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Émotion musicales,,, A ce Printemps perdu, un poème d'Elodie Santos. Alexandre Blok, l’inconnue. Un essai de traduction par Serge Venturini La poésie d’Alexandre Blok est par-dessus tout ondes de musique et nappes de lyrisme. Le soin extrême qu’il portait aux rimes versifiées, aux assonances de la langue russe est perdu dans le chemin de la traduction. Qu’au moins le parfum de ses mots soit ici rendu. Ce défi de la traduction Serge Venturini, en tant que poète, le résout et s’en explique: « Le poète est un grand musicien isolé, un évacué, un perforé, un homme troué. . « Je pense que je suis née pour la Solitude magnifique, peuplée d’ombres héroïques, que je n’ai besoin de rien d’autre que d’elle — d’eux — de moi,… écrivait Tsvétaéva, le 14 juillet 1919, qu’il est indigne de moi de me faire chat et colombe, de câliner et roucouler dans les bras d’un autre, que tout cela est au-dessous de moi. » Dans les bribes de paroles J’entends la marche brumeuse Des autres mondes Et du temps le sombre vol, Je sais chanter avec le vent… ( Traduction Serge Venturini) haut de la page L’INCONNUE (Neznakomka) A.

Alphonse de Lamartine. Arbrealettres. Baiser, poème de Joachim Du Bellay. Quand ton col de couleur rose Se donne à mon embrassement Et ton oeil languit doucement D’une paupière à demi close, Mon âme se fond du désir Dont elle est ardemment pleine Et ne peut souffrir à grand’peine La force d’un si grand plaisir. Puis, quand s’approche de la tienne Ma lèvre, et que si près je suis Que la fleur recueillir je puis De ton haleine ambroisienne, Quand le soupir de ces odeurs Où nos deux langues qui se jouent Moitement folâtrent et nouent, Eventent mes douces ardeurs, Il me semble être assis à table Avec les dieux, tant je suis heureux, Et boire à longs traits savoureux Leur doux breuvage délectable. Si le bien qui au plus grand bien Est plus prochain, prendre ou me laisse, Pourquoi me permets-tu, maîtresse, Qu’encore le plus grand soit mien?

As-tu peur que la jouissance D’un si grand heur me fasse dieu? Belle, n’aie peur de cela, Partout où sera ta demeure, Mon ciel, jusqu’à tant que je meure, Et mon paradis sera là. Baudelaire intime : "Fusées" et "Mon coeur mis à nu" Charles Baudelaire - Le squelette laboureur. Charles Baudelaire, « Crépuscule du matin », Les Fleurs du mal, section « Tableaux parisiens », 1857- Corpus : Images de la ville. « Crépuscule du matin » Parmi les villes, Paris est celle qui joue un rôle à part car, dès la seconde moitié du XIX° siècle, elle s’affirme comme un centre de culture où tous les artistes se retrouvent pour créer en lançant des courants nouveaux.

Dans la poésie, les regards des poètes se croisent sur cette ville et Baudelaire lui dédie, dans son recueil Les Fleurs du mal, une section entière, qu’il intitule « Tableaux parisiens ». Charles Baudelaire (1821-1867) est un représentant de ceux que l’on a nommés, au XIX° siècle, les « poètes maudits ». Il vit une enfance perturbée par le décès de son père, suivi du remariage de sa mère avec le général Aupick, détesté.

Après des années de pensionnat, il joue les dandys à Paris, mène une vie de bohème, dilapidant son héritage, ce qui déplaît fort à sa famille. Placé sous tutelle financière, il gagne sa vie grâce à des travaux de critique littéraire et artistique, et commence à publier dans des revues. Le recueil suit un itinéraire. Connaissez-moi par mon inconnu - Michael Strunge. Né en 1958, Michael Strunge jouit d’un statut unique dans la poésie danoise contemporaine. Découvert par Poul Borum, ange rimbaldien ou enfant terrible, il se fait connaître très tôt par son premier recueil (La Hâte de la vie, 1978) et écrit des poèmes depuis l’âge de 11 ans.

