Château de Caen. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le château de Caen est un ensemble fortifié du centre-ville ancien de Caen. Fondé vers 1060 par Guillaume le Conquérant, il connait de nombreux aménagements au fil des siècles. Avec 5,5 hectares, c’est l’un des plus grands châteaux d’Europe[1]. Son enceinte contient aujourd’hui : les vestiges du donjon, non ouverts au public ;le logis du gouverneur (actuel musée de Normandie) ;le cavalier d'artillerie et les salles du Rempart (salles d'exposition du musée de Normandie) ;le musée des beaux-arts de Caen ;l’église Saint-Georges ;la salle de l'Échiquier en référence à l'Échiquier de Normandie (salle d’exposition temporaire pour le musée de Normandie) ;le jardin des simples, reconstitution d'un jardin médicinal du Moyen Âge. Situation[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Le château ducal (vers 1060 - 1204)[modifier | modifier le code] L'entrée primitive côté université.
Bruno Decaris sévit encore : le couvent des Pénitents à Louviers. 1.
L’école de musique de Louviers construite sur les ruines du couvent des Pénitents vue de l’arrière (architecte : Bruno Decaris) Photo : Didier Rykner Voir l'image dans sa page 10/4/14 - Patrimoine - Louviers, couvent des Pénitents - Parmi les architectes en chef des monuments historiques dont nous aimerions qu’ils changent de métier, pour le bien des édifices qu’ils prennent en charge, nous n’avions jamais parlé de Bruno Decaris. Celui-ci a gagné sa notoriété par le traitement qu’il a fait subir au château de Falaise, un scandale qui a défrayé la chronique dans les années 1990. Dans Télérama, Decaris déclare : « Mon travail consiste à révéler les monuments, à les mettre en lumière, à leur donner du sens. Pas à les restaurer !
2. 3. Nous consacrerons bientôt un article à l’église de Louviers. 4. 5. English version. Malaise à Falaise. «Fuck le mur!»
Un tag ravageur souillait, il y a peu de temps encore, le mur de béton dressé devant la façade est du château de Falaise. Visées: la restauration de l'édifice, classé monument historique en 1840, et les adjonctions de l'architecte, Bruno Decaris. Couverture de Téflon traitée de «chapiteau de cirque», avant-corps en béton gris lissé qui rappelle fâcheusement aux Normands le ponton d'Arromanches: il y a comme un malaise à Falaise. «Comment a-t-on pu laisser faire?» Clament les pétitionnaires de l'association Aimer Falaise, ulcérés par la laideur du «blockhaus». Des différentes attitudes possibles en matière de restauration, Bruno Decaris a choisi la plus «forte», selon les siens, la plus «brutale», selon ses adversaires, qui parlent de Falaise comme d'un «nid de coucou».
Louviers : Bruno Decaris, un architecte mécontent. L’architecte Bruno Decaris connaît bien Louviers.
La restructuration de l’école de musique, c’est lui. Il a aussi déjà réalisé deux tranches de rénovation de l’église Notre-Dame. Et justement, quand la Ville a lancé un appel d’offres en vue de réaliser un diagnostic général de l’édifice religieux, son cabinet d’architectes parisien, Opus 5, a candidaté. Faire vivre (et laisser mourir) le patrimoine.
Faire vivre (et laisser mourir) le patrimoine. Faut-il opposer réutilisation et restauration. A propos de deux publications récentes [Dominique Rouillard, Architectures contemporaines et monuments historiques. Guide des réalisations eu France depuis 1980 ; Philippe Robert et Christine Desmoulins, Tran. Patrick PONSOT manifestations du romantisme : le style troubadour du début du siècle (qui réutilisait, recomposait à partir d'éléments anciens) ; les travaux novateurs de Lassus et de Duban sur les monuments ; ceux du Comité des Arts de Didron et Victor Hugo sur les institutions.
Les recherches de ces dernières années sur le XIXe siècle ont montré tout ce que Mérimée et Viollet-le-Duc devaient à ce foisonnement et comment tout s'était finalement organisé en une machine de guerre (« l'unité de style ») qui finit par phagocyter, et pour longtemps, toute pensée de la restauration. La notion de réversibilité en conservation-restauration – Tables de travail. Introduction La mise en place progressive d’une déontologie de la conservation-restauration au XIXe et surtout au XXe siècle a vu l’émergence et la définition de notions qui sont aujourd’hui considérées comme des concepts fondamentaux devant guider la réflexion et la pratique du restaurateur.
La réversibilité en est un, et si elle est acceptée unanimement, sa définition et son application ne sont pas toujours claires, montrant qu’en réalité, le passage de la théorie à la pratique comporte des écueils parfois difficiles à surmonter. Au XVIIIe siècle, les rentoileurs et réparateurs de tableaux expriment dans des textes la possibilité d’enlever les restaurations antérieures ainsi que les leurs. Cette préoccupation d’accorder une primauté absolue à l’objet et à la matière originale est nouvelle. Sap brochurev5 recadrage compr.