Inde : des dizaines de milliers de femmes forment une chaîne humaine pour défendre leur droit à entrer dans un temple hindou. Le Kerala est devenu le théâtre d'une féroce confrontation entre traditionalistes hindous et partisans de la décision de la Cour suprême rendue en septembre.
Leur manifestation a été baptisée le "Mur des femmes". Des dizaines de milliers de femmes ont formé une chaîne humaine à travers le Kerala, un Etat du sud de l'Inde, mardi 1er janvier, afin d'afficher leur soutien à la décision de justice levant l'interdiction qui était faite à certaines d'entre elles d'entrer dans un temple hindou. Genre-et-ville. Ces hommes qui ne partagent pas la rue. Nantes : un panneau divisant une rue en deux avec les hommes d'un côté et les femmes de l'autre choque des internautes. Il s’agit d’un "happening dans la cadre de la Journée internationale pour l’élimination de la violences faite aux femmes", le 25 novembre, a expliqué la mairie de Nantes à franceinfo.
Surprise et incompréhension. Des nombreux internautes ont été pris de court, jeudi 23 novembre, par un panneau installé dans une rue de Nantes demandant aux hommes de se déplacer du côté gauche et les femmes du côté droit. Des villes viriles. La vidéo de l'étudiante russe versant de la javel sur des hommes serait un fake. Ce féminisme "extrême" ne serait en réalité qu’une mise en scène. (© YouTube - Capture d’écran) Le 25 septembre dernier, Anna Dovgalyuk postait sur sa chaîne YouTube une vidéo qu’elle a qualifiée de "manifeste contre le manspreading".
Elle mettait en scène Maria Rein, une amie mannequin, déversant un mélange à l’eau de javel sur l’entrejambe d’hommes pris en flagrant délit de manspreading dans le métro de Saint-Pétersbourg. La vidéo a connu un retentissement international et a été relayée par de très nombreux médias français comme internationaux, déclenchant dans le même temps la haine des internautes. Des soupçons de mise en scène Au moment de la publication de cette vidéo, Anna Dovgalyuk était déjà soupçonnée d’avoir mis en scène cette opération de happening dans le but de discréditer le mouvement féministe en suscitant de violentes réactions en commentaires de sa vidéo. Un nouveau rebondissement À voir aussi sur Konbini This video file cannot be played. How Do Homeless Women Cope With Their Periods? Pourquoi les rues françaises ne portent presque pas de noms de femmes.
Quand la géographie questionne la place des femmes et des hommes, le monde n'est plus le même ! « La ville est faite par et pour les hommes » Une nuit avec le Samusocial de Paris. Picots, douches, bancs : le mobilier urbain anti-sdf. Et tout le monde s'en fout #SPÉCIAL SAMU SOCIAL - Les femmes sans-abri - Deux élues proposent que chaque commune baptise une rue du nom d'une femme. "Le constat est sans appel : 6%, c'est la proportion que l'Histoire a laissée aux femmes illustres pour la dénomination de nos rues.
" Partant de ce constat, deux centristes, la députée Sophie Auconie et la sénatrice Annick Billon, ont proposé mercredi 22 novembre "que chaque commune de France s'engage en faveur de l'égalité sur l'espace public en baptisant du nom d'une femme, une rue". How can we go to the bathroom? (An investigation of potty politics) Comment lutter contre le manspreading. Eva Kail Interview - #Episode1. Top 3 des excuses sur le manspreading. Une sénatrice allaite son bébé au Parlement australien. How Being In Public Feels: Men VS Women. Toilettes non-genrées : où en est-on en France ? Perspectives et Réalités de l'espace public. Avides de Recherche #9 : Des voitures de métro réservées aux femmes, une réponse au harcèlement ?
Marre de la queue aux toilettes des femmes : ça pourrait changer si... Corée du Sud: Le métro réservé aux femmes se heurte à une forte opposition. [liens en anglais sauf mention contraire] Le métro est l'un des moyens les plus rapides, les plus sûrs et les plus pratiques de se déplacer dans les rues bondées de Séoul, la capitale sud-coréenne.
