L’infobésité, une pandémie à traiter - Blogs Intelligence économ. Les éditeurs de solutions de gestion des connaissances et autres structures conseil dans l’amélioration des processus décisionnels émettent régulièrement des analyses sur le problème de la surcharge informationnelle qui guette les travailleurs du savoir.
Nos cousins du Québec ont substitué au concept d’« information overload » celui d’infobésité pour désigner cette surabondance de la matière première : la data, la donnée. Cette surcharge informationnelle est - pour les entreprises - génératrices de coûts (The Hidden Costs of Information Work" IDC - mars 2005). Certaines études vont jusqu’à avancer l’idée que les décideurs sont soumis à un stress croissant devant l’équation : accumulation du volume des données à traiter + processus de sélection et de validation complexifié = difficultés à prendre les bonnes décisions. Alors comment mettre de l’ordre dans cette masse informationnelle protéiforme ? Surcharge informationnelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La surcharge informationnelle (en anglais information overload), ou surinformation[1] ou encore infobésité (néologisme québécois[2]), est un concept désignant l'excès d'informations qu'une personne ne peut traiter ou supporter sans nuire à elle-même ou à son activité. Cette notion, également évoquée par le sociologue Edgar Morin sous l'appellation de « nuage informationnel », est quelque peu différente du brouillard informationnel en temps de guerre[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Bien que ce concept soit au début du XXIe siècle étroitement lié au développement des chaînes de télévision d'information en continu, à l'utilisation des technologies de l'information et de la communication et, en particulier, les nouvelles technologies de l'information représentées par Internet, il a fait son apparition dès le début des années 1960 comme l'une des sources de dysfonctionnement des organisations[4].
Citations[modifier | modifier le code] Gérer la surinformation – Formation. Un facteur d'échec : la surinformation. Ingénieries de la sérendipité. Avec l'arrivée du web contributif, la sérendipité est aujourd'hui partout réellement présente et systématiquement agissante.
Mais cette capacité à trouver de nouveaux amis en ligne, ces liens passionnants qui semblent surgir aléatoirement au détour d'un raccourcisseur d'URL sur Twitter sont-ils réellement de la sérendipité en action ? Voici quelques-unes des questions auxquelles ce billet va tenter d'apporter des réponses [...] La sérendipité désigne la capacité à trouver des informations qui n'étaient pas celles que l'on recherchait initialement mais qui vont cependant s'avérer utile pour résoudre le problème ou la question à l'origine de notre recherche, ou d'une recherche/d'un problème antérieur ...
" Cela ressemble à de la sérendipité, ça à la goût de la sérendipité … mais ce n’est pas nécessairement de la sérendipité. 1998 : Sérendipité année zéro. Sérendipité et SIC. Sérendipité illustrée. Caroline Sauvajol-Rialland, Xerfi Canal Infobesité : la sur-information menace les entreprises. Infobésité : apprendre à prioriser les informations. L’infobésité se caractérise par la surcharge d’informations numériques, reçues par notre mental, à tous moments : au travail, dans sa vie personnelle, lors des loisirs… Voire même… la nuit, pour ceux qui relèvent leurs messages lors d’une phase d’insomnie, ou au réveil, tôt le matin. « Il est important d’avoir en tête que notre système cognitif traite certaines données de façon consciente ET inconsciente.
Et lorsque l’individu est exposé à un afflux d’informations, vis-à-vis desquelles il se met en posture de devoir réagir, le mental est menacé, souligne Caroline Cuny, titulaire d’une thèse en psychologie cognitive. Car, de fait, le traitement continu et permanent de l’information digitale nous place dans l’illusion de l’attention. Le cerveau humain n’est pas multitâche. Le « zapping » appauvrit en réalité nos capacités, et nous épuise ». Les messages à contenu cognitif et émotionnel sont sources de stress Les préconisations 1- S’or-ga-ni-ser ! 3- Lutter contre l’impératif d’immédiateté. “Derrière nos écrans de fumée” sur Netflix : rencontre avec des repentis de la tech.
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