Le récentisme, une falsification de l'Histoire. Crépuscule de l’Histoire. « A l’heure où l’on débat du contenu des programmes d’histoire à l’école, où l’on voit fixé par la loi ce qui doit être commémoré, Shlomo Sand s’interroge : tout récit historique n’est-il pas idéologiquement marqué ?
Les sensibilités politiques et la puissance des Etats ne pèsent-elles pas démesurément sur la recherche en histoire et sur son enseignement ? Et, dans ces conditions, peut-il exister une vérité historique moralement neutre et « scientifique » ? Tout en brossant le tableau d’une vaste histoire de l’Histoire, de la Mésopotamie à nos jours, il dénonce les méthodes avec lesquelles les historiens européens ont construit les mythologies nationales modernes, ou encore la tendance actuelle à faire de l’historien le prêtre de la mémoire officielle ou le forgeron des identités nationales. Shlomo Sand : « Quand je lis Finkielkraut ou Zemmour, leur lecture de l’Histoire, je suis effrayé » Entretien réalisé par Pierre Barbancey, 22 Janvier, 2016 L’Humanité. Crépuscule de l'Histoire. J'ai longtemps revendiqué de ne pas m'intéresser à l'information au profit de l'Histoire.
Cela avait justifié que je ne regarde plus la télévision, me désabonne des quotidiens et me coltine Le Monde Diplomatique de la première à la dernière page, épreuve douloureuse mais nécessaire ! Une déconvenue personnelle concernant ce fameux mensuel m'a plus démoralisé que de découvrir la personnalité paranoïaque du candidat Front de Gauche après les élections présidentielles. Un surprenant storyrtelling me concernant m'a empêché de continuer d'y publier des articles pourtant déjà commandés (en particulier une énorme enquête sur la vie des musiciens de jazz en France), jetant un doute profond sur les coulisses de la pensée (le fait que j'écrive ici n'y est pas non plus complètement étranger). Mon implication aux élections municipales a de même révélé que l'arène politique ressemblait plutôt au marché de l'embauche. Philosophie de l'histoire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cet article ou cette section peut contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées(indiquez la date de pose grâce au paramètre date). Vous pouvez aider en ajoutant des références. Voir la page de discussion pour plus de détails. La philosophie de l'histoire est la branche de la philosophie qui s'attache à réfléchir sur le sens et sur les finalités du devenir historique. On peut, schématiquement, distinguer deux écoles de pensée : l'une qui nie toute idée de finalité ou de détermination en affirmant la foncière "absurdité" de l'histoire, fruit du hasard et de l'imprévu, et l'autre qui affirme, au contraire, qu'elle obéit à un dessein, lequel peut être déterminé de l'extérieur par un principe transcendant ou idéal, ou, au contraire, le produit d'une logique et de forces immanentes.
L'histoire, fruit du hasard et de l'imprévuModifier L'histoire est une réalisation téléologique d'un desseinModifier Les LumièresModifier CritiquesModifier. L'histoire. Les enjeux de la notion – une première définition Si l’on désire explorer adéquatement le concept d’histoire, il est nécessaire de distinguer en premier lieu les différentes significations que recèle le terme même d’ « histoire ».
L’histoire, c’est tout d’abord le récit de ce qui a eu lieu dans le passé, la connaissance des époques, des évènements, des faits appartenants au passé. C’est l’histoire entendue comme discipline faisant l’objet d’un enseignement. En un second sens, l’histoire se réfère à la réalité historique elle-même dont rend compte l’histoire au sens précédent. Elle désigne alors les évènements ou les actes eux-mêmes, leurs dépendances, leur enchaînement, etc. Objectivité et subjectivité « Nous attendons de l’histoire une certaine objectivité, l’objectivité qui lui convient. (…) L’objectivité ici doit être prise en son sens épistémologique strict : est objectif ce que la pensée méthodique a élaboré, mis en ordre, compris et ce qu’elle peut ainsi faire comprendre.
Les historiens de garde -