Persévérer dans l’égalité ! Guide sur l’égalité filles-garçons et la persévérance scolaire - Réseau réussite Montréal. Titre : Persévérer dans l’égalité !
Guide sur l’égalité filles-garçons et la persévérance scolaire. La Nouvelle Union - Journal Victoriaville. My son has been suspended five times. He’s 3. Tunette Powell’s sons, JJ (left) and Joah, have been suspended from school eight times combined.
(Tunette Powell) I received a call from my sons’ school in March telling me that my oldest needed to be picked up early. He had been given a one-day suspension because he had thrown a chair. He did not hit anyone, but he could have, the school officials told me. JJ was 4 at the time. I agreed his behavior was inappropriate, but I was shocked that it resulted in a suspension. For weeks, it seemed as if JJ was on the chopping block. Still, I kept quiet. I was expelled from preschool and went on to serve more suspensions than I can remember. Tunette Powell’s oldest son, JJ, was 4 years old when he was suspended from preschool. And even still, when my children were born, I promised myself that I would not let my negative school experiences affect them.
So I punished JJ at home and ignored my concerns. Just like before, I tried to find excuses. I blamed myself, my past. “JJ?” Le décrochage scolaire des filles, une réalité ignorée et désastreuse - Relais-femmes. Un éclairage nouveau sur les causes inhérentes à l’abandon des études et ses conséquences, en traçant un portrait de la situation des décrocheuses.
Ce matin, la Fédération autonome de l'enseignement (FAE) a dévoilé une étude sur le décrochage scolaire des filles. Le président de la FAE, monsieur Pierre St-Germain était accompagné de la chercheuse qui a réalisé cette étude, Madame Isabelle Marchand, doctorante et membre de l'Institut de recherche et d'études féministes (IREF) de l'Université du Québec à Montréal et de Madame Lise Gervais de Relais-femmes. À travail égal, formation supérieure! Les filles décrochent moins et sont aujourd’hui plus nombreuses à obtenir un diplôme universitaire que les garçons.
La question de l’égalité est-elle pour autant réglée ? « Les statistiques prouvent le contraire », estime Lise Gervais, coordonnatrice générale de Relais-femmes. Les salaires, les taux et les statuts d’emploi ne sont pas au rendez-vous pour maintenir de nombreuses femmes à l’abri de la pauvreté et de l’exclusion. On sait par exemple que, même si les femmes sont majoritaires parmi les diplômés à l’université, leur taux d’emploi continue d’être inférieur à celui des hommes : il était en 2012 de 56,7 % contre 63,5 % chez les hommes, un chiffre qui diminue de près de 10 points chez les immigrants. Or, la formation agit pour les femmes comme un véritable rempart : pour atteindre un taux d’emploi comparable à celui des hommes, il leur faut s’instruire davantage. Ghettos féminins Facteur enfants Nouvelles approches. M. Royer radote. Honnêtement, je comprends mal la tribune qu'on accorde à cet universitaire qui radote sympathiquement le même message depuis des années.
Bien que, sur certains points, les propos de M. Les familles populaires, l’école et la lecture. L’étude de Séverine Kakpo sur « Les devoirs à la maison » dans les familles populaires mérite de retenir l’attention, tant pour son apport informatif original que pour le champ de réflexion qu’ouvrent ses observations et ses analyses [1].
Cette recherche se situe au confluent de deux préoccupations anciennes de la sociologie de l’éducation : la première concerne l’évolution du rapport des familles populaires à l’école, la seconde ce qu’il en est réellement du travail scolaire à la maison [2]. La prise en main des apprentissages S’agissant du premier de ces deux registres, on sait aujourd’hui que c’est dès les années 1960 que s’amorce la grande mutation du statut de l’école pour les milieux populaires. Entre 1963 et 1972 le souhait que les enfants obtiennent au moins un bac passe, dans les familles ouvrières, de 15 à plus de 60%. L'école des gars... interdite aux filles. Le Journal de Montréal présentait ce matin (ici et ici) une initiative pour contrer le décrochage scolaire chez les garçons et de nombreux commentateurs ont salué celle-ci comme s'il s'agissait d'un exemple de ce qu'il fallait faire en éducation.
Grosso modo, il s'agit d'organiser une soirée de lecture à l'école où uniquement des garçons et des adultes masculins seraient présents. On choisirait également de lire des oeuvres pour des gars. Honnêtement, je demeure très critique à l'égard de ce genre d'activités. Le point positif qu'on peut y trouver est qu'il s'agit d'une façon, comme le dit la directrice de l'école du Bout-de-l'Isle, Nathalie Provost, qui «permet de rapprocher les pères et les fils à travers le thème de la littérature.»
Mythe 2: le décrochage scolaire (ajout) Au Québec, il est de bon ton de parler de décrochage scolaire sans arrêt.
Faire réussir les garçons ou en finir avec le féminisme ? Étude dévoilée par la FAE - Une raison de plus pour les femmes de s'indigner : le décrochage des filles, une réalité ignorée et désastreuse. Le décrochage des filles et la journée internationale des femmes « Le décrochage n'a plus de sexe.