Li Edelkoort: «L’industrie de la mode a creusé sa tombe» Li Edelkoort, l’un des plus influents oracles de tendance, prédit la mort de la mode et de son système Il faut un certain courage pour faire la nécrologie critique de ce qu’on aime, et plus encore, de ce qui nous fait vivre.
Li Edelkoort, Néerlandaise de 65 ans et Parisienne d’adoption, a fait de la mode sa vie, au point d’être aujourd’hui l’un des oracles de tendance les plus influents au monde. Elle vient de publier Anti-Fashion, un manifeste pour la prochaine décennie, un argumentaire en dix points qui proclame la mort de l’industrie de la mode telle que nous la connaissons aujourd’hui. En huit pages, elle explique comment le système dans son ensemble travaille depuis des décennies à son autodestruction. Elle évoque les écoles de stylisme qui élèvent des divas du catwalk à l’heure où elles devraient former des designers industriels. Do Fashion Trends Still Exist? LONDON, United Kingdom — In 1937, the English author, critic, curator and fashion historian James Laver drew up a rudimentary timeline of how trends evolve.
According to Laver’s Law, when a trend is in fashion, it is ‘smart.’ One year before this it is ‘daring.’ And 20 years later, it becomes ‘ridiculous.’ 50 years, Laver said, was how long it took for a trend to begin to creep back into style. For years, Laver’s Law made sense. A la recherche de nouvelles temporalités.
Francoise Hernaez Fourrier a dévoilé une étude menée par Ipsos.
La redéfinition du rôle de la marque, qui est moins de s'affirmer dans une expression ponctuelle à un moment donné que de s'incarner dans le quotidien, entraîne avec elle la nécessité absolue de trouver le bon tempo. Il s'agit de repenser les signes et les temporalités de la marque autour de 4 dimensions : une présence de marque dépublicitarisée ou hyperpublicitarisée et une relation au consommateur sur un temps raccourci ou un temps allongé. 1. La marque magique et hypnotique en concerto : BE MORE !
Le spectacle de la marque qui se donne à voir reste un champ d'expression très performant, mais qui nécessite encore plus de moyens et d'imagination. Photographing imperfection for the digital generation. Back in the 90s, it was not uncommon to spend the better part of your paycheque stocking up on high-gloss, high-brow fashion magazines at the newsstand.
One of these treasured books bursting cover-to-cover with couture-clad, glamorously lit amazons could easily last you a month. You'd keep it in your purse to pour over whenever you found yourself with some down time at a chic coffee shop, or to pull out when trying to avoid making eye contact on the rush hour train. Later in your bedroom, you'd tear out your favourite pages and tack them to your pre-Pinterest cork board. The Paleo Project: How to Stay (Mostly) on Track While Dining Out. Photographed by Irving Penn, Vogue, August 01, 1999.
Y’en a marre du “Twee”, ou presque. Ces derniers jours, la presse française a frappé deux fois.
Le sujet : l’apparition d’une prétendue « culture twee ». Le premier coup a été marqué par un article de Rue89, publié ce dimanche. L’auteure y développe l’idée qu’une nouvelle révolution culturelle serait en train de naître outre-Atlantique, qui s’appellerait « twee ». Elle développerait des valeurs de positivité et de générosité, évitant absolument le conflit en toute occasion. Bienvenue chez les Twee: comment une génération aussi angoissée que mignonne a transformé le monde des adultes en pouponnière.
L'esthétique précieuse des films Wes Anderson, les sonorités enfantines des groupes indie à ukulélé, l'engouement pour la confection manuelle de petits objets et de pâtisseries et le culte des animaux mignons sont les créations collectives d'une génération qui ne peut qu'effleurer la vie, trop sensible pour se frotter à la BO du monde réel.
Un journaliste américain a donné un nom à ce mouvement culturel: twee. Dans Her, le film de Spike Jonke, le personnage joué par Joaquin Phoenix qui tombe amoureux d’une intelligence artificielle ne porte que des chemises pastel et travaille dans un open space aux couleurs chatoyantes. Il écoute de la musique folk mignonne et joue un peu de ukulele, une mini-guitare haïwienne, le soir.
Doux, sensible, maniéré, l’homme de Her ne s’alimente jamais dans le film, sinon à base de jus de fruits et légumes frais (ce qui provoque les moqueries de ses voisins) et vit dans les souvenirs instagrammés de sa précédente relation. 3 questions à… Pierre-François le Louët. Share ‘Our overall mission: inspire the companies that call upon us’.
Agencies like NellyRodi were once defined as design offices and trend book editors, but today they are diversifying to help clients evolve their business structures. These agencies’ goal is to constantly push the boundaries of forecasting. Can you tell us about the major changes within NellyRodi over the past 10 years? Companies like mine began as trends agencies. The main revolution has been the changes in marketing. The different ways we assist them fall into three levels. What was the reasoning behind this evolution and how did you adapt along the way? Our goal is to constantly deepen our understanding of the times to best assist clients facing nonstop changes in their professions. Les nouveaux gourous de la tendance, Mode. Comment Word a changé notre façon d'écrire. En novembre 1983, un logiciel nommé «Multi-Tool Word» sortait dans le magazine «PC World».
Il est vite renommé Microsoft Word. Etudes - Consommation collaborative : la confiance existe encore. Publié le 18 novembre 2013 La consommation collaborative a le vent en poupe.
D'après l'Observatoire de la Confiance TNS Sofres / Le Groupe La Poste, ce mode de consommation fait des émules auprès d'une large majorité de Français. Partage, confiance, bons plans... Tels sont les maîtres-mots de ce nouveau phénomène. Chez INfluencia nous le disons déjà depuis un bout de temps, la consommation collaborative est en train de tranquillement s'installer dans les foyers. Plonger dans l'atmosphère d'un café sans se mêler à la foule.