Pour éviter le Grexit, on a détruit l'idéal européen. FIGAROVOX/TRIBUNE - Pour Charles Wyplosz, l'accord européen trouvé dans la nuit avec la Grèce est une victoire à la Pyrrhus : sur le plan économique, les dispositions convenues ne sont ni soutenables, ni viables.
Charles Wyplosz, professeur d'économie internationale à l'Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID) à Genève, est directeur du Centre international d'études monétaires et bancaires. Et voilà, une nuit blanche a abouti à un accord pour éviter le Grexit. Mais quel accord et pour combien de temps? Bien sûr, les aspects politiques sont fascinants, mais je me concentre ici sur les questions économiques. Le nouvel accord va beaucoup plus loin que celui de la fin juin qui avait été rejeté par Tsipras et ensuite par le référendum. Les points essentiels de l'accord sont les suivants. Deuxièmement, la Grèce s'engage à des réformes «ambitieuses» et «approfondies» de ses marché du travail et des biens et services.
Toutes ces réformes sont parfaitement justifiées. Laurent Gayme sur Twitter : "The Greek Deal Is a Disaster for Greece, and Maybe for Europe... Romaric Godin sur Twitter : "La défaite de la #Grèce, la défaite de l'Europe #Grexit #EuroSummit"... Adieu Benoît, vive François ! Un souverain pontife qui s’affirme proche des pauvres et qui veut briser la distance entre le Vatican et les croyants ?
À Saint-Pierre-des-Corps, où catholicisme et engagement militant vont souvent de pair, autant dire qu’on adhère ! « Ça me va totalement », s’enthousiasme Marie Teinturier, présidente du Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD) d'Indre-et-Loire, qui habite la ville. Quelques jours ont passé depuis la fameuse fumée blanche au dessus de la chapelle Sixtine, mais l'excitation est toujours la même : « Je suis très heureuse que ce soit un pape sud-américain ! C'est un grand moment d'espoir. Je vois son élection un peu comme celle de Jean-Paul II. Pour Marie, l'élection d'un pape argentin doit permettre de changer notre vision du monde : l'Europe n'est plus au centre du monde catholique. © Arnaud Manceau.
Pourtant, Marie aurait pu ne pas voir en direct le cardinal Bergoglio devenir le 266e successeur de Saint-Pierre. "On verra à l'usage ! Image: femmes de Tombouctou fêtant Hollande 2fév2013... Guerre au Mali : comment s'en tirent les médias français ? - L'actu Médias / Net. [Interview] Comment gagner la guerre de l’opinion publique ? France: We're not the pacifists you think we are. France's refusal to commit forces to Iraq in 2003 was interpreted as a pacifist doctrineFrench foreign policy attempts to balance two sometimes conflicting goals, says BlanquerHe says France has to take into account importance of migrants from former coloniesFrench intervention was desired by most Malians in France, writes Blanquer Editor's note: Jean-Michel Blanquer is president of the Paris-based Institut des Ameriques.
He is a government adviser on education policy and has published a number of works on constitutional law, theory of law and Latin America. Paris (CNN) -- France's military intervention in Mali has surprised many who believed French foreign policy was committed to disengagement from international conflicts. The country's refusal to commit forces to the war on Iraq in 2003 was interpreted in the United States -- not only in government but in the American media and public opinion -- as the consequence of a pacifist doctrine and even as a scandalous betrayal of its allies.
Opération Serval au Mali : quand l’opinion part en guerre. Ilinca Mathieu, doctorante en science politique et rattachée aux jeunes chercheurs de l’IRSEM nous propose cette analyse de l’opinion publique au moment où la France se trouve engagée au Mali. « Aux lendemains du déclenchement de l’opération Serval au Mali, les Français se seraient, selon les premiers sondages, montrés très favorables à cette décision (à 63% [1], voire même 75% [2]).
S’il faut s’en réjouir, le soutien de la Nation constituant un élément clé de l’action armée dans une démocratie libérale, la situation doit être appréhendée avec prudence. C’est enfoncer une porte ouverte que de rappeler que le soutien de l’opinion publique est classiquement plus fort au début d’une opération que dans les mois, voire les années qui suivent (les exemples afghan et libyen l’illustrent) ; mais il faut également s’interroger sur la nature de cet appui initial – penche-t-il réellement en faveur de cette intervention ?