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Mutis. Unexplained end-of-life lucidity in dementia patients - Rudolph Tanzi, Chronicles 3. Karl Pribram, cerveau et univers holographiques - science et conscience. Karl Pribram et David Bohm ont mené respectivement des recherches sur des axes différents et ont abouti à la même conclusion : l'univers n'est qu'une gigantesque illusion, c'est un hologramme.

Karl Pribram, cerveau et univers holographiques - science et conscience

Les théories de Pribram, comme celles de Bohm, portent un regard neuf sur le monde: nos cerveaux construiraient une réalité "concrète" irréelle et la réalité objective n'existerait pas. Le neurophysiologiste américain Karl Pribram s'est demandé comment les souvenirs se stockaient dans la mémoire. Pour cela, il a remis en cause les recherches menées dans les années 1920 par le neurochirurgien canadien Wilder Penfield qui affirmait que chaque souvenir avait sa place dans un endroit précis du cerveau. Pour démonter cette affirmation qui faisait alors la quasi-unanimité, il s'appuya sur les expériences du neurophysiologiste américain Karl Lashley. Ce dernier commençait par entraîner des rats à accomplir un certain nombre de tâches comme courir dans un labyrinthe.

Mutis. Watch heart-melting moment Alzheimer's patient recognises her daughter and says 'I love you' Mort : qu'est ce que la "lucidité terminale" La mort est précédée d’une agonie, de problèmes respiratoires, mais également d’un symptôme étonnant laissant croire à une amélioration de la santé. Cependant, ce même symptôme arrive bel et bien avant la mort ! La nouvelle a été initialement publiée dans le New York Times où il y avait deux chroniques traitant des symptômes annonciateurs de la mort. Ces chroniques ont été écrites par Sara Manning Peskin, spécialiste en neurologie de l’Université de Pennsylvanie (États-Unis). La première chronique publiée le 20 juin 2017 traitait les symptômes annonciateurs de la mort tels que les difficultés respiratoires, les râles d’agonie et l’agitation.

Pour Barbara Karnes, auteure et infirmière des hospices, il s’agit d’avoir « un pied dans chaque monde ». Sara Manning Peskin a élaboré une liste de quelques cas rencontrés qui ont la particularité d’être très variés au niveau des cas médicaux et de l’âge des patients : « Mon grand-père n’avait pas parlé de façon cohérente depuis plusieurs jours. Terminal Lucidity - Exploring Frontiers of Biology - Michael Nahm's Website. Des personnes atteintes de troubles mentaux redeviennent mystérieusement lucides avant leur décès – Epoch Times. Quelques instants avant de mourir, des patients qui, pendant des années avaient oublié jusqu'à leur propre nom, reconnaissent soudainement des membres de leurs familles et discutent avec eux sans encombre.

Des personnes atteintes de troubles mentaux redeviennent mystérieusement lucides avant leur décès – Epoch Times

(AlexRaths/iStock) Dans Au-delà de la science, Epoch Times explore les recherches et les récits examinant les phénomènes et les théories qui posent un défi aux connaissances actuelles. Nous nous penchons sur les idées stimulant l’imagination et ouvrant de nouvelles possibilités. Partagez vos idées avec nous sur ces sujets, parfois controversés. Des personnes atteintes de schizophrénie, de la maladie Alzheimer ou avec des capacités cognitives dégradées font preuve d’un regain de lucidité quelques instants avant de mourir. Des patients incapables de se souvenir de leur nom pendant des années, reconnaissent soudainement leurs proches, conversent sans encombre avec eux, du passé, du présent comme du futur. Il a réalisé une enquête sur 800 soignants ; 32 seulement ont donné suite.

L'univers holographique de David Bohm. En 1981, un événement remar­quable a eu lieu.

L'univers holographique de David Bohm

À l’Institut d’optique d’Orsay, l’équipe de recherche menée par le phy­sicien Alain Aspect a exécuté ce qui peut se vanter d’être une des expé­riences les plus impor­tantes du 20ème siècle. Vous n’en avez sans doute pas entendu parler dans les journaux du soir. En fait, à moins que vous n’ayez l’habitude de lire des journaux scien­ti­fiques, vous n’avez pro­ba­blement jamais entendu même le nom d’Aspect, bien qu’il y ait cer­taines per­sonnes qui croient que sa décou­verte pourrait changer le visage de science. La "décou­verte" d’Aspect et de son équipe consiste en une expé­rience réa­lisée en en 1981, 1982 et 1988 [1]. David Bohm a donné une inter­pré­tation par­ti­cu­lière de cette expé­rience. Son expé­rience a été repro­duite à grande échelle en 1998 par les phy­si­ciens de l’université de Genève, dirigée par Nicolas Gisin, soit un système d’expérimentation s’étendant sur 30 km [5].