Cochon. Consommer rend-il heureux ? du 15 décembre 2010 - France Inter. Consommer rend-il heureux ?
Cette question semble avant tout relever du domaine individuel, ne serait-ce que parce que chacun à sa manière à soi de définir le bonheur. Nous devrions être capables d’évaluer le plaisir ou l’utilité que nous retirons de notre consommation. Si nous nous comportons comme l’homo oeconimicus rationnel des économistes, nous devons cesser de consommer toujours plus à mesure que l’utilité que nous en tirons ne suffit plus à compenser la peine que nous nous donnons à gagner l’argent nécessaire pour acheter. Invité(s) Claire Chartier. Société de consommation. La société de consommation La société de consommation omniprésente Il y a un certain malaise lorsque l'on se penche sur la société de consommation.
Dans la société occidentale, la société de consommation envahit tout l'environnement dans lequel évolue chaque individu. La publicité est omniprésente dans nos villes, mais aussi sur nos écrans. Résultats Google Recherche d'images correspondant à. Le bonheur. Consommer rend-il heureux ? J’ai accepté, de façon imprudente car je ne suis en rien un spécialiste de la consommation, de participer, le 15 décembre, à une émission de France Inter animée par Isabelle Giordano sur un thème supposé adapté aux fêtes consuméristes de Noël : consommer rend-t-il heureux ?
Quitte à choisir un titre, je préfère celui de cette émission matinale : Service public…. Mais, finalement, nous avons eu un débat animé que l’on peut écouter via ce lien. J’avais préparé quelques notes en guise d’« antisèches ». Je vous les livre telles quelles, brutes de décoffrage. Consommer a de nombreux sens (par exemple l’usage n’est pas l’achat, les achats d’impulsion ne sont pas les achats réfléchis, les biens de première nécessité ne sont pas les biens de luxe, etc.).
Les philosophes du passé ont beaucoup écrit sur cette question. Quant aux économistes, je me contenterai de citer Keynes. Quels sont les résultats ? Mais il existe d’autres enquêtes à considérer. Le Bonheur National Brut. Article publié dans le numéro de novembre (n°105), par Laurent Cougnoux, mis en ligne le 19 novembre 2016 Dès que l'on parle d'économie, le PIB (Produit intérieur brut) est inexorablement cité.
Rassurez-vous, pas de cours d'économie dans ces quelques lignes ! Juste un petit rappel sur la définition de cet acronyme qui définit « un indicateur principal de mesure de la production économique réalisée à l’intérieur d'un pays, en quantifiant la valeur totale de la « production de richesse » effectuée par les agents économiques résidant à l’intérieur de ce territoire (ménages, entreprises, administrations publiques). Le PIB reflète donc l’activité économique interne d’un pays et la variation du PIB d’une période à l'autre est censée mesurer son taux de croissance économique ». Pourtant cet indicateur économique principal est fortement contesté. Il existe pourtant de nombreux autres indicateurs économiques. Et pléthore d'autres, plus ou moins sérieux tels que le BIP 40, IPV, IDF, IBER, IPH… Notes.
Quand le matérialisme entrave la vraie vision du bonheur. Alors oui vous allez me dire que les temps actuels sont quand même difficiles à cause de la crise économique créée par des dirigeants peu scrupuleux laissant bon nombre de citoyens en difficulté pécuniaire quotidienne.
Mais c’est un autre débat . Ce dont il sera question, c’est du matérialisme et du fait que nous avons TOUT pour être heureux. Mais nous ne sommes jamais contents ! Le matérialisme nous rend-il malheureux ? Le dernier iPhone, la dernière tablette, le dernier film, le nouveau restaurant, le dernier fond de teint… La plupart d’entre nous se retrouvent parfois face à une envie un peu bizarre : une envie de consommation. Et si cette envie de consommer, de « posséder » des choses, pouvait nous rendre malheureu-x-ses ? Tim Kasser, professeur de psychologie et auteur de l’ouvrage The High Price of Materialism (Le prix élevé du matérialisme), a travaillé sur la question : pour lui, notre culture contemporaine valorise la consommation et le matérialisme, et ces deux « valeurs » affecteraient largement notre bien-être quotidien, notre santé physique et notre sentiment de bonheur.
Autrement dit, la poursuite d’objectifs « matérialistes » (la recherche d’un statut social, d’un certain niveau de vie), plutôt que d’objectifs « prosociaux » (la valorisation des liens familiaux, de la communauté), impacterait négativement le bien-être des individus… et de la société. Luc Ferry: Consommer rend-il heureux ? FIGAROVOX/CHRONIQUE- Après Noël et le réveillon du 31 décembre, le philosophe Luc Ferry s'interroge sur le sens de la frénésie consumériste. Luc Ferry est philosophe.
Il tient une chronique chaque jeudi dans Le Figaro Champagne, foie gras, cadeaux sous les sapins: nous voilà gavés pour l'année. Est-ce que la société de consommation est créatrice de bonheur ? Qui n’a jamais rêvé de vivre dans un monde sans limite ?
Où l’individu serait libre de tous ses actes ? Vous vous demandez sûrement qu’est-ce-que l’illimitation ? C’est une dimension propre à l’homme, c’est le dépassement de soi, de ses limites, c’est l’envie de toujours aller plus loin, et d’enfreindre les règles. Et, maintenant si je vous dis « société de consommation » ? C’est le fait de créer un besoin chez une personne dans le but de l’amener à se procurer un produit dont le caractère indispensable est généralement très contestable. En réalité, ces deux notions sont liées, et c’est d’ailleurs la société dans laquelle nous vivons qui dicte la plupart de nos comportements.
Depuis quelques années, le marketing a changé nos valeurs et bouleversé les enjeux sociaux. Mais face à cela se pose un problème. Mais n’oublions pas, la consommation nous mordons tous à l’hameçon ! Article rédigé par Mathilde Vienne, Etudiante en Master 1 « Marketing Plurimédia et Consommation » Related posts: La société de consommation mène t'elle au bonheur ? De quoi avons-nous besoin ? Bonheur, consommation, capitalisme. « De quoi avons-nous vraiment besoin ?
» : cette question connaît une bien étrange actualité théorique et politique. D’un côté, elle a reconquis une forme de légitimité dans le débat politique et intellectuel, notamment à travers la montée en puissance du thème de la décroissance. Ainsi, il semble relativement évident pour beaucoup que la contrainte écologique impose désormais de réfléchir à des stratégies de limitation/réorientation de la croissance industrielle et de consommation des biens manufacturés. La prise de conscience écologique mondiale a « réactivé » – et diffusé – les préoccupations alarmantes du premier rapport de Rome en 1972 (« Halte à la croissance ! »). La société de consommation mène t-elle au Bonheur ? - Peace and Punk. "Depuis le début du siècle, nous vivons dans une société de consommation.
Ce phénomène social c’est accentué à la mesure que le temps avance et n’a sûrement pas atteint encore son paroxysme.