Présente «Sinjar, Land of the Ghosts» à l’exposition photoSCHWEIZ 20. Dès le 9 janvier 2020, Médecins Sans Frontières (MSF) vous invite à venir à l’exposition PhotoSCHWEIZ 20 à Zürich pour découvrir le travail de la photographe Emilienne Malfatto.
Du 10 au 14 janvier, vous pourrez découvrir le reportage d'Emilienne Malfatto, réalisé auprès de la communauté yézidie dans le district de Sinjar, au nord-ouest de l’Irak. Depuis 2018, MSF est présente dans la région et soutient l'hôpital de Sinuni avec une aide médicale d'urgence et des services pour les femmes enceintes. Les besoins d'aide psychologique dans la région étant énormes, MSF a étendu ses activités dans le domaine des soins de santé mentale.
L’artiste Emilienne Malfatto est une photojournaliste française indépendante, qui travaille sur les questions sociales et post-conflit, principalement en Irak. Depuis 2015, elle documente la vie de la communauté Yazidi, qui a été victime de nombreux génocides. Merci de votre compréhension. Emilienne Malfatto - European Press Prize. Emilienne Malfatto is a freelance journalist and photojournalist covering the Middle East and Latin America.
She studied in France and Colombia and graduated from Sciences Po Paris journalism school in 2013. She then worked two years for AFP (Agence France Presse), in France and on the Middle East regional desk. In early 2015 she moved to northern Iraq as a freelancer. She covers conflict related themes but also in-depth stories, with a social and gender focus. La femme est un homme comme les autres - European Press Prize. His confusion is understandable.
Diana is a burrnesha, one of Albania’s last sworn virgins, women who opted to live as men to escape the domination of a patriarchal system, at the cost of taking a vow of virginity and chastity. The motives for such a choice were exclusively social, not prompted by sexuality or any physical changes.This practice, which is dying out, is still little understood.
It mainly occurs in Albania but reaches north into Montenegro and Kosovo. The term is derived from burra, the Albanian for “man”. “I know of a sad case,” Diana recalls, “a young woman who fell in love with a man, but her family had promised her to someone else. “A privilege for men … and women like myself,” Stana Cerovic says. Une semaine plus tard, Diana (son prénom a été changé) raconte la scène avec un mélange d'amusement et d'indignation. Découvert après la chute du communisme, le phénomène, en voie de disparition, est mal cerné. Emilienne Malfatto - European Press Prize. Que sur toi se lamente le tigre - Emilienne Malfatto. Emilienne Malfatto, Honorable Mention. Al-banaat, “the girls” - this is the title photographer Emilienne Malfatto has given her sensitive portrait of two sisters growing up in a rural region in Southern Iraq.
Emilienne MALFATTO, Photo reporter, Lauréate de la Vocation 2017. In rural France, the coronavirus bolstered a sense of community and isolation - Washington Post. Coronavirus : quand le Washington Post met en lumière la Lozère, épargnée par un "confinement permanent" Photo reporter plus habituée à travailler au Moyen-Orient qu'en France, Emilienne Malfatto s'est retrouvée confinée sur la terre de ses ancêtres, dans une Lozère relativement épargnée par le COVID-19.
Elle en a fait un photo reportage que le Washington Post publie dans un spectaculaire grand format. Quand les Américains posent leurs yeux sur la Lozère, c'est à travers l'objectif d'une descendante de Lozériens. A travers les photos d'Emilienne Malfatto, dont la mère est originaire du département, et les textes de James Mc Auley, le Washington Post explore dans un époustouflant grand format les raisons pour lesquelles ce territoire rural a été relativement épargné par le coronavirus.
De l'Irak au retour aux sources en Lozère D'habitude, son objectif se pose sur les zones reculées d'Irak et les événements du Moyen-Orient. Avouons-le, ça m'a permis d'être dehors, d'échapper un peu à l'enfermement. J'étais au téléphone avec mon éditeur du Post en Français. Emilienne Malfatto - Contributions dans Le Monde. Irak : Cent jours de thawra – Visa pour l’image. Janvier 2020.
En définitive, mes amis irakiens avaient tort. C’est la première pensée qui me vient en arrivant à Bagdad après quelques semaines d’absence. Depuis des années, ils avaient cette seule formule pour évoquer l’avenir : « Ici, il n’y a pas de futur, pas d’espoir, pas de changement possibles. » Or l’actualité semble les prendre en défaut : en octobre 2019, la société civile a commencé à se soulever en masse contre le système. C’est la thawra, la révolution, selon le terme des manifestants. Freelance photojournalist.