Consommer rend-il heureux ? Dans le prolongement de l'émission Service Public (France Inter) de ce matin (podcaster), quelques éléments pour aller plus loin. "Cette question semble avant tout relever du domaine individuel, ne serait-ce que parce que chacun à sa manière à soi de définir le bonheur. Nous devrions être capables d’évaluer le plaisir ou l’utilité que nous retirons de notre consommation. Le constat Au départ, il y a ce "paradoxe du bonheur" mis en évidence de façon empirique pour la première fois, par l’économiste Richard Easterlin au milieu des années 1970 : l'accroissement de la richesse n'entraîne pas nécessairement celui du bonheur des populations. - dans un pays donné, à un moment donné, il existe bien une corrélation robuste entre le niveau de revenu des individus et le sentiment subjectif de bonheur : les individus les plus riches se déclarent, en moyenne, plus heureux que les plus pauvres ; Ces constats empiriques sont, bien sûr, sujets à discussion. Les explications L’effet d’adaptation Selon A.
Ressources pour enseigner les S.E.S. en terminale. L'hyperconsommation peut-elle faire notre bonheur? | Education Santé Dans son ouvrage ‘Les temps hypermodernes’, Gilles Lipovetsky nous expliquait en quoi le ‘postmoderne’ avait fait son temps. Ici, il nous initie au concept d’hyperconsommation, fruit d’une troisième phase de l’évolution du capitalisme de consommation. Première phase, de 1880 à la seconde guerre mondiale, on assiste à l’apparition des grandes marques et à l’avènement de la publicité. Le client, attiré par les grands magasins, s’émancipe du rôle que jouaient jusque-là les commerçants. Aux alentours de 1950 se met en place la consommation de masse, la société d’affluence met l’ensemble des biens à la disposition du plus grand nombre. La consommation est marquée par l’obsolescence organisée.
Bonheur et société : des médiations complexes | Kairos Le bonheur est une notion complexe et soulève des problématiques multiples. Le bonheur revendiqué comme une demande sociale, politique et économique légitime Plus que jamais, dans le contexte international de crises (quelles qu'en soient les formes), le bonheur est un état revendiqué non seulement à titre individuel mais aussi à titre collectif. Pourquoi les indices de bonheur et de bien-être préoccupent-ils de plus en plus de nombreuses institutions qui s'attachent désormais à prendre le bonheur comme un indicateur du degré d'évolution des sociétés modernes et postmodernes ? Le 20 mars 2013 a eu lieu la première journée mondiale du bonheur, à l'initiative de l'ONU. Cette préoccupation grandissante sur et pour le bien-être des sociétés donne lieu à de nombreuses études, rapports, réunions et colloques, organisés par les institutions supranationales, par l'Europe et par les États. Politiquement et économiquement, le bonheur est donc de plus en plus revendiqué comme une demande légitime.
Luc Ferry: Consommer rend-il heureux ? FIGAROVOX/CHRONIQUE- Après Noël et le réveillon du 31 décembre, le philosophe Luc Ferry s'interroge sur le sens de la frénésie consumériste. Luc Ferry est philosophe. Il tient une chronique chaque jeudi dans Le Figaro Champagne, foie gras, cadeaux sous les sapins: nous voilà gavés pour l'année. Sommes-nous plus heureux pour autant? Consommer plus qu'à l'habitude a-t-il augmenté notre bonheur? À quoi bon, en effet, s'échiner à travailler, à œuvrer au développement économique et à l'augmentation indéfinie des richesses si tous ces efforts ne nous rendent pas plus heureux ? Pendant trois mois, sans doute, vous vous sentez mieux, plus heureux au volant… mais rien n'est plus éphémère que ce sentiment de confort auquel on s'habitue à la vitesse grand V!
