Cinémathèque de Toulouse. Raymond Borde, fondateur de la Cinémathèque de Toulouse. Raymond Borde, le Monsieur cinéma de Toulouse. Avec sa silhouette imposante et son tempérament de polémiste, Raymond Borde s’est imposé pendant un demi-siècle comme la figure incontournable de la cinéphilie toulousaine.
Derrière le boulimique des salles obscures apparaît un intellectuel à la plume acérée, foncièrement engagé à gauche. À partir de 1954, on retrouve sa signature dans les colonnes des Temps Modernes, où il distille critiques et articles politiques. La mémoire de nos territoires, en image et sur la toile. Natacha Laurent raconte la Cinémathèque de Toulouse. L'exposition «Du cinéma autrement, 50 ans de Cinémathèque à Toulouse» est proposée jusqu'au 15 mars à la Médiathèque.
Natacha Laurent, directrice de la Cinémathèque, nous en dit plus . Pourquoi cette exposition«Du cinéma autrement» ? Quand la Cinémathèque se raconte. Vernissage ce soir à la Médiathèque de l'exposition anniversaire de la Cinémathèque «Du cinéma autrement, 50 ans de Cinémathèque à Toulouse» Une invitation à découvrir l'histoire de cette collection unique de cinéma que possède la Cinémathèque de Toulouse : pour fêter ses cinquante ans, la Cinémathèque s'est associée à la Bibliothèque de Toulouse et à la Médiathèque pour présenter, à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 15 mars, une exposition «Du cinéma autrement, 50 ans de Cinémathèque à Toulouse».
Présentée à tous les étages de la Médiathèque, cette exposition raconte en dix modules comment se construisent ces collections, qu'elles soient de films, d'affiches de revues, de costumes, qui sont la richesse et l'identité de la Cinémathèque. «Avec Natacha Laurent, nous avons souhaité associer la Médiathèque pour toucher un public large et que nous ne rencontrons pas forcément rue du Taur. Découverte des trésors de la deuxième cinémathèque de France. Des boîtes rouillées et des cartons poussiéreux : la phase triDe l'extérieur, ça n'a l'air de rien.Et la visite commence par un garage, un véritable capharnaum dans lequel, régulièrement, des cmions viennent déposer des palettes de boîtes rouillées et de cartons poussiéreux.
Et là, sous la rouille et la poussière, parfois, des pépites, les trésors cachés du cinéma français. Ici, par exemple, Francesca Bozzano, la directrice-adjointe de collections, a découvert des scènes disparues du "Napoléon" d"Abel Gance. Dans ces boîtes, le vice et la vertu : des étagères entières remplies de films pornos côtoient des cascades de Rémy Julienne ou des films uniques au monde, de l'Union Soviétique.
Le fonds de la Cinémathèque à découvrir. La cinémathèque abrite la plus grande collection française d'affiches. Au milieu des rouleaux entassés, la documentaliste sort de sa pochette transparente une grande feuille au papier vieilli sur laquelle un couple d'acteurs s'enlace devant une sombre vue de New York.
"C'est une oeuvre de Guy-Gérard Noël, un affichiste français qui a surtout opéré dans les années 1930", explique Claudia Pellegrini, vantant son style aux nombreux aplats de couleurs. La plus grande collection française du genre Avec quelque 80.000 affiches de cinéma sous sa houlette, Mme Pellegrini doit gérer la plus grande collection française du genre. Conserver les films : un défi quotidien à la Cinémathèque de Toulouse. Pourrons-nous regarder un film indépendant réalisé en 2020 dans 30 ans ?
Rien n’est moins sûr… À l’heure où le numérique domine dans la réalisation, la diffusion et la préservation des films, la sauvegarde du patrimoine cinématographique actuel pose question. « Aujourd’hui, tous les films sont tournés sous forme numérique et leurs dépôts en centres de conservation sont très rares », indique Francesca Bozzano, directrice des collections à la Cinémathèque de Toulouse. Dans cette institution régionale, les plus vieilles pellicules datent de 1904.
Elles ornent des étagères remplies de bobines colorées, au cœur des « frigos » du Centre de conservation de Balma, dans la banlieue toulousaine. Le regard en coulisse de Patrick Riou.
Projet de déménagement. La Cinémathèque de Toulouse est trop à l'étroit au centre-ville : son projet d'extension retoqué. Par David Saint-SerninPublié le 25 Oct 20 à 17:08 Déménagera, s’agrandira sur place… Trop à l’étroit dans ses locaux de la rue du Taur, la Cinémathèque de Toulouse balance entre ces deux solutions depuis plusieurs années.