Il intervient dans les débats (presse, radio, télé journaux). Sa source d’inspiration est la musique punk, de laquelle il apprend le refus des normes établies. Les mots sont des armes pour un combat de liberté et d’amour. Atteint par tout, maniaco-dépressif, Strunge est le principal représentant de la poésie danoise des années 1980 (Soren Ulrik Tomsen, Pia Tafdrup). Sa poésie est d’inspiration urbaine et met en oeuvre une mythologie cohérente, très personnelle, théâtrale et lyrique. La vie de ce « fils du monde » s’interrompt en 1986, date a laquelle, persuadé que le poète est « armé d’ailes », il se jette de sa fenêtre. Samlede Strunge est un livre de près de mille pages publié en 1995 par Borgen. Dernier regard en arrière. Délétère. Echo. Edgar Allan Poe. Signature Après l’échec de son roman Les Aventures d'Arthur Gordon Pym, Poe réalise son premier recueil d’histoires, les Contes du Grotesque et de l’Arabesque, en 1839.

La même année, il devient rédacteur au Burton's Gentleman's Magazine, puis au Graham's Magazine à Philadelphie. C'est à Philadelphie que nombre de ses œuvres parmi les plus connues ont été publiées. Dans cette ville, Poe a également projeté la création de son propre journal, The Penn (plus tard rebaptisé The Stylus), qui ne verra jamais le jour. En février 1844, il déménage à New York, où il travaille au Broadway Journal, un magazine dont il devient finalement l’unique propriétaire. L'influence de Poe a été et demeure importante, aux États-Unis comme dans l'ensemble du monde, non seulement sur la littérature, mais également sur d'autres domaines artistiques tels le cinéma. Bien qu'auteur américain, il a d’abord été reconnu et défendu par des auteurs français, Baudelaire et Mallarmé en tête. Le 3 octobre 1849, Joseph W. Eluard : "La courbe de tes yeux..." Friedrich Nietzsche.

Signature Friedrich[a] Wilhelm Nietzsche ([ˈfʁiːdʁɪç ˈvɪlhɛlm ˈniːt͡sʃə][1] Écouter ; souvent francisé en [nit͡ʃ ]), né le 15 octobre 1844 à Röcken en Prusse et mort le 25 août 1900 à Weimar en Saxe-Weimar-Eisenach, est un philosophe, critique culturel, compositeur, poète, écrivain et philologue allemand dont l'œuvre a exercé une profonde influence sur l'histoire intellectuelle contemporaine. Il commence sa carrière comme philologue classique avant de se tourner vers la philosophie. En 1869, à l'âge de 24 ans, il devient la plus jeune personnalité à occuper la chaire de philologie classique de l'université de Bâle.

Il démissionne en 1879 en raison de problèmes de santé qui le tourmenteront presque toute sa vie, puis achève la plupart de ses écrits fondamentaux au cours de la décennie suivante. En 1889, à 44 ans, il est victime d'un effondrement et, par la suite, d'une perte totale de ses facultés mentales. Origines et jeunesse (1844-1869)[modifier | modifier le code] — Note de 1858. George Sand. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sand et Dupin. Elle compte parmi les écrivains prolifiques avec plus de soixante-dix romans à son actif, cinquante volumes d'œuvres diverses dont des nouvelles, des contes, des pièces de théâtre et des textes politiques. À l'image de son arrière grand-mère par alliance qu'elle admire[2], Madame Dupin (Louise de Fontaine 1706-1799), George Sand prend la défense des femmes, prône la passion, fustige le mariage et lutte contre les préjugés d'une société conservatrice.

George Sand a fait scandale par sa vie amoureuse agitée, par sa tenue vestimentaire masculine, dont elle a lancé la mode[3], par son pseudonyme masculin, qu'elle adopte dès 1829[4], et dont elle lance aussi la mode : après elle, Marie d'Agoult signe ses écrits Daniel Stern (1841-1845), Delphine de Girardin prend le pseudonyme de Charles de Launay en 1843. Biographie[modifier | modifier le code] Ascendance[modifier | modifier le code] Georges Bataille. Her eyes are pure stars, and her fingers, if they touch you, freeze you to the bone. — Virginia Woolf, Orlando Vladimir Clavijo Telenpev. Hikari. Il pleut dans mon coeur. Je t'aime, poème de Paul Eluard.

