L'avortement et la peur d'une grossesse non-désirée vus en BD par Mlle Karensac. La peur d'une grossesse non-désirée, et la possibilité de l'IVG : voilà tout ce qui peut passer dans nos têtes pendant les quelques minutes qu'exige le test de grossesse avant d'afficher son résultat... — Publié le 7 septembre 2015.
Je ne veux pas d'enfants, et alors ? — Publié initialement le 29 mai 2014 Je ne veux pas d’enfants.
Voilà, c’est dit. J’ai lâché le dossier, me voilà devenue aux yeux du monde une vieille aigrie qui refuse de profiter du miracle de la vie, qui n’est pas capable de donner de l’amour ou de supporter quelqu’un plus de trois heures de suite. « Je n’aime pas les enfants. Je n’aimais même pas les enfants quand j’étais enfant. » Face à la multitude de réactions et de questions idiotes que je reçois, je ressens le besoin (tout aussi idiot, peut-être) de justifier une décision qui ne devrait pas avoir à l’être. Je vais très bien, merci Non, je n’ai pas eu une enfance malheureuse ou de mauvais parents, et je n’ai pas vécu dans un environnement dégueulasse. "Enfant dans le dos", "paternité imposée" et autres mythes insupportables. « Elle m’a fait un enfant dans le dos« , « je me suis fait piéger« , « ma paternité a été instrumentalisée« , voilà des phrases que je ne supporte plus d’entendre.
Tous les chemins mènent à Rome, ou plutôt tous les chemins mènent à DSK puisque c’est avec lui (et malgré lui) qu’est reparti la polémique. Cette fois-ci c’est une histoire de pension alimentaire de 8000 euros réclamée par une ancienne maîtresse qui a ravivé les débats autour de « la paternité imposée« . Et cela et a donné lieu, entre autres, à la publication sur Slate de cet article d’Ariane Bozon, Père malgré eux, qui est extrêmement intéressant mais avec lequel je ne peux être d’accord.
Le mythe de la femelle machiavélique L’article rapporte les propos d’un certain Gérard, qui dit s’être fait « piéger » et affirme que si «une femme te fait un enfant dans le dos, t’es coincé; ou tu te barres en courant, ou tu fermes ta gueule et tu payes». Non nous ne sommes pas égaux face à la grossesse Les bras m’en tombent. Analyse compagrée des déterminants des grossesses non désirées et des avortements.
Mesurer le coût de l’enfant : deux approches à partir des enquêtes Budget de. Si la compensation du coût de l’enfant apparaît comme centrale dans la définition des politiques familiales et sociales, la mesure de ce coût reste un exercice difficile et fortement dépendant des hypothèses et méthodes retenues.
Les dernières données disponibles issues de l’enquête Budget de famille 2011 de l’Insee, invitent à revisiter la question. Le premier article décrit l’évolution entre 2001 et 2011 des dépenses des ménages avec ou sans enfant, les structures de consommation se modifiant de conserve avec les caractéristiques sociales des familles. Il montre ainsi une plus grande proximité en 2011 des structures de consommation des familles monoparentales et des personnes seules, tandis que celles des couples avec enfant(s) et sans enfant s’éloignent, par rapport à 2001.
La seconde étude ré-explore la question des échelles d’équivalence, à partir de l’expression du ressenti des ménages sur leur niveau de vie. 44 ans. Femmes sans enfant, femmes suspectes. « La plus belle chose au monde... », le non-désir d'enfant expliqué en BD par Nepsie. L'Instant Putassier - Les Pousse-à-la-Grossesse. Dans ce nouvel Instant Putassier, le professeur Bobby Freckles s'intéresse aux Pousse-à-la-Grossesse, ces êtres étranges. Nom d’une mouche sodomite ! L’humanité est en danger ! "Je ne veux pas d'enfant", la lettre ouverte pour le droit à la stérilisation. Pondu par Sophie-Pierre Pernaut le 2 avril 2012 Une jeune femme de 32 ans explique sur Offensive Libertaire le combat qu’elle mène en vain depuis quatre ans pour se faire stériliser. Peut-on subir une stérilisation définitive quand on est sûr de ne pas ou plus vouloir d’enfants ?
