Concept de génération. Comportements intergénérationnels. Regards critiques sur la génération Y. Prensky. Revue sticef.org. Georges-Louis BARON*, Éric BRUILLARD ** *EDA, Université Paris-Descartes, ** STEF, ENS Cachan et INRP 1.
Contexte général 1.1. Une situation nouvelle Par rapport à il y a une quinzaine d’années, l’univers quotidien des jeunes s’est empli de dispositifs et d’instruments informatisés pouvant être utilisés dans l’apprentissage, qu’il soit formel ou informel. Un ensemble de questions liées aux modes d’appropriation de ces outils par les jeunes, à leurs compétences et aux défis que le système scolaire doit relever se pose alors. Ces questions, qui ont donné lieu à des recherches depuis le début des années 2000 (André et al., 2004 ; Pochon et al., 2006 ; Baron et al., 2009), ont une importance pratique pour le domaine des EIAH : la conception d’environnements d’apprentissage doit en effet prendre en compte non seulement les compétences des usagers, mais aussi les contextes dans lesquels ils se trouvent. 1.2. L’argument repose sur une idée assez simple. Génération Y. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Américaines sur quatre générations : la jeune mère représente la génération Y (d'environ vingt-cinq ans en 2008). La génération Y regroupe des personnes nées approximativement entre les années 1980 et les années 1990 (selon les sociologues) et le début des années 2000, mais l'individu et le genre traversent les années. L'origine de ce nom a plusieurs attributions. Pour les uns il vient du Y que trace le fil de leur baladeur sur leur torse ou de la façon de porter les jeans taille très basse qui de ce fait laisse apparaitre un « y » dans le bas du dos[réf. nécessaire] ; pour d'autres ce nom vient de la génération précédente, nommée génération X, enfin pour d'autres, il vient de la phonétique anglaise de l'expression Y (prononcer waɪ), signifiant « pourquoi » [N 1],[1].
Génération Y, génération Digital Natives Ou digital Naives ? Marketing Génération Y nouveau marché Nouveau concept marketing ou consulting de Ressources humaines, la nouvelle génération "digital natives" fait fureur.
Moyen d’exploiter et de nourrir les formations et séminaires d’enteprise, pour ne pas s’occuper ce qui réunit les travailleurs, peut importe Génération X ou Y. Je ne ferai pas un résumé caractéristiques des générations X et Y. voir Wikipedia. L’arrivée des Digital Natives pose question. Exemple : une stagiaire Génération Y, s’affolant " de ne pas connaître l’informatique " pour mettre à jour un outil de publication d’informations d’entreprise ( un blog !
" Ceux d’aujourd’hui ont un ordinateur, sont devant quatre heures par jour mais ils peuvent ne pas savoir comment ouvrir un fichier texte. " Génération Y – Caractéristiques comportementales. Dans la littérature et sur internet, on explicite largement les caractéristiques de la génération Y.
Qu’en est-il de la communication ? Et notamment des aspects médiologiques de cette communication ? Ci après, les caractéristiques relatives au champs de la communication : Usage des réseaux sociaux et relation phatique. Les nouveaux réseaux sociaux ( facebook, twitter ) permettent de communiquer, sans forcément échanger de l’information. La génération Y utilise en masse ces moyens d’échange. La fonction principale rejoint la fonction phatique de la communication, c’est à dire : faire durer le lien, la discussion ( t’es ou ? Etudiants, digital natives ou digital naïves ?
Les Digital Natives, ou les Y Génération, désignant les jeunes qui ont grandi avec le Web a recours facilement à l’apprentissage informel.
Il est toutefois difficile de cerner précisément le profil de cette nouvelle génération qui commence à intégrer les établissements d’enseignement supérieur. Périne Brotcorne, sociologue, chargée de recherche au Centre Travail et Technologie de la Fondation Travail-Université-Bruxelles/Namur (Belgique) a beaucoup étudié les jeunes et leur usage du numérique ; sa conférence aux journées E-learning de Lyon pose la question : "étudiants, digital natives ou digital naïves ?
" Dans un article désormais célèbre paru en 2001, Marc Prensky introduisait la notion de « Digital Natives » pour parler des nouveaux étudiants auxquels il avait affaire. Progressivement, le terme de « digital natives » a été utilisé pour désigner les membres de la génération Y qui sont de gros consommateurs d’internet et de technologie. Conférence « Génération Y : mode d’emploi. Zappeurs ? Infidèles ? Impatients ? Comment former, fidéliser et insérer vos étudiants. » Des certitudes pour 2012 (1) : le défi intergénérationnel. L’histoire étant un grand cimetière aux pronostics, il peut paraître bien imprudent de se risquer à évoquer quelques certitudes pour 2012.
L’ignorance de l’offre politique précise (candidats et programmes) qui sera proposée aux électeurs, semble décourager la prévision. Et pourtant, il nous semble qu’un accord large pourrait d’ores et déjà s’établir sur les points suivants : De la conjoncture… 1-Les conséquences de la crise de 2008 n’auront pas disparu en 2012. La fébrilité continue de la Bourse, la crise des dettes publiques, l’incertitude de la reprise, notamment aux Etats-Unis, font que le contexte économique dans lequel se déroulera l’élection sera, au mieux, fragile. 2-Les marges de manœuvre budgétaires seront réduites, pour ne pas dire inexistantes, en raison du poids de la dette et du déficit. …Au défi intergénérationnel … et civilisationnel Un avenir ouvert… ou fermé ! Christophe de Voogd Cet article est dédié à Gabrielle Tavernier.