Neuville-en-Ferrain: toucher pour voir avec le projet Tri-D - Neuville-en-Ferrain. Tri-D, la Troisième Révolution des Idées. Luna, le vélo imprimé en 3D. Luna est un concept-bike au design épuré.
Présenté comme un moyen de déplacement urbain classique, le deux-roues se distingue par sa conception modulable et ses composants imprimés en 3D. En résumé, c'est une étude de style qui tente d’établir un lien entre design et nouvelle technologie. Grâce à l’impression 3D, ce vélo pourra être réparé rapidement en cas de besoin. Impression 3D, imprimantes 3D et innovation - Ze Small Factory.
Additive Manufacturing in Space. Vidéo > Strati : la première voiture imprimée en 3D. L'impression 3D à base de métal liquide [Vidéo] Un nouveau procédé d’impression 3D fait son apparition.
Celui-ci utilise du métal liquide à température ambiante. L’actualité et l’activité autour de l’impression 3D est tellement dense qu’on a de nouveaux éléments presque tous les jours. Aujourd’hui, on découvre une nouvelle technique d’usinage qui utiliserait du métal liquide plutôt que le plastique que l’on a l’habitude de voir. Tout le problème du métal, c’est qu’il faut une température très élevée pour le faire passer de l’état solide à l’état liquide. C’est pour cela qu’une équipe de chercheurs de la North Carolina State University ont créé un métal composé de 75% d’alliage eutectique de gallium et de 25% d’indium. Cet alliage particulier permet à ce métal d’être à l’état liquide lorsqu’il est à température ambiante. Attention tout de même, une couche solide est effectivement créée mais l’intérieur des ‘gouttes’ reste bel et bien liquide.
Le CHU de Montpellier imprime un embryon en 3D ! Le stylo ultime des geeks makers ! Hello les amis !
Un service d'impression 3D qui transforme les dessins d'enfants en objets matériels. Un éditeur catalan vient de lancer un nouveau service qui devrait plaire aux familles : le rendu et l’impression 3D de dessins d’enfants.
Avec l’internet des objets et l’économie du partage, le marché potentiel autour de l’impression 3D est certainement la Next Big Thing des années à venir dans l’économie numérique. Une économie plus seulement numérique puisqu’il s’agit ici de « rematérialiser » des objets à partir de données immatérielles, autrement dit de transformer des pixels en atomes[1]. De nombreux services se sont déjà créés autour de ce marché naissant et prometteur, parmi lesquels on peut citer le français Sculpteo, qui vient de recevoir le Prix Best Innovation au CES 2013 pour son application mobile de création 3D. Un autre éditeur, catalan celui-ci, basé à Barcelone, vient de lancer un nouveau service qui devrait plaire aux familles : le rendu et l’impression 3D de dessins d’enfants. Voir le site CrayonCreatures (source) Impression 3D : un plâtre équipé d'un dispositif à ultrasons.
OSTEOID.
Réparer les fractures osseuses près de 40% plus rapidement qu’avec un plâtre classique ? C’est la prétention de l’Osteoid, un plâtre réalisé par impression 3D et imaginé par le designer turc Deniz Karasahin, qui a reçu pour cette invention le premier prix du A’ Design Award dans la catégorie "3D Printed Forms and Products Design". Léger, aéré et résistant à l'eau, l'Osteoid n'empêche pas son porteur de prendre une douche et peut être facilement glissé dans une chemise ou une veste.
Il est également peu encombrant, car conçu selon la morphologie du malade. Un système de consolidation des fractures par ultrasons Surtout, ce plâtre d’un nouveau genre utilise un système à ultrasons qui doit permettre aux os de se ressouder 38% plus rapidement qu'avec un plâtre classique. Ce dispositif LIPUS (Low Intensity Pulsed Ultra Sound) qui équipe l'Osteoid est un système de consolidation des fractures par ultrasons de basse intensité à destination des fractures récentes non consolidées. Un avion imprimé et qui vole vraiment. Nombreux sont ceux qui pensent que la prochaine révolution sera celle de l'impression.
On pense à l'impression 3D (encore stéréolithographie pour les puristes). De nos jours, on s'en sert essentiellement dans la recherche et l'industrie (prototypage rapide). Certains croient qu'un jour, tout le monde pourra concevoir des objets et les créer : on aura sa petite usine chez soi. Des ingénieurs de l'université de Southampton ont voulu voir si l'idée pouvait prendre son envol et ont imprimé, couche par couche, des pièces d'un avion modèle réduit de 2 mètres d'envergure propulsé électriquement.
Cet avion ne comporte donc aucun boulon : tout était « fixable ». Pour l'anecdote (d'ingénieurs), le concept se fonde sur une structure géodésique qui avait été employée dans l'aéronautique sur le célèbre bombardier anglais Vickers Wellington de la Seconde Guerre mondiale (1936). Une imprimante 3D fabrique des objets en verre. Un objet en pâte de verre, d'abord dessiné sur écran et ensuite réalisé par l'ordinateur. © University of Washington Une imprimante 3D fabrique des objets en verre - 2 Photos A l'Université de Washington, Mark Ganter et ses collègues du Solheim Rapid Manufacturing Laboratory travaillent depuis de nombreuses années sur ce que l'on appelle les imprimantes 3D, capables de fabriquer des objets.
A l'origine, cette technique, appelée stéréolithographie, utilisait la polymérisation de résine par un laser piloté par un ordinateur et balayant la surface. Un logiciel peut ainsi, tranche par tranche, solidifier la résine pour matérialiser un modèle numérique. Toujours utilisée dans l'industrie, et même en chirurgie, cette technique reste très coûteuse mais une autre méthode est apparue, reprenant, elle, le principe d'une imprimante à jet d'encre. Impression 3D : 24 heures pour fabriquer 10 maisons à 4300 € pièce. 24 heures.
C'est le temps qu'il aura fallu à une immense imprimante 3D pour construire 10 maisons dans la ville de Shanghai.