L'influence des programmes de formation et des codes d'éthique sur l'image de la profession de bibliothécaire. ABF Aubagne. Objectif ATQCPB: Déontologie du bibliothècaire... Je vais essayer de faire abstraction, dans un premier temps, du code de déontologie du bibliothécaire élaboré par l'ABF, et d'aborder le sujet à partir de mes lectures et réflexions de ces derniers mois.Le premier terme que j'associe à la déontologie est celui de service public. Que je décline immédiatement en "service au public" ou encore "au service du public".
Quels sont les élément qui garantissent ce service public ? • 1/ l'égalité de traitement. En quoi un bibliothécaire pourrait il enfreindre ce grand principe ? En écartant par exemple un usager d'une ressource, parce qu'il estimerait que l'objectif de l'usager n'est pas aussi valable que celui d'un chercheur sérieux ? En préjugeant de ce dont a besoin un usager à partir de l'image que renvoie cet usager ; trop jeune ou trop inculte pour cet ouvrage pointu, trop "typé" (âge, sexe, couleur de peau, statut social) pour accéder à telle ou telle ressource.
Si je reprends maintenant le code de déontologie de l'ABF, que dit-il ? Les valeurs professionnelles du bibliothécaire. Dans un article récent traitant de l'écriture des bibliothécaires, sujet en apparence anodin, François Lapèlerie posait une question profonde : « Y a-t-il une qualité essentielle, un savoir, un savoir-faire, qui seraient universels, qui traverseraient les âges et les civilisations et qui définiraient le métier de bibliothécaire ? » 1 À un moment de l'histoire des bibliothèques où la forme et la nature des documents collectés connaissent les bouleversements que l'on sait, où chaque établissement se définit par sa capacité à relier ses usagers à un corpus infini de textes et d'informations en réseau au moins autant, sinon plus, que par ses propres collections, où les missions et les publics se multiplient et se diversifient, il me semble utile d'apporter quelques éléments de réponse à cette question initiale.
On pourrait à cette fin tenter d'analyser la permanence de valeurs éthiques de référence, donc d'une déontologie défiant les siècles. La garde L'accroissement Le bon ordre. Biblioth|ê|thique. Un code de déontologie. Archivistes, bibliothécaires, conservateurs, documentalistes 1 sont souvent confrontés à des problèmes contradictoires devant lesquels ils sont seuls à décider.
Jusqu'où donner de l'information ? Jusqu'où la retenir ? Dans quelles conditions ?... Questions infinies, réponses multiples, qui en appellent au jugement et à l'éthique personnels. Maniant du savoir et de l'information, donc du pouvoir, ces professions « au service de l'esprit » (Jean Meyriat, président de l'association ABCD) ont les mêmes valeurs d'accessibilité pour tous à l'information, de respect de la liberté individuelle, de neutralité idéologique, etc., mais des cadres d'exercice différents, des rapports à l'information différents (certains documentalistes « désossent » un livre pour créer des dossiers), des supports de travail différents (des producteurs de banques de données ne voient jamais un livre), et se trouvent parfois dans des situations concrètes très différentes.
Oui... mais Du texte. La responsabilité juridique des professionnels de l'information et de la documentation et les codes de déontologie. La journée d’étude, organisée par l’ADBS (Association des professionnels de l’information et de la documentation) le 7 février 2007 à Paris, a été consacrée à deux thèmes distincts mais étroitement liés : la présentation des « principes de déontologie » destinés aux documentalistes et la responsabilité juridique de ceux-ci face aux auteurs d’une part et à leurs clients d’autre part. Un public nombreux et des discussions variées et multiples manifestaient l’importance et l’intérêt que la profession accorde aux deux thèmes. Tandis que la « juridisation » est depuis longtemps entrée dans la sphère professionnelle des documentalistes, le temps de la « responsabilisation » entre aujourd’hui dans leur actualité.
Les « principes de déontologie », une nouveauté dans le domaine de la profession des documentalistes La responsabilité juridique des documentalistes et les nouveaux instruments de respect du droit d’auteur. CODE D’ÉTHIQUE DE L’IFLA POUR LES BIBLIOTHÉCAIRES ET LES AUTRES PROFESSIONNEL(LE)S DE L'INFORMATION. Déontologie et censure : un témoignage. D’abord peut-être préciser le contexte de mon intervention. Ensuite, au-delà du simple témoignage quelle a été la nature de la problématique à laquelle j’ai été confrontée ?
