Des livreurs Deliveroo en grève, contre des courses à moins de 3€ « J’ai travaillé deux heures avec les nouveaux tarifs et j’ai laissé tomber, c’est trop peu payé ».
Jérémy (tous les prénoms ont été modifiés à leur demande), coursier Deliveroo depuis 2 ans, a décidé de limiter son activité sur la plate-forme suite à l’introduction d’une nouvelle grille tarifaire mardi 30 juillet. Elle met fin au tarif minimum de la course, auparavant fixée à 4,20€ à Strasbourg. « Avec la nouvelle tarification, ils ont légèrement augmenté le tarif de la course sur des longues distances mais ils ont fait sauter le minimum donc au final, on a perdu en chiffre d’affaires. » Comme les autres livreurs, le jeune homme de 21 ans a le statut d’auto-entrepreneur.
Il ne bénéficie donc d’aucune des protections accordées aux salariés, comme celles notamment liées aux accidents du travail. . « J’essayais de faire 2 heures le midi et 4 heures le soir. . -50% de chiffre d’affaires Donald est coursier à plein temps, il travaille 55h par semaine. A 79 ans, elle signe un CDI dans une crêperie car le restaurateur ne trouve pas de personnel. FrédéricBIANCHI Journaliste Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFMTV Midi Video Player is loading.
Loaded: 0% Progress: 0% Stream TypeLIVE 1x Chapters. Pôle Emploi lâche « La Pile de CV » : Jusqu’où peut aller la Startup Nation ? Faire payer les chômeurs pour leur permettre de trouver un emploi.
Rien que le fait de prononcer cette phrase fait ressentir un malaise. C’est pourtant ce que proposait le Pôle Emploi jusqu’à hier, via la promotion sur son Emploi Store de l’application La Pile de CV by Bowkr. Nous fûmes les premiers à dénoncer cette supercherie, alertés par un utilisateur, le 3 janvier dernier. La communauté des lecteurs de Mediapart a ensuite permis à cette information de faire le tour de Twitter : plus de 2000 tweets et 6000 partages facebook plus tard, l’intégralité du web était au courant de la nouvelle. De Corse Matin à Numerama en passant par Le Journal du Geek, de nombreux journaux ont repris la chose. La Pile de CV - Réponse du CEO aux attaques © Bowkr Malgré ces excuses brinquebalantes et ce ton rassurant, limite méprisant, typique des hérauts de la Start-Up Nation, Pôle Emploi a préféré arrêter les frais.
Beaucoup ont considéré sur les réseaux sociaux ce retrait comme une victoire. Les salariés d’un supermarché Leclerc obtiennent la mise en examen de leurs dirigeants pour harcèlement. C’est la fin de plus d’un an d’enquête.
Le couple de propriétaires du Leclerc d’Héricourt et le directeur commercial ont été mis en examen pour harcèlement moral. Un fonctionnaire espagnol déserte son bureau pendant 6 ans sans éveiller les soupçons. Avec son « Open Comex », l’avenir d’EDF se décide avec ses 100 000 salariés - Bluenove. Vous avez sans doute entendu parler des shadow comex.
Le Groupe Accor avait défrayé la chronique en 2016, en lançant une instance composée de douze hommes et femmes de moins de 35 ans avec pour mission d’éclairer les travaux de la Direction, principalement sur les sujets digitaux (voir article). Puis Pernod Ricard, Adecco, Arval, Eiffage Construction, Macif ou encore SNCF s’y sont mis en mettant, pour la plupart, les jeunes à proximité du pouvoir. Pour quels résultats ? Difficile encore d’en mesurer l’impact réel. L’ensemble de ces initiatives partent toutes d’une bonne intuition : il est urgent pour les grands groupes de repenser leurs façons d’imaginer leur avenir et de décider autrement. Ce qu’a vécu le Groupe EDF ce lundi 2 juillet va encore plus loin. Une première mondiale ? Ce Comité exécutif retransmis en live est peut-être même une première à l’échelle d’une organisation comme EDF. mondiale(à confirmer). Les principes forts structurant cette démarche de dialogue Et maintenant ?
Périgueux : Un salarié de Leclerc licencié pour vol, on lui reproche d’avoir mangé une banane. Les faits remontent à 2016, lorsque cet ex-salarié d’un centre commercial Leclerc, s’est fait licencier.
En effet, sa direction lui reproche d’avoir volé une banane, et de l’avoir mangée. C’est ce lundi, que le cas de cet ancien salarié de Leclerc était examiné, devant le conseil des prud’hommes de Périgueux. En 2016, ce dernier a été licencié pour faute grave. En effet, sa direction lui a reproché d’avoir volé une banane et de l’avoir mangée sur place. Lui, dit s’être senti en hypoglycémie, mais pour sa direction, il s’agit d’un vol. Depuis, le jeune homme a intégré l’armée de terre, et a expliqué au cours de l’audience, s’être retrouvé au chômage du jour au lendemain. « Je n’avais jamais eu aucun reproche par mon patron, aucune sanction auparavant » Sa direction, voit la situation autrement : « À partir du moment où vous avez un règlement intérieur qui est affiché dans les locaux, qui est extrêmement précis, il doit être respecté par tout le monde.
Source : LCI.