Américanisation par le cinéma et les séries tv. Américanisation. "Invading new markets" par Andy Singer - 20000 lieues sur le net. Ce dessin demeure étonnamment d'actualité.
Un débarquement organisé par les personnages de la compagnie californienne Walt Disney Pictures : Mickey et Donald comme chef, commandant une armée de soldats Dingo. Mais ici, ce n'est un territoire libéré des nazis ou des japonais comme pendant la seconde guerre mondiale, mais une île d'une population apeurée par une invasion de produits américains : - des canettes de Coca Cola, - un avion avec le logo de Motorola, entreprise américaine spécialisée dans l'électronique et les télécommunications, - des bateaux avec les logos de la compagnie pétrolière Texaco, Nike et même Shell, pourtant compagnie pétrolière anglo-néerlandaise ! - et un drapeau Microsoft planté sur une terre libérée, qui s'inspire d'une célèbre photographie de Joe Rosenthal, Raising the flag on Iwo Jima, prise le 23 février 1945 lorsque les Gi's ont libéré cette île proche du Japon durant la seconde guerre mondiale.
American way of life. L’American way of life, ou mode de vie américain[1] en français, est une expression désignant une éthique nationale ou patriotique américaine qui prétend adhérer aux principes élaborés dans la Déclaration d'indépendance des États-Unis : la vie, la liberté et la recherche du bonheur.
Elle peut aussi bien se référer plus généralement au mode de vie du peuple des États-Unis. Le sens de l'expression dépend largement de qui l'utilise : pour la gauche américaine, elle peut signifier un esprit démocratique ou bien anti-autoritaire ; pour la droite, elle est souvent associée au rêve américain et à la notion de l'« exceptionnalisme américain » (en anglais : « American exceptionalism », conviction que la nation américaine a un destin unique et à part des autres nations du monde).
Américanisation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L’américanisation est un terme largement employé au XXe siècle pour décrire l’influence alors exercée par les États-Unis sur la vie des citoyens d’autres pays du monde, cette influence propageant tout ou partie des caractéristiques de la culture américaine avec la société de consommation. Connotations et contexte[modifier | modifier le code] Selon le contexte d’emploi et les personnes, le terme peut recevoir une connotation négative ou positive.
Pour ses détracteurs, il sous-entend souvent une idée d’acculturation et de menace pour les cultures traditionnelles. Un amalgame est souvent fait entre les incidences culturelles de l’américanisation et celles de la globalisation, perçues de concert comme tendant à uniformiser les modes de vie. Il est ardu de déterminer le degré et la persistance de ces influences, et de percevoir si elles proviennent d’une volonté propre ou si elles sont induites. Américanisation. Cette culture qui plaît à tout le monde. INTERVIEW - Pour le chercheur Frédéric Martel, les États-Unis ont gagné «la guerre mondiale des contenus» culturels. Dans son nouvel ouvrage, Mainstream, fruit d'une enquête menée dans trente pays, Frédéric Martel, enseignant à HEC, explique pourquoi les productions nationales n'arrivent pas à faire le poids face aux œuvres films ou musique américaines conçues pour le public de la planète entière.
LE FIGARO. - Qu'est ce que la culture «mainstream» ? Frédéric MARTEL. - Littéralement, c'est le courant dominant. Aujourd'hui, les grandes compagnies américaines de divertissement, comme Disney, savent produire ce qui plaît à tout le monde, aux deux sens du terme. C'est une «diversité standardisée». Mais vous décrivez la puissance de l'argent ! Pas seulement. Cf1c182ef9c02de17221161e8d9be190 2. DECRIRE et EXPLIQUER la puissances des Etats Unis par l’analyse d’une caricature – La Classe d'Histoire. CONSIGNE = A partir de la caricature proposée, je réponds aux questions suivantes en faisant des phrases correctement ponctuées et orthographiées.
Dessin d’Andy Singer Invading New Markets (“Invasion de nouveaux marchés”), 1998 Q1 : Je PRESENTE la caricature ainsi que l’auteur de la caricature, en réalisant une recherche courte mais précise. Je prends soin de nom la ou les sources des informations trouvées. Impérialisme culturel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'impérialisme culturel a pour but, dans un premier temps, de modifier les modes de vie pour les faire ressembler à celui de la culture dominante, c’est-à-dire l'assimilation de la population dominée, en imposant sa culture, son système éducatif, sa musique, son mode de pensée et de consommation[1]. On peut distinguer l'impérialisme culturel, la cause, de la domination culturelle, son effet. En effet, l'impérialisme culturel est une volonté basée sur une idéologie, le sentiment de supériorité de la culture dominante, et le mépris de la culture dominée.
Dans un contexte de mondialisation et d'internationalisation, pour d'aucun résultant en une guerre économique, l'impérialisme culturel se manifesterait par l'influence socioculturelle[2]. L’américanisation du monde : mythe ou réalité ? - Baripedia. Nous allons formaliser une réflexion sur le thème de l’américanisation du monde.
On retrouve un certain nombre de notions d’abord sur ce qu’est le processus d’américanisation qui est entendu comme un processus de long terme par lequel es États-Unis tentent de modeler toute une partie du monde à leur image et réussissent à exporter un certain nombre de principes sociaux, politiques ou encore culturels. Les rapports entre les États-Unis est le monde doit se comprendre comme le monde étant le prolongement des États-Unis.
Modeler le reste du monde à leur image revient à projeter les États-Unis hors de leurs frontières. L’hyper-domination numérique américaine : les chiffres. Soft power. Le soft power (traduisible en français par la « manière douce » ou le « pouvoir de convaincre »[1]) est un concept utilisé en relations internationales. Développé par le professeur américain Joseph Nye, il a été repris par de nombreux dirigeants politiques. Colin Powell l'a employé au Forum économique mondial en 2003 pour décrire la capacité d'un acteur politique — État, firme multinationale, ONG, institution internationale (comme l'ONU ou le FMI), voire réseau de citoyens (comme le mouvement altermondialiste) — d'influencer indirectement le comportement d'un autre acteur ou la définition par cet autre acteur de ses propres intérêts à travers des moyens non coercitifs (structurels, culturels ou idéologiques).
Si le concept a été développé aux États-Unis vers 1990, la notion est née au XIXe siècle au Royaume-Uni[2]. Origine du concept[modifier | modifier le code] Concept[modifier | modifier le code] Types de ressources dans l'analyse de Nye[modifier | modifier le code] Sous quelles formes l'américanisation touche-t-elle les jeunes ? Untitled.