Une hypothèse de déménagement écartée En 2016 et 2017, l’hypothèse d’un déménagement à La Cartoucherie, dans le cadre du nouveau projet de quartier, avait été proposée par la mairie de Toulouse et étudiée. En juillet 2017, ce projet de déménagement, qui ne suscitait pas un élan d’enthousiasme au sein de La Cinémathèque, avait été écarté. Un projet d’extension retoqué. Souvenirs de l’ancienne Cinémathèque. Seuls les plus anciens toulousains – et les plus cinéphiles aussi – ont connu cet endroit un peu secret.
Au rez-de-chaussée du CRDP (Centre régional de documentation pédagogique), tout au bout de la rue Roquelaine, à l’angle du boulevard de Strasbourg, existe une salle de projection, nommée Montaigne, qui fut celle de la Cinémathèque de Toulouse, des décennies durant, avant une installation beaucoup plus "luxueuse" au 69, rue du Taur en 1997. Beaucoup d’étudiants et de fous de pellicule ont fait ici leurs premières armes, découvrant des films du monde entier. Les trésors de la Cinémathèque de Toulouse. L'essentiel C’est un peu la partie cachée de la Cinémathèque : 50 000 copies de films, la plus importante collection française d’affiches de cinéma… Le Centre de conservation et de recherche, situé à Balma, abrite des joyaux du 7e art.
Cet article est issu de Midi, le magazine dominical de La Dépêche du Midi, à retrouver en ligne sur notre kiosque numérique. De loin, difficile d’imaginer que cet ancien corps de ferme totalement réhabilité, abrite l’une des trois principales archives cinématographiques françaises. Bienvenue au Centre de conservation et de recherche de la Cinémathèque de Toulouse, à Balma, à quelques kilomètres de la Ville rose. Ici, les bobines de film sont triées, nettoyées et même pour certaines numérisées. Changement de conservateur à la Cinémathèque de Toulouse. Natacha Laurent quitte la direction de la Cinémathèque de Toulouse.
Cinémathèque : Franck Loiret nommé Directeur délégué. Il en était, depuis 2007, directeur administratif et financier : Franck Loiret, a été nommé hier Directeur délégué de la Cinémathèque par le Conseil d'administration de la Cinémathèque de Toulouse.
Franck Loiret aura ainsi en charge la mise en œuvre de l'ensemble des actions et des projets de la Cinémathèque. Il mènera cette passionnante mission avec Franck Lubet qui sera en charge de la programmation et Arianna Turci, conservatrice, en charge de la conservation et de la gestion des collections. Âgé de 46 ans, Franck Loiret a effectué tout son parcours professionnel au sein d'institutions culturelles. Après avoir été comédien, en France et à l'étranger, il est devenu Directeur adjoint du Wyndham's Theatre à Londres. Chargé de mission au Théâtre National de Toulouse, il a été Directeur délégué du Centre chorégraphique James Carlès avant de rejoindre la Cinémathèque, en 2007. Dominique Auzel, nommé conservateur de la Cinémathèque de Toulouse. Arianna Turci : cinéma et dolce vita. Fine connaisseuse du 7e art, totalement en phase avec l'ère numérique, la nouvelle et jeune conservatrice de la Cinémathèque de Toulouse arrive dans la Ville Rose forte de sa riche expérience italienne.
Elle a simplement répondu à une annonce par mail. Elle y croyait, elle qui pourtant faisait le bonheur des Archives nationales d'impression de l'autre côté des Alpes, à Turin. Arianna Turci : nouvelle conservatrice de la Cinémathèque de Toulouse. Robert Guédiguian, nouveau Président de la Cinémathèque de Toulouse. Robert Guédiguiannouveau président de la cinémathèqueCdr Robert Guédiguian, réalisateur et producteur, présidera prochainement la Cinémathèque de Toulouse où il succédera ainsi à Martine Offroy qui quitte son mandat après 13 ans. Elle avait elle-même succédé à Daniel Toscan du Plantier. Le nouveau président prendra ses fonctions pour trois ans. Robert Guédiguian élu président de la Cinémathèque. Robert Guédiguian : « Il faut agrandir la Cinémathèque de Toulouse » Le réalisateur et producteur Robert Guédiguian, 62 ans, est le nouveau président de la Cinémathèque de Toulouse. C'est un homme de convictions et de combat. Choix judicieux pour l'institution en plein questionnements.
L'accent est marseillais, évidemment. C'est celui qui donne ce ton si particulier aux chroniques sociales que le réalisateur a tournées dans sa ville. Robert Guédiguian, l'homme de «Marius et Jeannette» et des «Neiges du Kilimandjaro», deux de ses plus beaux succès, tournera cet automne son nouveau film, «La villa», encore et toujours à Marseille, avec sa «troupe» : Ariane Ascaride, Gérard Meylan et Jean-Pierre Darroussin. Robert Guédiguian prend la tête de la Cinémathèque de Toulouse.
Répertoire des fonds d'archives. Mémoire filmique Pyrénées-Méditerranée.
Fonds Marcel Marceau. Fonds Luis Mariano. Verdun. A la cinémathèque : photos, vidéos et films amateurs.