Existait-il à proprement parler une déontologie de la profession à laquelle se référer ? Et si oui, quels sont les principes qui m’ont permis de rattacher mes actes ou mes prises de position à une déontologie professionnelle ? Que dire de cette tension interne vécue par le professionnel entre une mission revendiquée de service public et la volonté d’une municipalité d’instrumentaliser la bibliothèque à des fins de propagande ? 1. J’ai été responsable de la Bibliothèque municipale d’Orange jusqu’en mars 1996, date à laquelle j’ai obtenu une mutation pour la Bibliothèque départementale du Vaucluse dont je suis depuis directrice. Donc à Orange, en juin 1995, un maire qui appartient au Front national, tente d’inféoder la politique d’acquisition de la bibliothèque à l’idéologie de la nouvelle équipe municipale en place. 2.
Éléments de réflexion pour une déontologie professionnelle. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, article 11. « La culture la plus large doit être offerte à tous sans autre limitation que les aptitudes de chacun ». Préambule de la Constitution du 19 avril 1946, article 25 1 Quelles relations peut-on établir entre la reconnaissance constitutionnelle de la liberté d’expression et d’impression, l’accès à la culture et la déontologie professionnelle au sein de la bibliothèque 2 ? Toutefois, cette tendance n’est pas unanime ; certains considèrent que les dispositions législatives et réglementaires sont suffisamment nombreuses et qu’il n’est pas utile d’introduire des textes normatifs complémentaires qui n’ont d’ailleurs pas de valeur strictement juridique.
L’intérêt d’un code déontologique. Code de déontologie | biblioth|ê|thique. Nos abonnés l’auront peut-être remarqué : nous avons tout récemment encouragé les étudiants de 1ère année du Département Information documentaire de la Haute École de gestion de Genève (HEG-ID), qui suivent notre séminaire intitulé « Ethique professionnelle », à contribuer à notre blog, soit en commentant des contributions passées, soit en nous proposant de nouveaux billets. Nombreux sont ceux qui ont joué le jeu, utilisant à cet effet les 90 minutes que nous avons mises à leur disposition dans le cadre de notre enseignement : vous pouvez lire leurs nombreux commentaires.
Et l’un d’entre eux, Pablo CHENU, nous a proposé le billet ci-dessous, que nous vous soumettons. Michel Gorin et Christophe Bezençon Billet proposé par Pablo CHENU, étudiant de 1ère année, HEG Genève, Département ID Vous n’êtes pas sans savoir que la question des Digital Rights Management (DRM) est une crainte de tout bibliothécaire et autre professionnel de la documentation qui se respecte. Mais comment ? Et toi ? Le code de déontologie (1978-1996) Liste des thèmes abordés par le code de déontologie de la CBPQ Présentation Chapitre I: Dispositions générales Chapitre II: Devoirs et obligations envers la société Chapitre III: Devoirs et obligations envers le client Chapitre IV: Devoirs et obligations envers la profession Notes Le code de déontologie de la CBPQ Comité de rédaction 1978 Janina-Klara Szpakowska, présidente Jean Bouthillette Robert Cardinal Lise Côté Pierre Guilmette Présentation Le Code de déontologie a été adopté par les membres de la Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec réunis en assemblée générale lors du 9e Congrès tenu à Montréal, le 6 mai 1978.
Mise-à-jour 1996 Jean-Luc Fortin La "mise-à-jour" a été adoptée par les membres de la Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec réunis en assemblée générale lors du 27e Congrès tenu à Montréal, le 24 mai 1996. Note: Jean-Luc Fortin, bibl. prof. Dépôt légal : 4e trimestre 1996 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada Chapitre 1.
CR8avril. 1989 code de deontologie du bibliothecaire. Code de déontologie | APTDQ. Préambule Ce code de déontologie a été adopté le 14 mai 2005 par les membres de l’Association professionnelle des techniciennes et techniciens en documentation du Québec (APTDQ), réunis en assemblée générale à Montréal. Bien qu’il ne puisse avoir force de loi, le présent code contribue toutefois à encadrer l’exercice de la profession et fixe les normes minimales de conduite des membres de l’Association envers les employeurs et les usagers des services d’information. Il est constitué de deux volets : les définitions puis les devoirs et responsabilités envers l’utilisateur, l’employeur, l’information et la profession. Définitions APTDQ : Association professionnelle des techniciennes et techniciens en documentation du Québec, organisme sans but lucratif dont les mandats sont de : Devoirs et responsabilités Envers l’usager Respect des usagers : la technicienne ou le technicien en documentation ne peut refuser de répondre à une demande d’information pour un motif discriminatoire, quel qu’il soit.