C’est la question que pose cet article publié sur Offensive Libertaire. Son auteure, une jeune femme de 32 ans qui a décidé de ne jamais enfanter, raconte son combat pour trouver un spécialiste qui accepterait de la stériliser. Depuis quatre ans, elle va de gynécologue en gynécologue en leur présentant la brochure « stérilisation à visée contraceptive ». « Si j'aurais su... », une chouette BD sur le non-désir d'enfant.
« Si j'aurais su... » est un strip dessiné par Julie Guillot sur son blog « Tout va mieux ». Elle y aborde un sujet encore trop souvent considéré comme tabou : les femmes qui ne veulent pas avoir d'enfants. Julie Guillot est une illustratrice de talent que l’on peut notamment retrouver sur sa page Facebook et sur son blog, Tout va mieux. C’est sur ce dernier qu’elle vient de publier un strip très pertinent sur un sujet parfois tabou : le non-désir d’enfants. La grossesse non désirée touche aussi les pères, rappelle l'Inserm. Vivre avec ou sans enfant, en famille traditionnelle, monoparentale ou recomposée : les situations familiales des salariés du public et du privé.
Emma Davie, Aude Lapinte Les situations familiales des salariés de la fonction publique et du secteur privé sont globalement proches.
En 2011, 45 % des salariés de la fonction publique vivent avec au moins un enfant mineur et 43 % dans le secteur privé. Parmi ceux-ci, les familles traditionnelles sont largement majoritaires (80 % dans le secteur privé et 78 % dans la fonction publique). Des différences existent cependant au sein de chaque ensemble. Presses Universitaires de Rennes - Le choix d’une vie sans enfant Charlotte Debest. Si j'aurais su... « Si j'aurais su... », une chouette BD sur le non-désir d'enfant. "Je n'ai pas choisi de naître !" Est-ce si évident ?, Franck ROBERT.
Si j'aurais su... Toute la vérité sur les femmes sans enfant On entend beaucoup parler, ces jours-ci, de la tendance de plus en plus répandue des foyers sans enfants: le nombre d'articles que j'ai lus au sujet des femmes et des couples qui choisissent ce mode de vie est incalculable.
Bien entendu, tous ces articles prétendent expliquer en détail les implications sociétales de ce choix et commentent les recherches qui ont été effectuées sur cette tendance. Cependant, tous ces articles omettent de parler d'un des aspects les plus importants de cette conversation: comment les femmes sans enfants se sentent-elles et comment sont-elles perçues par notre société actuelle? Avec le recul, je crois que je l'ai toujours su. Pendant que mes amies jouaient à la poupée, je préférais jouer à l'enseignante, ou alors j'habillais mes Barbies à la fine pointe de la mode et je prétendais qu'elles étaient les femmes les plus puissantes du monde. À 24 ans, j'ai commencé à demander à mes médecins si je pouvais être stérilisée.
J'étais furax. La consultation fut brève. « Tu t'y mets quand ? » Stress de No Kid dans une France féconde. « On n’est pas vraiment une femme tant que l’on n’est pas mère. »« Une vie sans enfant n’a pas de sens. »« Les gens qui ne font pas d’enfant sont égoïstes. »« Les hommes qui ne veulent pas d’enfant sont immatures. » « Et toi, quand est-ce que tu t’y mets ?
» de Véronique Cazot et Madeleine Martin (éd. Fluide Glacial). Rien n’y fait, même pas la crise. La fécondité des Françaises a encore augmenté en 2010 : deux enfants par femme. De plus en plus oppressées par l’ambiance copulatrice, deux trentenaires, deux jeunes femmes, une dessinatrice (Madeleine Martin) et une scénariste (Veronique Cazot) viennent de sortir une BD rebelle (et belle) : « Et toi, quand est-ce que tu t’y mets ? « On attendait plutôt une baisse de fécondité en 2010 » Les naissances ont été en effet encore plus nombreuses en France en 2010 : 797 000 en métropole, d’après l’Ined, soit un peu plus que les 793 400 de 2009, et un record depuis 1982.