ListeEbook. Enregistrement du fichier en cours. Les Mooc, la ruine de l’université ? Billet rédigé par Caroline Jouneau-Sion (ENS-Lyon), Chloé Manceau (ENS-Lyon) Alors qu’ils ont connu un fort succès auprès des grandes universités américaines (Harvard, MIT, Stanford, etc.), les Mooc (Massive Open Online Courses) arrivent doucement dans les universités françaises.
Rappelons actuellement, deux plates-formes américaines dominent le marché en hébergeant la plupart des Mooc : Coursera et edX. Mais dernièrement, la France a décidé de se lancer sur le marché et de les rejoindre en mettant en place la première plate-forme française destinée à héberger les Mooc d’ici janvier 2014. Après un premier Mooc francophone en marge des universités l’an dernier (j’ai nommé le Mooc Itypa), le paysage des Mooc français s’est en effet considérablement élargi. Source Avant de s’étendre davantage sur le sujet, il est important de rappeler qu’un Mooc n’est pas seulement un cours numérisé, c’est un cours un minimum scénarisé pour amener des “masses” d’apprenants aux apprentissages visés. Source. Culture numérique 2012-2013 > 07 : (2ème partie) Logiciels libres - Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Basse-Normandie.
Livre blanc "la démarche ePortfolio dans l'enseignement supérieur français" Les dispositifs ePortfolio Les dispositifs ePortfolio visent à rassembler, dans un environnement numérique, un ensemble de documents et de ressources électroniques qui décrit et illustre l'apprentissage ou la carrière d'une personne, ses expériences, ses travaux et ses compétences.
Ils intéressent très directement l'enseignement supérieur pour la formation initiale et tout au long de la vie (formalisation des parcours et des référentiels, nouvelles modalités d'acquisition et de repérage des compétences, ...) et pour l'insertion professionnelle (valorisation des acquis et expériences). En France, il fait pour le moment l'objet d'expériences ponctuelles, de plus ou moins grande ampleur. Ces expériences posent la question de l'inscription de la démarche ePortfolio dans des politiques d'établissement voire interuniversitaires et celle du passage à des publics plus larges.
Mesurer l’impact des technologies, est-ce vraiment réalisable ? Share Tweet Email La question de la mesure des effets des technologies est « déjà » une vieille question.
Beaucoup de tentatives, et cela fait environ 30 années que cela dure, se sont hélas soldées par une conclusion qui tient en trois lettres : NSD. Ce No Significant difference a d’ailleurs été affublé d’une mention de phénomène tant les recherches en question (des centaines d’études) en étaient marquées. Les recherches les plus fréquentes, souvent construites sur une comparaison « avec et sans technologie » et axées sur les effets en termes de « réussite » des apprenants dans un contexte limité (par exemple : école, outil particulier, discipline) ont la plupart du temps été marquées par ce no significant difference. Déjà, les méta-recherches pionnières de Kulik et al. Imaginaires et promesses du numérique en éducation, par Marcel Lebrun. Histoire du personnage, Marcel Lebrun Avant d’être enseignant en sciences de l’éducation, Marcel Lebrun a étudié la physique nucléaire et ce n’est qu’au tout début des années 80 qu’il a commencé à s’intéresser aux micro-ordinateurs. « Parce que l’informatique m’intéressait, j’ai commencé à développer des logiciels éducatifs et j’ai vite vu que du côté de la partie logiciels, je maîtrisais, mais côté éducatif, ça allait moins bien ».
Marcel Lebrun s’est donc tourné vers des pédagogues qui m’ont expliqué « que les étudiants n’étaient pas des particules élémentaires et que, la croyance que le champ magnétique de l’enseignant allait les faire apprendre, n’était pas vraiment fondé ». Il a suivi l’évolution des logiciels éducatifs, de l’internet, des CD Roms, le Web 2.0 et maintenant les MOOC…pour devenir maintenant un professeur en sciences de l’éducation avec toujours en point de mire, « la volonté de balancer le côté obscur de la force ». Il reprend une phrase de Michel Serres qui l’inspire, L'e-learning est-il l'avenir de l'éducation ?
Suivre et apprendre un cours en ligne, une expérience que vous avez peut-être déjà tentée ?
En l'espace de quelques années, Internet a multiplié les possibilités d'apprendre à distance. À l'heure où le gouvernement veut refonder l'école, l'enseignement en ligne s'impose comme un nouvel usage à prendre en considération. Souvent perçu comme un outil permettant un meilleur apprentissage, l'e-learning fait désormais partie de la palette pédagogique, mais certains craignent de voir les professeurs remplacés par des écrans. Regards sur l'apprentissage et le e-learning - 12 témoignages d’experts en vidéo.
c3a9lc3a9ments-de-lenseignement.jpg 1 385 × 1 239 pixels. Dossier e-learning letter n° 5 - actualité & stratégies e-learning - L'état de l'art du e-learning : problématiques et solutions. Imaginaires et promesses du numérique en éducation, par Marcel Lebrun.