À l’occasion du 500e anniversaire de la mort de Raphaël, plongée en images dans la Renaissance italienne. ✏️□ #confinementjour4 #CultureChezNous #RestezChezVous. Sonita alizadeh mariées à vendre. Guerrilla Girls/ La preuve que les féministes ont le sens de l’humour. Ce sont Frida Kahlo et Kathe Kollwitz, les deux membres fondateurs des Guerrilla Girls, qui nous ont fait l’immense plaisir de venir au Centre Pompidou partager leurs 25 ans d’expérience dans la lutte contre le sexisme et le racisme dans le monde de l’art, clôturant ainsi en beauté le colloque « Les Normes de genre dans la création contemporaine : reproduction/déconstruction ».
C’est Quentin Bajac, co-commissaire de l’accrochage « elles@centrepompidou » qui a introduit des Guerrilla Girls surprises et ravies, car, nous confiaient-elles, c’est la toute première fois dans leur carrière qu’un homme les présente. Pour voir la vidéo cliquez sur l’image ci-dessous : "Do Women have to be naked to get into the Met. Museum? " (1989) © Bibliothèque Kandinsky. C’est en 1985 que les Guerrilla Girls voient le jour. The Advantages og Being a Woman Artist" (1988) © Bibliothèque Kandinsky VALIE EXPORT, “Aktionshose : Genitalpanik”, 1969, ©centrepompidou Barbara Kruger, “Untitled”, 1983 © Centre Pompidou.
Théâtre de la Tempête. Le mythe de la jeune prêtresse Io, changée en génisse.
Le drame d’Écho, incapable de dire « je » et ne pouvant que répéter les dernières paroles de son amoureux Narcisse. L’histoire de la nymphe Daphné, qui préféra être changée en laurier plutôt que de céder aux avances d’Apollon. Le destin des sœurs Procné et Philomèle, mutées en oiseaux pour échapper à la vengeance de Térée, et les mythes d'Arachné et de Méduse, punies l'une à cause de son talent, l'autre de sa beauté.Quel sens aujourd’hui ces transformations veulent-elles nous communiquer ? Dans la continuité de son travail sur Iliade, Luca Giacomoni questionne les dynamiques de la violence et des systèmes de domination, mélangeant au plateau comédiennes professionnelles et non-professionnelles. Le poème d'Ovide devient ainsi une occasion de donner à voir l'invisible et de faire entendre des voix qui passent habituellement sous silence.
Revenir à la Womanhouse - Peau de Rat. Couverture du catalogue Womanhouse (avec Judy Chicago et Miriam Schapiro).
Graphisme de Sheila de Bretteville. (Feminist Art Program, California Institute of the Arts, 1972). Photo © Donald Woodman. Courtesy Archives “Through the Flower” Le collectif de curateurs-activistes le peuple qui manque re-édite en octobre la vidéo documentaire de Johanna Demetrakas Womanhouse (1974, 47 min.) pour la distribuer en France.
Ignoré pendant des années par la narration hégémonique de l’histoire de l’art, le projet de la Womanhouse apparaît aujourd’hui comme un travail indispensable non seulement pour comprendre la pratique artistique des années 70s, mais aussi pour penser le futur de la pédagogie de l’art et les relations entre architecture, performance et activisme social. Vickie Hodgetts, Robin Weltsch, and Susan Frazier. Sandy Orgel, Linen Closet, 1972, Projet « Womanhouse » Photogramme du documentaire Womanhouse de Johanna Demetrakas (1974, VOSTF). YouTube. Centre-intermondes. Un violeur sur ton chemin. Les organisatrices de chaque pays adoptent les paroles, en les traduisant et en les modifiant pour accompagner leurs protestations et leurs revendications locales.
Elles gardent le sujet principal de la performance pour une éradication des féminicides et des violences sexuelles, entre autres. Création[modifier | modifier le code] La performance est une création du collectif féministe Lastesis, composé de Lea Cáceres, Paula Cometa, Sibila Sotomayor et Dafne Valdés[1], qui travaillent durant un an et demi dans le cadre de la préparation d'une pièce de théâtre sur le viol. La représentation est cependant annulée en raison des manifestations de 2019[2]. Les autrices des paroles de la chanson ont réalisé une recherche sur l'état des droits des femmes dans le monde et ont basé le texte des paroles sur le résultat de cette dernière[1].
Déroulement[modifier | modifier le code] Paroles[modifier | modifier le code] « El violador eres tú. . — Lastesis. Womanhouse. Judy Chicago, Miriam Schapiro, leurs étudiantes et des artistes femmes locales ont participé à cette installation.
Judy Chicago et Miriam Schapiro encouragent leurs étudiantes à s'approprier les techniques de sensibilisation afin de générer le contenu de l'exposition. Seules les femmes furent autorisées à visiter l'exposition le premier jour. Par la suite l'exposition fut ouverte à tout le monde. Elle accueillit environ 10 000 visiteurs[2]. Origines[modifier | modifier le code] Le Feminist Art Program fut créée en 1971 au California Institute of the Arts, après une année expérimentale au Fresno State College sous le nom de Initial feminist art classes. Participants[modifier | modifier le code] Fondatrices[modifier | modifier le code] Judy Chicago (Menstruation Bathroom, Cock and Cunt Play)Miriam Schapiro (The Dollhouse, Dining Room)