ManifesteUnescoBibliothequePublique. Ciuf codedeontologiquevvbad. Code déontologique de l'ECIA. Élaboré dans le cadre des travaux de l’European Council of Information Associations (ECIA), le code de déontologie des professionnels de l’Information et Documentation présenté ici est commun à tous les membres de la profession, dans quelque pays de l’Union européenne qu’ils exercent. Il a été adopté en décembre 1999 par l’Association des professionnels de l’information et de la documentation (ADBS). Préambule Toute profession possède, ou devrait posséder, un code de règles éthiques que ses membres respectent normalement et en particulier utilisent comme guide quand ils doivent prendre des décisions moralement difficiles. Lors de leur réunion de novembre 1998 à Lisbonne, les associations membres de l'ECIA (European Council of Information Associations) ont convenu qu'elles devraient adopter un code qui vaudrait pour les membres de la profession dans chaque pays de l'Union européenne. 1.
Tous les professionnels de l'Information et Documentation devraient : 2. 3. 4. En conclusion. Code deontologie bibliothecaire. 37071 le code de deontologie du bibliothecaire. Code de déontologie du bibliothécaire. Mise à jour le 23 novembre 2020 En adoptant le Code de déontologie du bibliothécaire en 2003, l'Assemblée générale de l'ABF comblait une lacune. Selon les décomptes de l'IFLA, un très grand nombre d'associations nationales de bibliothécaires s'était doté d'un tel document.
La France était en retard. Cependant, 15 ans plus tard, il a paru aux membres du comité d'éthique que ce Code, qui demeurait dans l'ensemble un texte de référence solide, comportait des obsolescences et insuffisances de formulation et de contenu. Or nous savons qu'il est toujours utilisé par des collègues et figure même dans des documents locaux tels que des chartes ou des PCSES. Le personnel des bibliothèques est chargé par sa collectivité de répondre aux besoins d’une population en matière de culture [1], d’information, de formation, de recherche, de loisirs, de création, de recueil et conservation du patrimoine.
Ce code de déontologie complète : Le personnel des bibliothèques est d’abord au service des publics. Deontologie. (2011) - Le documentaliste et l'éthique - La Profession - Publications- Jean-Philippe Accart. Résumé - Cet article donne les grands principes fondamentaux servant à l'élaboration d'un code de déontologie pour les professionnels de l'information et les documentalistes : par rapport à l'utilisateur, à l'employeur, à l'information et à la profession. La plupart des associations professionnelles ont rédigé leur code déontologique. L'exemple du European Council for Information Associations (ECIA) est celui le plus souvent cité. . - Dit artikel geeft de grondbeginselen weer die fungeerden voor de aanmaak van een deontologische code voor de informatiespecialist en de documentalist: dit in verhouding tot de gebruiker, de werkgever, de informatie op zich en de documentalist.
Het merendeel van de beroepsverenigingen hebben hun eigen deontologische regels opgesteld. Tout métier proposant des services, encontact avec le public, se doit d’avoir une éthique professionnelle quipermette d’avoir un comportement se référant à des valeurs professionnelles. Ladéontologie du documentaliste. Nécessité d'une éthique dans la recherche. A l'exemple de la première charte d'éthique professionnelle, le Serment d'Hippocrate, notre réflexion doit reposer sur l'amitié, la solidarité, le respect et l'estime.
Si, d'année en année, cette réflexion sur notre éthique professionnelle est poursuivie, nous devons savoir qu'elle suscitera passions, affrontements, selon que chacun d'entre nous appartient à telle ou telle culture. Sur ce respect mutuel, se fonderont nos échanges, voire nos oppositions. Les États-Unis d'Amérique 1 et le Canada 2 ont publié une charte et un code. L'Angleterre 3 est sur le point d'aboutir à ses conclusions. Bibliothécaires, nous sommes, pour une part, responsables de l'information, véritable matière première et source d'énergie, qu'il est de notre vocation, de notre compétence de rassembler, traiter et communiquer. Nous ne pouvons nous considérer comme de simples exécutants de la mise en place et de la gestion des instruments contemporains de communication et d'information. 1. 2. 3. 4. Code ethique (BIS - Bibliothèque d'information suisse)
Vers un code de déontologie à l'usage des professionnels de l'information du monde de la recherche (suite). Origines, déroulement, démarche. Principes déontologiques des professionnels de l’information scientifique et technique dans l’environnement de la recherché Version provisoire de juin 2007 [1] Préambule Ce recueil de principes déontologiques s’adresse aux professionnels des bibliothèques, de la documentation et de la gestion de l’information, ci-après dénommés professionnels de l’information scientifique et technique (IST).
Il vise à encadrer les actions de collecte, de traitement et de mise à disposition de l’information scientifique et technique auprès de l’ensemble des utilisateurs concernés [2]. Par leur action dans la communauté scientifique, les professionnels de l’IST interviennent en appui au processus de recherche. Ils participent : Ces principes déontologiques ne sauraient se substituer ni à la loi, ni aux règlements intérieurs. Le signataire de ces principes déontologiques s’engage à les respecter, à les faire respecter, à les faire connaître auprès des communautés de la recherche. 1. 2. 3. 4. Telles que :