Histoire@Politique n°01 : Le dossier : Introduction : Femmes au pouvoir. Régulièrement, quand on traite des femmes et de la politique d’un point de vue comparatif, on parle de « l’exception française ».
À la fois parce que la France a été une des dernières grandes démocraties à donner le droit de vote et d’éligibilité aux femmes (1944 contre 1906 en Finlande, 1919 en Allemagne, 1920 aux États-Unis et au Canada, 1928 au Royaume-Uni pour ne citer que quelques exemples) mais aussi (et surtout) en raison de la faible place qu’elle leur concède dans son Parlement. À cet égard, elle est encore aujourd’hui (avec 12,3 % de députés depuis 2002) au 84e rang mondial.
Alors que les Françaises sont devenues, pour ce qui concerne leur participation électorale, des citoyennes à part entière et que l’on peut dresser un bilan positif de leur exercice du droit de vote, il n’en va pas de même de l’éligibilité. Paradoxalement, elles sont un peu plus nombreuses à siéger dans les gouvernements qui se sont succédés depuis 1981. 1981-1995 : la gauche donne l’exemple. Décentralisation : chronologie, 4 août 1789 , 29 septembre 1789 , 14 décembre 1789 , 22 décembre 1789 , 26 février 1790 , 3 septembre 1791 , 17 février 1800 , 21 mars 1831 , 18 juillet 1837 , 10 août 1871 , 5 avril 1884 , 10 janvier 1944 , 19 mars 1946 , La construction d’une République une et indivisible 4 août 1789 La "Nuit du 4 août" met fin aux privilèges des provinces, principautés, villes et communautés d’habitants désormais confondus dans le droit commun des Français.
Cette décision consacre l’unité administrative du royaume. 29 septembre 1789 Présentation du rapport Thouret sur la division de la France à l’Assemblée constituante. 14 décembre 1789 La commune devient la cellule administrative de base. 22 décembre 1789 La loi relative à la constitution des assemblées primaires et des assemblées administratives crée le département, conçu comme une division du territoire et non comme une nouvelle collectivité. 26 février 1790 La France est divisée en 83 départements. 3 septembre 1791 La Constitution dispose : "Le Royaume est un et indivisible : son territoire est distribué en quatre-vingt-trois départements, chaque département en districts, chaque district en cantons". 17 février 1800.
Observatoire de la laïcité. cache.media.education.gouv.fr/file/09_Septembre/64/0/chartelaicite_3_268640.pdf. Sommaire. Académie française. Laïcité, valeur de l'école républicaine. En apprenant La Marseillaise - rubrique 'Solidarité' Les exceptions au droit des cultes issu de la loi de 1905, L'Etat et les cultes. - Politiques publiques - repères. La loi de séparation des églises et de l’Etat de 1905 ne s’applique pas sur l’ensemble du territoire français.
En Alsace-Moselle, le droit local des cultes est largement issu du concordat de 1802. En Guyane, le texte en vigueur reste l’ordonnance royale de Charles X du 27 août 1828. Dans d’autres territoires d’outre-mer, ce sont les décrets-loi Mandel de 1939 qui sont les fondements du droit local. Le droit des cultes en Alsace-Moselle La loi de séparation des églises et de l’Etat a été adoptée en 1905, période pendant laquelle les départements d’Alsace-Moselle étaient annexés par l’empire allemand, à la suite de la défaite de 1870 et du traité de Francfort du 10 mars 1871.
Le statut des cultes dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle est largement issu du régime concordataire mis en place en 1802, modifié par des textes allemands notamment sur le traitement et les pensions des ministres du culte, de leurs veuves et de leurs orphelins. Les exceptions outre-mer. La Marseillaise: informations et cartes. Dans la nuit du 25 au 92, un jeune officier âgé de 31 ans, Claude Joseph Rouget de Lisle, compose un chant de guerre pour donner courage et bravoure aux troupes françaises en guerre contre l'Autriche.
Il est alors affecté à Strasbourg dans un bataillon au nom évocateur : "Les enfants de la patrie". En un mois, cette œuvre fait le tour de France et rejoint Paris en juillet 1792 avec les Marseillais venus défendre la patrie en danger. En quelques semaines, l'hymne a trouvé son titre : La Marseillaise. Son succès est tel qu'il est déclaré chant national le 95. Interdite sous l'Empire et la Restauration, la Marseillaise est remise à l'honneur lors de la Révolution de 1830 et Berlioz en élabore une orchestration qu'il dédie à Rouget de Lisle. En 1887, une commission composée de musiciens professionnels a déterminé une version officielle après avoir remanié le texte mélodique et l'harmonie. Le caractère d'hymne national est à nouveau affirmé dans les constitutions de 1946 et de 1958.