Je t’aime pour toutes les femmes Que je n’ai pas connues Je t’aime pour tout le temps Où je n’ai pas vécu Pour l’odeur du grand large Et l’odeur du pain chaud Pour la neige qui fond Pour les premières fleurs Pour les animaux purs Que l’homme n’effraie pas Je t’aime pour aimer Je t’aime pour toutes les femmes Que je n’aime pas Qui me reflète sinon toi-même Je me vois si peu Sans toi je ne vois rien Qu’une étendue déserte Entre autrefois et aujourd’hui Il y a eu toutes ces morts Que j’ai franchies Sur de la paille Je n’ai pas pu percer Le mur de mon miroir Il m’a fallu apprendre Mot par mot la vie Comme on oublie Je t’aime pour ta sagesse Qui n’est pas la mienne Pour la santé je t’aime Contre tout ce qui n’est qu’illusion Pour ce cœur immortel Que je ne détiens pas Que tu crois être le doute Et tu n’es que raison Tu es le grand soleil Qui me monte à la tête Quand je suis sûr de moi Quand je suis sûr de moi Paul Eluard.

Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie - Louise LABÉ - Poésie française. L'exploitation de la poésie dans une classe de FLE | IFprofs. L'Honneur des poètes. La brume. La langue française. Le français est une langue italique, qui appartient au groupe des langues d'oïl, dans lequel on range aussi le picard et le wallon. Il a commencé à se dégager un peu nettement du latin au VIIIe siècle. Comme tous les idiomes de sa famille, il a formé ses mots de ceux du latin en conservant la syllabe sur laquelle se trouvait l'accent tonique; mais de plus il a supprimé ou rendu muettes toutes les syllabes venant après la tonique, et il a fait tomber les voyelles brèves précédant cette tonique. C'est de la sorte que de sanitatem il a fait santé et que de liberare il a fait livrer, etc.

De plus, le français, dans l'intérieur des mots, a généralement supprimé les consonnes gutturales et dentales qui se trouvaient entre deux voyelles. Ainsi de crudelem, fodere, laudare, medulla, sudare, etc., il a formé respectivement cruel, fouir, louer, moelle, suer. Le latin, transporté en Gaule d'abord par les légionnaires de Domitius Ahenobarbus et de Licinius Crassus (121-118 av. J. ). La mer secrète. La Muse vénale (The Venal Muse) by Charles Baudelaire. La Muse vénale Ô muse de mon coeur, amante des palais, Auras-tu, quand Janvier lâchera ses Borées, Durant les noirs ennuis des neigeuses soirées, Un tison pour chauffer tes deux pieds violets? Ranimeras-tu donc tes épaules marbrées Aux nocturnes rayons qui percent les volets? Sentant ta bourse à sec autant que ton palais Récolteras-tu l'or des voûtes azurées? II te faut, pour gagner ton pain de chaque soir, Comme un enfant de choeur, jouer de l'encensoir, Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère, Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas Et ton rire trempé de pleurs qu'on ne voit pas, Pour faire épanouir la rate du vulgaire. — Charles Baudelaire The Venal Muse Muse of my heart, you who love palaces, When January frees his north winds, will you have, During the black ennui of snowy evenings, An ember to warm your two feet blue with cold?

Will you bring the warmth back to your mottled shoulders, With the nocturnal beams that pass through the shutters? The Venal Muse The Mercenary Muse. Le murmure, fiez-vous à son caractère inépuisable... Le poête dans les Révolutions : ODE I. Le Romantisme. Les Fleurs du Mal en pdf. Les robots poètes sont nés. Ecriture robotique. Malgré leur imagination féconde, les surréalistes n’en croiraient pas leurs yeux. Eux qui s’étaient essayés à l’écriture automatique ne se doutaient pas à l’époque qu’un jour naîtrait l’écriture robotique. Les robots ont déjà prouvé leur capacité à accomplir des tâches matérielles aussi bien voire mieux que l’Humain, mais on sait moins qu’ils nous concurrencent désormais dans le domaine de l’art.

Après avoir investi les chaînes de montage industrielles, les services à la personne, la médecine et les salles de rédaction, Slate rapporte que les robots s’improvisent maintenant poètes. Et ils le font plutôt bien, « mieux que la plupart des humains », constate même le site Vice avec une pointe d’amertume. Tweet-poésie. A l’origine de l’un de ces robots-poètes, il y a Ranjit Bhatnagar. Shakespeare sur smartphone. MA CHANSON A L’ENVERS … Marie, poème de Guillaume Apollinaire. Vous y dansiez petite fille Y danserez-vous mère-grand C’est la maclotte qui sautille Toute les cloches sonneront Quand donc reviendrez-vous Marie Les masques sont silencieux Et la musique est si lointaine Qu’elle semble venir des cieux Oui je veux vous aimer mais vous aimer à peine Et mon mal est délicieux Les brebis s’en vont dans la neige Flocons de laine et ceux d’argent Des soldats passent et que n’ai-je Un cœur à moi ce cœur changeant Changeant et puis encor que sais-je Sais-je où s’en iront tes cheveux Crépus comme mer qui moutonne Sais-je où s’en iront tes cheveux Et tes mains feuilles de l’automne Que jonchent aussi nos aveux Je passais au bord de la Seine Un livre ancien sous le bras Le fleuve est pareil à ma peine Il s’écoule et ne tarit pas Quand donc finira la semaine Guillaume Apollinaire, Alcools.

