Larissa BELIN
Etudiante en première année de psychologie, quadrilingue ( anglais, français, espagnol et portugais), j'ai pour passion le voyage et l'art.
Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique. Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique. LES COMPORTEMENTS ADDICTIFS LIES A L'USAGE DU NUMERIQUE. COMPORTEMENTS ADDICTIFS AU NUMERIQUE. Définition et typologie de la cyberdépendance. Définition et typologie de la cyberdépendance Désignant, à l’origine, toute dépendance à l’ordinateur, ou plus largement à l’univers informatique, ce terme est aujourd’hui utilisé principalement pour désigner une dépendance qui s'instaure chez une personne faisant un usage distordu des moyens de communication offerts par Internet.
Cette personne est dans la recherche constante de connexion au réseau informatique afin d’y établir une communication, d’ y trouver une information, du sexe ou du jeu virtuel. Elle éprouve une anxiété désorganisatrice si elle ne peut pas se connecter, et sa vie personnelle et sociale s'organise autour de la connexion. À l'image d'une toxicodépendance, le cyberdépendant manifeste un phénomène de manque et peut recourir au mensonge pour réduire l'importance de son addiction. La typologie de la cyberdépendance décline 4 quatre types majeurs : Journée sans téléphone mobile : et si on décrochait ? Pour l’expert en comportement Thierry Le Fur, il est indispensable de trouver « les conditions d’un usage adapté ».
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Marlène Duretz Une journée sans téléphone mobile ? Depuis 2001, Phil Marso, instigateur de la journée mondiale sans téléphone mobile, encourage à réfléchir sur le « mobilou » chaque 6 février, le jour de la saint Gaston – et sans déplaire à Nino Ferrer et à son « téléphon qui son’/Et y a jamais person’ qui y répond ». Autant demander l’impensable et tenir à l’impossible une majorité de détenteurs de ce doudou connecté, que 60 % des Français consultent dans la première heure suivant leur réveil et que 30 % dégainent entre dix à vingt-cinq fois par jour, et 13 % cinquante fois et plus. Entretien: Lucia Romo : La cyberdépendance en question. Peut-on vraiment être « accro » à Internet ou aux jeux vidéo ?
La question divise les chercheurs. D’autant que souvent, ce trouble peut en cacher un autre… Nous avons interrogé Lucia Romo, psychologue à l'hôpital Sainte-Anne, à Paris, professeure de psychologie clinique à l'université Paris Ouest Nanterre La Défense, et co-auteure, avec Stéphanie Bioulac, Grégory Michel et Laurence Kern, de l'ouvrage La dépendance aux jeux vidéos et à Internet (Dunod, 2012).
La « cyberdépendance » a pour origine un canular du psychiatre Ivan Goldberg, diffusé sur Internet en 1995 (1), ce qui sert d’argument aux adversaires de ce concept. Qu’en pensez-vous ? La technologie a beaucoup évolué, et nos comportements aussi. Malgré de nombreuses études sur le sujet, il subsiste une absence de consensus sur la définition de la dépendance aux jeux vidéo. Les addictions avec substance comme l'alcool ou le tabac étant connues depuis longtemps, des recherches ayant validé les critères qui les définissent.
Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ? Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique.
En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Celles-ci peuvent consulter leur smartphone 100 fois par jour et se précipiter à la moindre alerte ou notification. Le documentaire Digital Detox s'est inspiré de cette dépendance.
Addiction, concentration, performances… ce que l’on sait (ou pas) des effets du smartphone. La recherche est encore balbutiante sur les effets de l’hyperconnexion aux smartphones, un phénomène récent à l’échelle de l’histoire de l’humanité.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Céline Mordant Il y a dix ans, le 9 janvier 2007, le patron d’Apple, Steve Jobs, présentait le premier iPhone. Depuis, le « téléphone intelligent » s’est imposé dans notre quotidien, dans nos poches, nos mains. On l’éteint rarement, on ne le quitte plus… Aurait-il refaçonné notre façon de penser ? Que disent les neurosciences des effets de cette hyperconnexion sur notre cerveau ? Dans le flot des études et publications parfois contradictoires qui dressent soit une inquiétante liste des dégâts, soit une ode très optimiste aux facultés d’adaptation de l’être humain, difficile de s’y retrouver. Note1. Forums Psychologie : Discussion libre. Observatoire International du Numérique: Dépendance/addiction numérique. Certes, l’attrait irrésistible que nous éprouvons pour ces liens numériques semble nouveau.
Mais il ne fait que refléter l’expérience du nouveau-né dans le carré parental et la durable nostalgie organique et psychique que nous éprouvons inconsciemment depuis la séparation de la naissance, lorsque le cordon ombilical a été coupé. Chacun ressent le désir d’être rebranché, au point où cette connexion évoque le cordon ombilical du fœtus par rapport au placenta. Nous l’appellerons « ombilical numérique ». Le web devient alors un ersatz du corps maternel. La croissance personnelle, la satisfaction physique et psychique passent par lui. Le mythe élémentaire de l’unité perdue est déterminant dans l’image du monde que crée chaque enfant.
Note2. Afficheapprivoiserlesecrans2016 4 hr.