Comment s’enrichir sur la crise ? Elle rêve de vous rencontrer, il suffit juste que vous soyez milliardaire. Comment faire pour ça ? Faire faillite, ou racheter des faillites. C’est ainsi que Bernard Arnault (LVMH) a commencé, aujourd’hui 13ème fortune mondiale avec 37,2 milliards d’euros. De même que François Pinault (15 milliards d’euros). 180 entreprises font faillite chaque jour en France, 60 000 par an, 300 000 depuis 2008. Xavier MATHIEU, ex CONTI, syndicaliste débordant. Fiodor RILOV, l’« avocat rouge » engagé dans les bagarres contre les « plans sociaux » souvent suspects (Samsonite, LFoundry, Kem One, Florange, PSA, Goodyear…) Cyprien BOGANDA, journaliste, auteur du livre Le business des faillites : enquête sur ceux qui prospèrent sur les ruines de l’économie française (2015, La Découverte) Audrey VERNON, comédienne, auteure du spectacle « COMMENT épouser un MILLIARDAIRE » LÀ-BAS HEBDO n°7 (extrait) Télécharger le MP3 Retrouvez les différentes séquences de l’émission : Qui sont-ils, ces profiteurs de faillites ?
En France, la consommation a de l’avenir Les Français adoptent de plus en plus des pratiques collaboratives, comme le covoiturage. Pourtant, leurs achats d’équipements ne baissent pas. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Les cadeaux de Noël sont définitivement désacralisés. La crise économique cacherait-elle une prise de conscience des consommateurs, augurant un développement plus durable de la société ? Son objectif ? Ce pic, c’est le concept phare d’une étude britannique qui a fait grand bruit, en 2011. « Au cours de la dernière décennie, le Royaume-Uni a moins consommé de voitures, d’énergie, de matériaux de construction, d’eau, de papier ou de viande. Les causes probables de ce découplage entre croissance économique et consommation de ressources sont multiples : progrès technologiques, meilleure efficacité énergétique, dématérialisation, apparition de nouvelles valeurs chez les jeunes et les urbains, ou encore vieillissement des populations et saturation des marchés.
Le bonheur, un idéal qui rend malheureux? FIGAROVOX/ENTRETIEN - Le philosophe allemand Wilhelm Schmid vient de publier un essai intitulé Le Bonheur. Alors que le sujet de philosophie proposé aux élèves de terminale S est «Vivons-nous pour être heureux ?», FigaroVox lui a demandé sa définition du bonheur. Wilhelm Schmid vit à Berlin et enseigne la philosophie à l'université d'Erfurt. Le Bonheur (Éditions Autrement), court opus devenu un succès international, est son premier livre traduit en français. FigaroVox. - Votre livre s'intitule Le Bonheur. Wilhelm Schmid. - Il existe trois types de bonheur. Un deuxième type de bonheur a toutefois une signification encore supérieure pour l'homme moderne: le bonheur du bien-être. Mais seul l'art de vivre philosophique est capable d'éviter à un homme de résumer toute sa vie à un unique bonheur de bien-être. Un indice du bonheur national brut a été créé par l'ONU. Dès le Ier siècle après J. Les gens ont toujours cherché le bonheur, mais pas toujours avec la même intensité.
Consommer rend-il heureux ? du 15 décembre 2010 - France Inter Consommer rend-il heureux ? Cette question semble avant tout relever du domaine individuel, ne serait-ce que parce que chacun à sa manière à soi de définir le bonheur. Nous devrions être capables d’évaluer le plaisir ou l’utilité que nous retirons de notre consommation. Si nous nous comportons comme l’homo oeconimicus rationnel des économistes, nous devons cesser de consommer toujours plus à mesure que l’utilité que nous en tirons ne suffit plus à compenser la peine que nous nous donnons à gagner l’argent nécessaire pour acheter. invité(s) Claire Chartier Rédactrice en chef - Service société à L'Express pour le dossier consacré aux "décroissants de Noël"### Philippe Moati directeur de recherche au Credoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie), Professeur d'économie à l'Université Paris-Diderot### Jean Gadrey économiste, auteur de Adieu à la croissance éditions Les petits matins / Alternatives Economiques### Michel Lejoyeux Aloe Black Miss fortune ### Kaolin
PRIX LYCÉEN DU LIVRE D’ÉCONOMIE ET DE SCIENCES SOCIALES
Non, car provient d'un réseau social et nous avons déjà des informations sur ça. by math_manon Mar 7