2015_0616_PotentielPedagogique251applications.pdf. Laboratoire jeux et mondes virtuels. Télécharger l’appel à communication.
Ce premier colloque du LabJMV entend réunir les chercheurs et les professionnels travaillant sur le jeu autour de la problématique de l’engagement du joueur. Afin de croiser les points de vue, le colloque comprendra à la fois des communications issues de recherches scientifiques et d’expertises professionnelles. Le jeu permet d’instaurer un cadre pragmatique propice à l’action individuelle ou collective, car il induit une indétermination. Le jeu va-t-il être porté à son terme ? Quel va en être le résultat ? Ainsi, les jeux permettent d’observer des logiques à la croisée de l’action (ce que l’on fait lorsqu’on joue), du positionnement (où on le fait, dans quels cadres, à partir de quand, et jusqu’où ?)
Partant des travaux récents de l’anthropologue Roberte Hamayon (2012), le colloque examinera le jeu dans une double perspective : 1. 2. Calendrier prévisionnel : – 1er juin 2016 : notification des acceptations – 21-22 octobre 2016 : colloque. Changer le monde un jeu à la fois. La rue grouille de manifestants.
L’armée est sur les dents. Le sang risque de couler. Ce pourrait être une scène tirée d’un autre jeu de guerre où le joueur doit éliminer des cibles choisies dans le but de restaurer l’ordre. Ou juste amasser des points. Or, * renverse la perspective : ici, le joueur incarne un personnage qui ne veut pas faire la guerre. Le jeu produit par Navid Khonsari met en scène un photojournaliste, Reza, qui doit tirer son épingle du jeu dans le contexte explosif de la révolution islamique qui a secoué l’Iran à l’aube des années 80.
Avant de lancer la production de , Navid Khonsari a travaillé sur plusieurs jeux très populaires, dont , franchise souvent critiquée pour sa peinture – sa glorification, diront certains – d’un mode de vie criminel. Susciter l’empathie est une notion clé dans le monde du jeu à portée sociale dont G4C est un important carrefour depuis une dizaine d’années. Tout ça est noble, n’est-ce pas ? — Maude Bonenfant. La classe inversée. De plus en plus d’enseignants ont recours à la méthodologie de la classe inversée, dans le but d’améliorer la qualité de leur enseignement et la performance de leurs élèves.
Cette approche pédagogique présente de nombreux avantages pour réveiller l’intérêt des élèves et permet d’utiliser différents outils en mesure de transformer leur rôle de l’enseignant. Pour vous permettre de mieux comprendre ce concept, Edupronet vous propose un dossier exhaustif, dans lequel vous trouverez quelques notions de base sur la classe inversée, ainsi qu’une présentation de quelques outils pour faire vos premiers pas vers cette méthode d’apprentissage. Et si vous passiez à la classe inversée ?
La classe inversée (flipped classroom) est un modèle pédagogique dans lequel la partie magistrale (théorique) du cours est exportée en dehors de la classe. Commentaires commentaires Et si vous passiez à la classe inversée ? Commentaires. Faire ses premiers pas vers la classe inversée - L'École branchée. Un dossier conjoint Infobourg – Carrefour Éducation Peut-être avez-vous entendu parler dernièrement de la fameuse dynamique de « classe inversée »?
Elle semble être sur toutes les lèvres! Parmi les enseignants qui l’ont expérimentée, certains ne peuvent plus s’en passer et y voient des avantages énormes, notamment grâce aux nouvelles possibilités de personnalisation de l’enseignement entraînée par l’augmentation du temps disponible pour les élèves. Mais tout d’abord, qu’est-ce que la classe inversée? C’est une façon d’organiser le temps de classe de sorte que la partie magistrale du cours est dispensée de façon électronique (capsules vidéo, lectures personnelles, visites virtuelles, etc.) et le temps de classe est consacré au travail d’équipe, aux discussions et aux activités d’apprentissage actives.
Des jeunes du Québec et de la Belgique débattent sur le numérique en éducation. Dans le cadre du Rendez-vous des écoles francophones en réseau (REFER), qui aura lieu les 19 et 20 mars prochains, deux classes se sont jumelées afin de débattre virtuellement de 4 affirmations liées au numérique dans leur vie, inspirées de l’œuvre Petite Poucette, du philosophe Michel Serres.
Les enseignants Annie Turbide (éthique et culture religieuse, 5e secondaire, École Cardinal-Roy à Québec) et François Jourde (philosophie 16-17 ans, École européenne Bruxelles 1, en Belgique), ont invité leurs élèves à réfléchir à leur rapport au numérique. Pour ce faire, ils ont d’abord lu l’œuvre Petite Poucette, du philosophe français Michel Serres, parue en 2012, dans laquelle il interroge justement cette nouvelle « ère du numérique ». Ils ont ensuite pu y réagir à travers différentes activités pédagogiques, dont un débat virtuel autour des 4 affirmations suivantes : Parmi les arguments marquants proposés par les élèves : 1. 2. 3. 4. À propos de l’auteur Audrey Miller Pour suivre l’auteur :
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