Gilles Deleuze: H for History. Dire, penser et pratiquer la participation. Le Dictionnaire critique et interdisciplinaire des mots de la participation Un programme de recherche Deux constats majeurs sont à la base de la vaste entreprise éditoriale qu’est le premier Dictionnaire critique et interdisciplinaire de la participation.
D’une part, la conjoncture historique actuelle marquée par des formes renouvelées de mobilisation et de participation oblige les théoriciens et les praticiens de la participation à se mettre en résonance avec des phénomènes tels que le mouvement Occupy, les Indignés, les révolutions arabes, le parti Pirate allemand, etc. Ces pratiques de mobilisation politique citoyenne à différentes échelles non seulement ont reconfiguré l’espace politique, mais elles ont également produit de nouveaux mots pour appréhender le monde et rempli d’un sens inédit les anciens mots du politique. Textes de références. André Gorz, penseur de l’émancipation. Ce portrait d’André Gorz sera suivi de deux points de vue critiques et inédits sur son œuvre, l’un que Robert Castel a écrit pour la Vie des Idées en octobre 2012 (« Salariat ou revenu d’existence ?
Lecture critique d’André Gorz »), l’autre de Bernard Perret (« Écologie et émancipation. Penser avec et contre Gorz »). Dans la cartographie du paysage intellectuel européen de la critique sociale depuis les années 1960, la figure d’André Gorz se distinguerait par son originalité et sa singularité. Son œuvre de philosophie sociale et politique occupe incontestablement une place à part, à la fois reconnue et méconnue. Il y a plusieurs manières de faire le portrait intellectuel d’un auteur. Les trois premiers ouvrages de Gorz sont de purs essais philosophiques : Fondements pour une morale (publié dans une version allégée en 1977 mais écrit entre 1946 et 1955) ; Le Traître (1958) et La Morale de l’Histoire (1959).
Célestin Freinet: Pédagogie et émancipation (livre) "Lorsqu'on nous demande : Quelle est la ligne de notre Mouvement ?
, nous devrions sans doute répondre : nous sommes le mouvement qui déplace les lignes. " Formule de Freinet longtemps en exergue de la revue L'Éducateur. Henri Peyronie, Célestin Freinet: Pédagogie et émancipation. 1999. Ed. Hachette Lorsqu'on parle de pédagogie coopérative, c'est Célestin Freinet qu'on présente comme figure de proue. Freinet raconte : "Quand je suis revenu de la guerre 14-18, j'avais été assez sérieusement blessé et, notamment, je ne pouvais pas parler longtemps, surtout pas dans une salle de classe. À ces raisons pratiques s'ajoute un engagement militant. Chez Freinet, toutes ces techniques sont reliées les unes aux autres dans une organisation globale cohérente de la classe.
L'émancipation, entre l'éducation permanente et l'aide sociale. La question de l’émancipation par l’éducation et la culture se pose depuis longtemps et dès les Lumières ou la révolution française elle fait l’objet de débats politiques.
Ainsi, Condorcet à l’Assemblée nationale française les 20 et 21 avril 1792 : « L’instruction… doit assurer aux hommes de tous les âges de la vie la faculté de conserver des connaissances et d’en acquérir des nouvelles... ». Un autre pédagogue soucieux d’émancipation est le français Joseph Jacotot (1770-1840) qui, en 1818, s’est retrouvé à l’université de Leuven à devoir enseigner la littérature française à des étudiants qui ne connaissaient pas le français, lui-même ignorant tout du néerlandais.
A partir d’une une édition bilingue du Télémaque de Fénelon, il leur a demandé d’apprendre par cœur le texte français. A son étonnement, il a découvert qu’après quelques temps, les étudiants étaient non seulement capables de répéter mais aussi de s’exprimer dans un français correct à propos de ce qu’ils avaient lu. L'empowerment, une pratique émancipatrice - NDL-BACQUE-Lempowerment.pdf. Les 10 leçons sur l’empowerment de Marie-Hélène Bacqué. Le 20-03-2013 Par Erwan Ruty Sociologue spécialiste des quartiers, la nouvelle coresponsable de la mission sur la participation des habitants confiée par le ministre de la Ville François Lamy, publie avec Carole Biewener un opuscule dédié à ce nouveau fétiche venu d’outre-atlantique, l’empowerment.
Pour réveiller la démocratie locale, participative, communautaire ? On en rêve, mais on peine à y croire. Résumé en 10 points. Un concept américain Comme tout ce qui brille, qui fait de la mousse et qui fait courir les médias, l'empowerment est une invention américaine, remontant aux années 1970. Un concept qui fut radical L'empowerment est un processus par lequel des individus vont se responsabiliser et se doter d'une conscience sociale, qui peut devenir collective, leur permettant de s'émanciper et de développer des capacités d'action pour se prendre en charge eux-mêmes, et changer leur environnement.
L’empowerment à usage des féministes et des minorités Noires. Aide pour le mémoire. La pédagogie des opprimés selon Paulo Freire. Mado : Après la dramaturgie simultanée, l’histoire du théâtre de l’opprimé ne s’arrête pas là.
D’après cette expérience, avec la phrase de Che Guevara en tête mais aussi d’après Paulo Freire, un éducateur brésilien avec qui ton père a travaillé, Augusto Boal fait ensuite ce qu’il a appelé le « théâtre de l’opprimé ». L’influence de Paulo Freire a été décisive, dis-tu. Émancipation sociale. Qu'est-ce que l'empowerment ? Liens-ressources. Référentiel-documents. Pouvoir d'agir, enpowerment, capacitation. Comprendre les concepts.