Astronomie -> Astrophysique -> Les 9 Anomalies du Modèle Standart. Elles sont au nombre de 9.
Les anomalies de l'Univers. Acheter le magazineLes voyages Science & VieOffre 100% numérique Déjà abonné ?
Connexion. Voici comment l'humanité pourrait se répandre dans la Galaxie. Un récent concours encadré par la NASA visait à déterminer le meilleur moyen de coloniser la Galaxie.
Et c’est une équipe chinoise qui a gagné. S’est récemment clôturée la dixième édition du Global Trajectory Optimisation Competition (GTOC X), cette année organisée par la NASA. Chaque année, ce concours vise à présenter des problématiques liées aux voyages dans l’espace, auxquels des ingénieurs, physiciens et autres mathématiciens doivent trouver des solutions efficaces.
La conquête de la galaxie se prépare. Ils sont discrets, mais plusieurs cercles de chercheurs planchent sérieusement sur la question : "Quand est-ce qu'on pourra piloter un Faucon Millenium comme Chewy et Solo ?
" Par Science et Vie, et en exclusivité digitale sur Hook. Des pas sur la Lune ; des images de toutes les planètes du Système Solaire, jusqu’à la petite dernière ; quelques grains d’échantillons de comètes, une première analyse de l’espace interstellaire ; des silhouettes de mondes lointains par centaines ; et des espoirs de fouler le sol martien ou la surface d’astéroïdes voisins… Voilà où en est l’humanité de son exploration cosmique. L'espace est-il discret ? Le monde est-il flou ?
Ce n'est pas une métaphore. Pour Craig Hogan, physicien des particules à l'Université de Chicago et directeur du Centre d'astroparticules du Fermilab, dans l'Illinois, si nous parvenions à observer les plus petites subdivisions de l'espace et du temps, nous découvririons un univers en perpétuelle effervescence, un incessant bourdonnement de fluctuations. Cette agitation n'est pas celle de particules qui apparaissent et disparaissent, ni d'autres types de « mousses quantiques » imaginés jusqu'ici. Ce bruit serait la marque d'un espace discontinu qui, au lieu d'être une toile de fond bien lisse à la danse des particules, serait au contraire constitué de petits morceaux irréductibles : un univers discret. Et si l'Univers existait depuis et pour toujours ?
La cinématique des galaxies. Le fil Science & Techno - Poussée par un vide, notre galaxie surfe à plus de 2 millions de km/h. Dans notre voisinage extragalactique existe une immense région vide qui exercerait une force de répulsion sur notre galaxie, la Voie lactée.
Ce « repousseur » contribue aux forces gravitationnelles qui nous font naviguer à près de 2,3 millions de km/h sur la toile cosmique, la structure suivant laquelle la matière s’organise à grande échelle, notamment sous la forme de filaments qui connectent des galaxies entre elles et séparent des vides. Quand attraction et répulsion se conjuguent pour nous mettre en mouvement Ce mouvement de notre galaxie (et de sa compagne, la galaxie d’Andromède) était déjà connu des astrophysiciens qui en recherchaient l’origine depuis 40 ans. Pour expliquer ce déplacement, les recherches se sont historiquement d’abord portées sur la possibilité d'un excès de galaxies situées dans la direction générale de notre mouvement.
Obtenir une confirmation de l’observation d’un tel vide est extrêmement difficile. Vide local. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Emplacement et dimensions[modifier | modifier le code] Les vides sont le résultat de la façon dont la gravitation fait s'attirer et s'agglutiner la matière dans l'Univers, regroupant les galaxies dans des groupes et des amas, qui sont séparés par des régions en grande partie évidées de galaxies[6]. Les astronomes ont précédemment remarqué que la Voie Lactée se trouve dans une large et plate rangée de galaxies nommée le "Voile Local"[1], délimitant le Vide local. Will the Great Attractor Destroy Us?
Paul Sutter is an astrophysicist at The Ohio State University and the chief scientist at COSI Science Center.
Sutter is also host of the podcasts Ask a Spaceman and RealSpace, and the YouTube series COSI Science Now. Somewhere, in the deepest reaches of the cosmos, far from the safe confines of our home galaxy, the Milky Way, lies a monster. Slowly, inevitably, it is pulling. Over the course of billions of years, it draws us and everything near us closer to it. The only force that acts over such immense distance scales and through cosmic periods of time is gravity, so whatever it is, it's massive and unrelenting.
We call it the Great Attractor, and until recently, its true nature has been a complete mystery. Mysterious New 'Dark Flow' Discovered in Space. As if the mysteries of dark matter and dark energy weren't vexingenough, another baffling cosmic puzzle has been discovered.
Patches of matter in the universe seem to be moving at veryhigh speeds and in a uniform direction that can't be explained by any of theknown gravitational forces in the observable universe. Astronomers are callingthe phenomenon "dark flow. " The stuff that's pulling this matter must be outsidethe observable universe, researchers conclude. When scientists talk about the observableuniverse, they don't just mean as far out as the eye, or even the mostpowerful telescope, can see. In fact there's a fundamental limit to how much ofthe universe we could ever observe, no matter how advanced our visualinstruments. Mysterious motions. Courant noir. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Attracteur Shapley. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Superamas de Shapley. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Milky Way is being pushed and pulled in space by clusters of galaxies. Sur ce qui attire et repousse notre galaxie la Voie lactée dans l’espace. Laniakea. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Laniakea (« paradis incommensurable » ou « horizon céleste immense »[1] en hawaïen) est le superamas de galaxies englobant le superamas de la Vierge dont fait partie la Voie lactée, et donc par suite le Système solaire et en particulier la Terre. Sa découverte par une équipe internationale d'astronomes composée de R. Brent Tully, de l'université d'Hawaï à Mānoa, d'Hélène Courtois, de l'université de Lyon I, de Yehuda Hoffman, de l'université hébraïque de Jérusalem, et de Daniel Pomarède, du Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives, résultant d'une nouvelle façon de définir les superamas selon les vitesses radiales des galaxies[2], a été annoncée en septembre 2014[1].
Définition[modifier | modifier le code] Laniakea.