Face à la recrudescence des harcèlements sexuels dans le métro, surtout en heure de pointe et tard le soir, les autorités municipales de Séoul ont décidé de mettre en place des compartiments exclusivement réservés aux femmes afin de réduire le taux de délits sexuels, une décision qui a engendré un débat acharné sur la Toile. « La ville durable creuse les inégalités » Dès qu’on adopte les lunettes du genre pour étudier la ville, celle-ci apparaît inégalitaire entre femmes et hommes.
Et la ville durable ne ferait qu’empirer les choses, selon l’analyse du géographe Yves Raibaud. Mapping the Sexism of Street Names in Major Cities. A lot of things are named after people: food, theories, diseases, and among the most common, streets.
Martin Luther King Jr. alone has more than 900 streets named after him throughout the U.S. Then there are several streets named after presidents like George Washington, scientists like Isaac Newton, and other historical figures. But there’s a glaring problem with how streets get named: few memorialize women. A new interactive map from Mapbox developer Aruna Sankaranarayanan and her colleagues shows just how scarce female streets are in major cities around the world.
The group mapped seven cities: London, Paris, San Francisco, Mumbai, New Delhi, Chennai, and Bangalore. The gender gap made headlines in August when a feminist group in Paris renamed 60 streets in honor of women. Arabie Saoudite : Starbucks laisse-t-il les femmes à la porte ? A l'origine de cette affaire, le tweet d'une cliente un peu estomaquée : " "Un Starbucks à Riyad a refusé de me servir juste parce que je suis une FEMME, et m’a demandé d’envoyer un homme à la place " Le tweet a été relayé par la presse anglo-saxonne et à provoqué un vif émoi, enflammant illico les réseaux sociaux.
"Womenability": comment rendre la ville aux femmes ? Infrastructures ou événements sportifs investis par les hommes, éclairage public insuffisant pour garantir la sécurité nocturne, équipements pour bébé réservés aux espaces féminins...
"Les villes sont majoritairement faites pour les hommes, et par des hommes", explique Charline, l'une des fondatrices de l'association Womenability (en français : "ce que peuvent les femmes"). Au moment où elles créent Womenability, il y a tout juste un an, Charline Ouarraki et Audrey Noeltner, l'une spécialiste de l'évaluation des politiques publiques et l'autre urbaniste, veulent donner aux femmes la même place que celle investie par les hommes dans les villes. Elles partent de leur propre expérience du milieu urbain. Seulement 2% des rues françaises portent le nom d'une femme. Une enquête de l’ONG Soroptimist (du latin sorores ad optimum, « sœurs pour le meilleur »), rendue publique le 22 janvier, dévoile que sur 63 500 rues françaises, seules 2 % portent le nom d’une femme.
L’Union française Soroptimist qui a pour crédo « Des femmes, au service des femmes », réunit plus de 3000 adhérentes à travers la France qui se mobilisent pour l’amélioration de la condition des femmes et soutiennent leur autonomisation. ONG 100% féminine, Soroptimist est représentée dans 125 pays. Dans la démarche présente, elles ont étudié les noms des rues françaises. « Il était logique d’explorer quels sont les modèles opérants pour les jeunes femmes, et les noms de rue en font partie intégrante car ils reflètent notre vision de l’Histoire de France », explique Christine Dagain, présidente de l’Union française Soroptimist. L’ONG a réalisé son étude sur 63 500 rues, dans 111 communes françaises. Les attributs du pouvoir et leur confiscation aux femmes. Le genre et l’espace. Partie 1 : l’occupation de l’espacePartie 2 : le temps de parole et le choix des sujets de conversationPartie 3 : l’expression de la colère Dans cette nouvelle série d’articles, nous nous intéresserons à différents comportements qui sont typiques des dominants (occuper beaucoup d’espace, avoir beaucoup de temps de parole et parler fort, exprimer certaines émotions comme la colère…).