Mark TWAIN. Maupassantiana, site sur Maupassant et son oeuvre. Mignonne, allons voir si la rose - Pierre de RONSARD. Pierre de RONSARD (1524-1585) A Cassandre Mignonne, allons voir si la roseQui ce matin avoit descloseSa robe de pourpre au Soleil,A point perdu ceste vespréeLes plis de sa robe pourprée,Et son teint au vostre pareil. Las ! Voyez comme en peu d'espace,Mignonne, elle a dessus la placeLas ! Las ses beautez laissé cheoir ! Ô vrayment marastre Nature,Puis qu'une telle fleur ne dureQue du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne,Tandis que vostre âge fleuronneEn sa plus verte nouveauté,Cueillez, cueillez vostre jeunesse :Comme à ceste fleur la vieillesseFera ternir vostre beauté. Mohammed Al-Asaad - Choix de poèmes établi par Najwan Darwich. Haiku Laisse la pluie S’installer dans les profondeurs Dans le sol obscur De ce laurier-rose Des goélands blancs Atterrissent dans les eaux profondes Entre l’ombre des bateaux Et les filets des pêcheurs 0ù nous étions Il n’y avait que les cactus Les pierres Et la brise qui passe Parmi les oliveraies L’odeur des narcisses !

Le château de l’Alhambra ! Ô tamarinier Combien de fois As-tu fleuri dans notre absence ! Seulement dans cette chanson Le Jasmin éclot Plus d’une fois Sous le sable du désert Les solitaires écoutent Le chant de la pluie Raconter leurs histoires Une fois vieille Ma mère ne reconnaissait plus les visages Et les voix Mais seulement ses chansons L’été des tombes abandonnées Transforme nos vieillards En fleurs Jours après jour Les enfants morts ne reviennent pas Sur les mêmes chemins sablonneux Mais d’en haut A travers les branches des oliviers Ô Indien silencieux Que sait-il le gémissement de la cithare Et que cache-t-il ? La chanson de l’oiseau en pierre Ce soir Rome à midi. Pinterest. Pinterest. Pinterest. Pinterest. Pinterest. Pinterest.

Poème Barbara. Poètes d'une parole essentielle -- K. SELIM. Pourquoi les Palestiniens, qui meurent si facilement dans le silence ou dans si peu de bruit, sont-ils à ce point attachés à leurs poètes au point de ne pas se résigner à les voir partir ? Probablement parce que leur voix dit l’essentiel de leur humanité de manière si forte, si puissante et si humaine qu’elle transcende tous les clivages et dépasse tous les discours politiques.

Les Palestiniens ont été bouleversés par le départ de Mahmoud Darwich, mais ils ont découvert, durant ces années d’absence, combien sa présence est forte. Ils ont pu voir combien ses mots continuaient à creuser des sillons profonds dans les consciences. Combien ils gardaient intacte la vérité d’un combat qui, comme c’est le cas de tous les mouvements de libération, connaît des hauts et des bas. Samih Al-Qassim dont les poèmes - comme ceux de Mahmoud Darwich - ont été amplifiés avec grand art par Marcel Khalifa, est de la même stature que son « jumeau ». Poésie romantique. Poésie romantique. Poésie, poèmes et poètes. Poésie, poèmes et poètes - poetica.fr. Poésie, poèmes et poètes - poetica.fr. Poésies (Rimbaud)/éd. Vanier, 1895/Voyelles. Quand ta mer ne dira plus la mer - Analogos.

Romantisme. Silencieusement. Suspends ton vol. The Black Cat by Edgar Allan Poe | Le Chat noir | Traduit par Stéphane Chabrières. Un hémisphère dans une chevelure. Un Mot est un Oiseau. Vie-Poète. « Adieu Maman » de Mohamed Nour Wana – Collectif Parisien de Soutien aux Exilé-e-s.