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Ecologie

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Extinction Rebellion, portrait du mouvement écologiste qui bloque des places et des ponts à travers le monde. Article réservé aux abonnés C’est un logo devenu viral sur les réseaux sociaux : un sablier à l’intérieur du cercle de la Terre, peint en noir.

Extinction Rebellion, portrait du mouvement écologiste qui bloque des places et des ponts à travers le monde

Lundi 7 octobre, des drapeaux verts, bleus ou jaunes arborant cet emblème flottaient dans les rues de près de soixante grandes villes, de Sydney à New York en passant par Londres ou Paris. Les militants écologistes d’Extinction Rebellion ont entamé une « rébellion internationale » – une ou deux semaines d’actions coups de poing à travers le monde – pour dénoncer l’inaction « criminelle » des gouvernements face à la crise climatique. En bloquant des ponts, des routes ou des lieux de pouvoir, de manière parfois spectaculaire, ce mouvement de désobéissance civile non violente, lancé fin octobre 2018 au Royaume-Uni, séduit de plus en plus largement. Il revendique plus de 100 000 militants dans 70 pays. Extinction Rebellion : la lutte des places est-elle efficace ? La semaine dernière, à Londres, Montréal, Bruxelles, Amsterdam Berlin et Paris le tout jeune groupe Extinction Rebellion organisait une semaine d’action pour pousser les gouvernements à agir plus vite et plus fort contre le réchauffement climatique.

Extinction Rebellion : la lutte des places est-elle efficace ?

À Paris ils ont bloqué la place du Châtelet, occupé la place du Palais Bourbon, et un de leurs militants a grimpé sur la pyramide du Louvre. Pour autant leur mouvement n’a peut-être pas eu la répercussion attendue par les initiateurs puisque mairie de Paris, comme gouvernement, ne l’ont pas condamné, conduisant des porte parole des gilets jaunes ou de mouvements plus violents à s’interroger sur les raisons de ce laisser-faire. Extinction Rebellion est un mouvement non-violent et des discussions nombreuses ont eu lieu toute la semaine à l’intérieur du campement sur l’efficacité de ce mode d’action. Pour aller plus loin : Retour sur la semaine de Rebellion Internationale d'Octobre (RIO), Reporterre, le 10/10/2019 Sur nos invités :

Histoire de la pensée écologique du 29 janvier 2014 - France Inter. Il y a quarante ans, lors du scrutin présidentiel de 1974, René Dumont, en pull rouge écarlate, faisait entrer le courant écologique dans l'arène politique.

Histoire de la pensée écologique du 29 janvier 2014 - France Inter

A la même époque, commençaient à éclore les premières assises internationales sur le thème : nous n'avons qu'une seule planète. Des formations politiques naissaient : les Verts en France il y a précisément trente ans. Dumont commença sa campagne électorale en indiquant qu'il n'était pas un perdreau de l'année.

Il faisait remonter le mot "écologiste" au milieu du XIXème siècle. On pourrait même aller plus avant. Entrant pour sa campagne dans les studios de l'ORTF, Dumont étonna en faisant enlever le panneau "Interdit aux animaux". Du système technique, en revanche, il se méfie et, à l'expérience, du système politique aussi. Site de l'A.I.J.E Espaces verts A.I.J.E espaces-verts est une société visant à diversifier son activité dans le domaine des espaces-verts. Faucheurs volontaires. Logo des Faucheurs volontaires, monde solidaire Arrachage de plants de maïs transgénique à Menville (Haute-Garonne) le 25 juillet 2004 François Dufour, ancien porte-parole de la Confédération paysanne, Vice-Président d'ATTAC France, lors d'une manifestation des faucheurs volontaires contre les OGM le 25 juillet 2004 Les faucheurs volontaires est un mouvement essentiellement français (mais des actions similaires ont eu lieu en 2007 en Allemagne, au Portugal et en Grande-Bretagne), dont les 6 700 militants revendiqués[1] se sont engagés par écrit à détruire les parcelles d'essai transgéniques et de cultures d'OGM en plein champ.

Faucheurs volontaires

Qualification[modifier | modifier le code] Qualifiés par le droit pénal et civil de « destruction grave du bien d'autrui en réunion », ces actes constituent un délit. Ils les lient à leur opposition à l'utilisation des organismes génétiquement modifiés en agriculture et au « brevetage du vivant ». Historique[modifier | modifier le code] Crise climatique : près de 300 militants arrêtés à Londres à la suite de blocages « écologiques »