Data mining: ultime arme du marketing. Relation client : que valent les logiciels CRM ? Après une première apparition peu concluante à l’époque de la bulle internet, les logiciels de gestion de la relation client reviennent en force.
Le marché mondial du CRM (customer relationship management) est en forte croissance ces dernières années. De plus en plus d’entreprises s’en remettent à ces solutions aussi bien pour la prospection, la vente, l’après-vente que pour l’élaboration des stratégies commerciales. Porteuse de bénéficespour l’entreprise, la mise en place d’un logiciel CRM doit toutefois s’accompagner d’un certain nombre de précautions. Les grandes fonctionnalités du CRM Base de données des clients et prospects de l’entreprise, le logiciel CRM s’adresse aussi bien aux commerciaux qu’aux services après-vente et marketing. Prospection commerciale Un logiciel CRM permet d’affiner ses campagnes marketing. Vente Le CRM peut devenir un redoutable outil pour le commercial.
Analyse des ventes Les bénéfices du CRM Cinq bénéfices majeurs sont attendus du CRM. L’ère du CRM mobile. Comment ne pas rater son CRM. CRM et storytelling … En utilisant le storytelling par exemple.
De nombreux programmes de CRM aboutissent à un constat d’échec (il y a encore quelques années, ils pouvaient atteindre 50 à 70 %, depuis, ils ont un peu baissé). Pourtant, quelques éléments de storytelling pourraient parfaitement contribuer à remédier aux erreurs les plus fréquentes dans les programmes de CRM. Quelles sont ces erreurs, et quelles réponses peuvent leur être apportées ? Erreur n° 1 : Se focaliser sur l’aspect technologique plutôt que sur les cibles du programme Un programme de CRM repose sur l’utilisation de logiciels, parfois spécifiques, parfois beaucoup plus courants et utilisés par défaut, avec un travail important sur la base de données clients.
Erreur n° 2 : Ne pas impliquer l’ensemble de son équipe Une histoire commune doit être développée autour du programme de CRM. Erreur n° 3 : ne pas placer le client aux premières loges Au final, pas de révélations, rien que du bon sens. Source : Crowdsourcing : Définition et cas concrets. Quelle marque ne voudrait pas créer le produit que tout le monde s’arracherait ?
Aucune, je pense. Pour cela, il n’y a qu’un seul moyen : prendre en compte les attentes des consommateurs et les faire participer à la conception du produit. C’est ce que l’on appelle le crowdsourcing ou la co-conception. Crowdsourcing : Définition Le crowdsourcing consiste, pour les éditeurs de sites, à utiliser les internautes pour créer des contenus, répondre aux questions d’autres visiteurs, voire participer à la conception du site. Source : Journal du net Le crowdsourcing est un néologisme conçu en 2006 par Jeff Howe et Mark Robinson, rédacteurs à Wired magazine. Source : Wikipédia Crowdsourcing : Cas concrets Les exemples en matière de crowdsourcing sont de plus en plus nombreux.
Peugeot organise depuis l’année 2000 un jeu concours de design. Peugeot – Concours de design Walker’s, la marque de chips américaine, s’est appuyée sur les contributions des internautes pour faire évoluer son offre. Quelles informations pour sa base de données clients ? Toutes les entreprises possèdent un fichier clients plus moins évolué.
Nous vous proposons de passer au stade supérieur en créant une véritable base de données clients. L’objectif est de tirer profit de cette masse d’informations au lieu de la laisser dépérir dans quelques fichiers Excel. Nous nous intéressons dans ce billet aux informations qu’il est intéressant d’inclure dans son système. A quoi sert une base de données clients ? La finalité principale est double : développer les ventes et fidéliser sa clientèle. Un autre objectif est de maîtriser son portefeuille client : quelle est la structure de la clientèle ? Les informations détenues dans la base de donnée client doivent apporter des réponses à ces questions. Quelles sont les informations à enregistrer ? Le premier point est de qualifier le type de données qui vont venir alimenter votre base. On distingue 3 types : – les données personnelles : elles correspondent aux informations signalétiques que l’on peut obtenir du client.