avr. 2016 — 4 jours. Il nous reste 4 jours pour défendre une #PrésidentielleOuverte Vous avez envie d’entendre de nouvelles idées ? Vous êtes un(e) citoyen(ne) qui rêve de retrouver l’envie de l’engagement? Vous êtes le succès de cette pétition.
Non au projet de loi de modernisation de l'élection présidentielle #PrésidentielleOuverte. Cheminade: "Urvoas veut verrouiller l'élection présidentielle!" Non au hold-up sur l'élection présidentielle ! Nous vous invitons à signer cette pétition contre deux propositions de loi introduites fin octobre 2015 par le président de la Commission des lois de l’Assemblée nationale, le député socialiste Jean-Jacques Urvoas, visant la « modernisation des règles applicables à l’élection présidentielle ». Par cette pétition, nous soussignés, souhaitons protester contre les conséquences néfastes de ces propositions qui aboutiraient à fermer le jeu républicain que la dynamique d’une élection présidentielle est censée ouvrir.
En cas d’adoption, sous couvert d’empêcher l’émergence de « candidatures farfelues », ces mesures livreront le pays au régime des partis, à l’opposé de l’esprit d’ouverture qui animait les fondateurs de la Ve République, pour qui il s’agissait du rendez-vous d’un homme avec le peuple français. 1) M. Urvoas rapporte sur son blog que « les contraintes imposées aux médias sont mal vécues ». 2) La nouvelle loi (chap.
La nouvelle loi (chap. 4) La nouvelle loi (chap. Non au hold-up sur la présidentielle, non à la loi Urvoas !