France: liberté d’expression rime-t-elle avec illusion? Société URL courte Le site a été censuré suite aux attentats de Paris perpétrés dans la nuit du 13 au 14 novembre sous prétexte de la propagation de données susceptibles de nuire à la sécurité nationale du pays.
Cependant, le créateur du site, Luke Rudkowski, a affirmé que la réalité était tout autre. Selon lui, le gouvernement français cherchait à "bannir" le média qui le représentait sous un jour non-favorable. "Les autorités françaises étaient bel et bien au courant des attaques à venir. Et d'ajouter: "La loi adoptée, permettant au ministre de l'Intérieur de censurer n'importe quel site Internet, constitue sans aucun doute un coup bas porté à la liberté d'expression en France". Cependant, M. A titre d'exemple, il a mis en avant une vidéo récente démontrant que les Etats-Unis auraient favorisé l'émergence de l'Etat islamique (EI) en Syrie. Viré d’RMC pour avoir dit la vérité sur la nullité de nos dirigeants!
Je reproduis ici un article du site arrêt sur image.
Je vous invite d’ailleurs à aller y voir la vidéo concernée. Certains s’interrogent doctement pour savoir si le Président a bien « géré » la situation. Moins nombreux sont ceux qui osent dire (état d’urgence oblige) que si les choses avaient été bien faites à tous les niveaux, notre Président n’aurait rien eu à gérer du tout et notre pays n’aurait pas eu à pleurer ses 130 victimes. Charles SANNAT Guénolé viré de RMC : suite à sa chronique sur les dysfonctionnements de la brigade d’intervention de la police judiciaire lors des attentats du 13 novembre, le politologue et auteur d’une chronique quotidienne sur RMC a été remercié vendredi. » “Mediapart et Arrêt sur images dans la tourmente”, par Acrimed.
De lourds redressements fiscaux Les instances judiciaires et l’administration fiscale ont donc tranché en la défaveur de Mediapart et d’Arrêt sur images, condamnant de facto les deux sites d’information à un lourd redressement fiscal : 4,1 millions d’euros pour Mediapart et 540 000 euros pour Arrêts sur images.
Ces sommes correspondent à un arriéré de TVA pour la période 2008-2014, durant laquelle les deux sites ont fait le choix de s’aligner sur la TVA de la presse classique, soit 2,1%, et non sur celle que la loi leur imposait (entre 19,6 et 20%). Mediapart et Arrêt sur images seraient-ils donc de vulgaires fraudeurs, sortes de Jérôme Cahuzac de la presse en ligne ? C’est ce que d’aucuns semblent penser en exigeant des deux sites qu’ils s’acquittent de sommes qui mettent en péril leur santé, voire même leur survie. Légalité vs légitimité ? Était-il justifié de recourir à des moyens illégaux pour défendre une revendication légitime ? L’appel d’Arrêts sur images L’appel de Mediapart.
France 2 a bien licencié son "Monsieur Météo" Société Comment les écoutes sur la kamikaze ont piégé Abaaoud Hasna Ait Boulahcen, la probable kamikaze tuée mercredi à Saint-Denis, avait été mise sur écoutes par la Direction générale de la sûreté intérieure pour...
Politique Etat d'urgence : vote quasi unanime des députés L'Assemblée a approuvé par 551 voix pour et 6 contre l'intégralité du projet de loi de prorogation de l'état d'urgence en métropole et outre-mer. Attentats : Valls évoque le risque d'armes chimiques ou... Le Premier ministre, qui s’est exprimé devant l’Assemblée nationale avant l’examen ce jeudi du projet de loi prolongeant l’état d’urgence de trois... L’économiste Paul Jorion viré de la VUB. L’anthropologue belge Paul Jorion, économiste connu notamment pour avoir anticipé la crise des subprimes en 2007 et chroniqueur dans plusieurs journaux tels que Le Monde ou L’Echo, a annoncé vendredi avoir reçu de la Vrije Universiteit Brussel (VUB) un préavis de licenciement pour des raisons selon lui fantaisistes, cachant un désaccord de l’université sur sa vision de l’économie.
Dans une vidéo diffusée sur son blog, M. Jorion (69 ans) affirme que les raisons officielles de ce préavis concernent son niveau d’anglais, le fait qu’il délaisserait les étudiants ainsi que plusieurs plaintes d’étudiants. Il réfute ces motifs selon lui fantaisistes en rappelant qu’il a enseigné en Angleterre, en précisant les soutiens pédagogiques qu’il fournit aux étudiants et affirme n’avoir jamais eu connaissance d’une quelconque plainte d’étudiant. Fin du « monde d'après » sur Politis.