Bonheur véritable et accomplissement de soi : proposition originale en 4 minutes. Un bonheur dans une qualité d’être, qui permette de « s’approcher de la vérité, de sa propre essence et de la justice — la justice dans le sens du bien agir… ».
Un bonheur à l’opposé des conceptions naïves, angéliques et éphémères, un bonheur qui au contraire se construit pas après pas, dont les conditions sont en particulier la maîtrise de soi, la réalisation d’actes altruistes, une vision juste sur le monde, un bonheur qui nous permette d’accomplir notre humanité et dont les effets, durables, s’inscrivent dans l’âme … Difficile de résumer ce qui se révèle être déjà une synthèse présentée par Leili Anvar, celle d’une proposition de vie d’Ostad Elahi, penseur spirituel du XXe siècle, qui « synthétise toute une tradition spirituelle d’orient et d’occident » en précisant les conditions d’une vie active qui permette d’accomplir son humanité.
Emploi: Le bonheur au travail. Bonheur au travail: les quatre illusions qui tuent Vous rêvez d'une réussite sociale, d'une plénitude sans faille... et cherchez désespérément comment être heureux.
Prenez garde! La poursuite aveugle et effrénée du bien-être peut faire très mal. Optez pour la lucidité, préconise Ilios Kotsou, co-fondateur d'Emergences*. "Travailler ensemble requiert de la souplesse" Le coach Philippe Laurent liste trois conditions pour que les échanges professionnels nous nourrissent au lieu de nous faire souffrir: la simplicité des processus, la souplesse des relations et la fluidité des échanges. "Comment gagner en efficacité dans son travail? " Travailler efficacement rend heureux. "Salariés seniors, ne cédez pas au découragement" Passé 50 ans, le senior à la recherche d'un travail doit lutter contre la croyance trop répandue qu'il lui est impossible d'en trouver. "L'ambition n'est pas une volonté de puissance, mais de réalisation de soi"
La première image que nous avons de l'ambitieux est celle de l'homme aux dents qui rayent le parquet, celle du requin prêt à dévorer ses concurrents, celle du guerrier dont l'obtention de la victoire légitime toutes les agressivités, celle de la grenouille qui veut devenir plus grosse que le boeuf.
L'ambition a donc mauvaise image. Avec la "niaque" qui recherche à tout prix le succès, l'avidité du titre, la cupidité du toujours plus, du toujours plus loin et du meilleur que les autres, l'ambitieux que nous pensons a soif de pouvoir et à besoin de se prouver à lui-même et aux autres qu'il est capable et invincible. L'histoire prouve que l'ambition démesurée des uns a trop souvent fait le malheur des autres. Beaucoup d'ambitieux lucides pourraient aussi témoigner à posteriori de ce qu'ils ont perdu en laissant libre cours à leur envie débordante.
Il prend en charge son évolution sans attendre passivement que les autres s'en chargent. Par Philippe Laurent, coach, conférencier et formateur. La société de consommation mène t'elle au bonheur ? Le bonheur, accomplissement de mon être. 1.
Une « définition » du bonheur Regardons de quel côté Aristote recherche le bonheur : A. Le bonheur est le bien qui se suffit à lui-même · Le bonheur est ce qui se suffit à soi-même, c’est-à-dire qu’on ne recherche pas en vue d’autre chos. . · Mais quel est donc ce bien suprême qui se suffit à lui-même ? B. . · Nous avons vu dans le précédent exposé que le désir du bonheur vient de la structure de l’être humain, qui est un être en croissance, pourvu de potentialités à développer. C. . · Le bonheur est une activité de l’âme humaine guidée par la lumière intérieure, se réalisant dans un déploiement des facultés humaines les plus élevées, les portant à leur accomplissement, à leur plénitude. . - Le bonheur est une « activité » (dans un sens large : la prière, la contemplation sont des activités), et donc pas seulement un état de conscience ou sentiment. - Il est une activité découlant d’un épanouissement (perfectionnement) des facultés humaines (par exemple un violoniste).
La recherche du Bien et du Bonheur (cours) Qu'est-ce qu'une vie réussie ?
Qu'est-ce qu'une belle vie ? Introduction Le « Bien » est, en général, la finalité de toute action possible. Les hommes cherchent naturellement le bien pour eux : même le « méchant » pense faire le bien, si ce n’est pour autrui, au moins pour lui-même. Par ailleurs "tous les hommes cherchent le bonheur", dit Aristote, justement parce que le bonheur représente en général l'ensemble des biens souhaitables… Le Bonheur pourrait se définir comme la satisfaction complète et durable de tous nos désirs, ou à défaut des plus importants.
L’étymologie ne nous aide guère, puisqu’elle fait peu ou prou remonter le bonheur à l’idée de chance : « bonne-heure », bonne nouvelle, « mal-heure », mauvaise nouvelle… Comment pourrions-nous faire du bonheur l’objet d’une réflexion philosophique s’il se ramène à une affaire de chance ? C'est ainsi que nous rencontrons le concept du Devoir.