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Divers sciences humaines

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Illusion d'optique: contrairement à ce que vous croyez, ces deux quadrilatères sont de la même couleur. Temps de lecture: 2 min Avez-vous vu passer cette illusion d’optique sur le web? Vous n’allez pas en croire vos yeux. D’ailleurs, vous ne devez pas en croire vos yeux. La voici: Quelle est l’illusion? Vous ne me croyez pas? Une façon de le faire est de mettre votre doigt au milieu, devant l’endroit où les deux formes se rencontrent. Génial, non? Dans cette image, on perçoit la scène comme si elle était tridimensionnelle, avec une source de lumière venant d’en haut à gauche (regardez l’ombre sur le sol). Le quadrilatère du haut est ombré de manière à ce qu’on le voie comme penché en arrière depuis le haut (ce qui rend le bas du losange plus ombré que le haut), et le quadrilatère du bas penché en arrière depuis le bas, avec le haut du quadrilatère éclairé.

Cela veut dire que notre cerveau voit le quadrilatère du haut éclairé et celui du bas dans l’ombre. Mais ce n’est pas le cas. Comme vous pouvez le voir, les deux carrés semblent identiques… parce qu’ils le sont. J’adore ce genre de trucs!

Formation, pédagogie

Psychologie sociale. Sciences cognitives. Communication non violente. Théories systémiques. Sociologie pragmatique. Phénomènologie. Constructivisme. Théories de la compétence. Pouvoir d'agir, enpowerment, capacitation. Émile Durkheim, lien social et intégration. Francetv.fr plus Confidentialité Newsletters Émile Durkheim, lien social et intégration Partager sur Réagir Ajouter à mes favoris Envoyer Mis à jour le 30/08/2013 à 03:33 | publié le 30/08/2013 à 10:58 Page suivante >> Réagissez à ce contenu abdo Profil Personnel éducatif félicitation, bon article.

Guide de lecture. Chers lecteurs et lectrices. Il m’a semblé nécessaire de vous aider à parcourir ce blog en vous indiquant le “sens de sa marche”. En effet, si les divers billets qui le constituent sont souvent rédigés sous le coup de motivations très diverses et parfois irrationnelles ou brusques, une logique existe néanmoins. En vous proposant ce qui pourrait être considéré comme un “sommaire“, vous devriez pouvoir suivre un processus de lecture qui facilitera votre progression dans ce blog.

C’est mon côté enseignant qui ressort. Ainsi, de publications en publications, je ferai apparaître ci-dessous un circuit de lecture. UNE REMARQUE : Ne vous fiez pas à la date de publication. 2 – LES ENJEUX DE LA COMPUBLIQUE- Communiquer : d’abord faire le plein des sens.- La communication à votre service, public !. 2.1 – Enjeux généraux- La compublique expliquée aux débutants. - Compublique : l’approche systémique pour réussir. - Compublique : pompier, chat noir ou Pythie ?. Amartya Sen.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Amartya Kumar Sen Amartya Kumar Sen, au moment de son Prix Nobel Parmi ses nombreuses contributions à l'économie du développement, Sen a fait des études sur les inégalités entre les hommes et les femmes, qu'il dénonce en utilisant toujours un pronom féminin pour se référer à une personne abstraite. Il est aujourd'hui professeur universitaire Lamont à l'Université Harvard. Biographie[modifier | modifier le code] Sen réside alternativement en Inde, dans le Massachusetts et à Cambridge.

Formation[modifier | modifier le code] Sen est né à Santiniketan, au Bengale-Occidental, une ville dont l'université a été fondée par le poète Rabîndranâth Tagore. Carrière[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Sen éleva seul son plus jeune fils. Œuvre[modifier | modifier le code] Théorie du choix social[modifier | modifier le code] Sources de la famine[modifier | modifier le code] Développement Humain[modifier | modifier le code] Grand résumé de Ce que travailler veut dire. Une sociologie des capacités et des parcours professionnels, Paris, Éditions Economica, 2011. 1Ce livre est né d’une perplexité. Alors que la flexibilité transforme le travail en profondeur, les réformes sur la « flexicurité », tout en s’employant à redéfinir le compromis entre travail et capital au fondement de l’État social, restent essentiellement centrées sur l’emploi, laissant le travail à leurs marges. Faire de la sécurisation des parcours professionnels par l’employabilité la nouvelle pierre de touche de l’État social revient pourtant à lier, au moins pour partie, la sécurité des salariés aux possibilités de développement professionnel qu’ils peuvent trouver dans le travail et l’entreprise.

Or, étonnement, le rôle de l’entreprise en la matière n’est guère interrogé par ces réformes qui imputent au travailleur la responsabilité de son employabilité, mais laissent en suspens une question décisive : le salarié a-t-il accès aux moyens pour exercer une telle responsabilité et où peut-il les trouver ? 5Partant de ces hypothèses, l’ouvrage poursuit une double ambition. Conception sociorelationnelle du SEP, orienté projet. L’innovation, la formule incantatoire. Alors que la crise exige des solutions, il est temps de s’interroger sur le sens caché du discours positif du pouvoir, sur le symbole que porte un mot passe-partout : «innovation».

Qu’est-ce à dire ? Comment un processus lent et complexe, résultant pour une bonne part de la recherche fondamentale, et donc du hasard, de l’expérimentation et de l’incertitude, peut-il être élevé au rang de principe général de gouvernance ? L’audace peut-elle être commandée en haut lieu ? Cette volonté d’innovation semble bien correspondre à quelque chose comme une injonction paradoxale, telle que définie par le psychologue Gregory Bateson, de l’école de Palo Alto, dans sa théorie de la schizophrénie : «Le paradoxe est un modèle de communication qui mène à la double contrainte.» Exemples : «sois spontané», «sois grand, mon petit» ou… soyons innovants. A l’ère postmoderne, le moteur de l’innovation technologique est la recherche fondamentale. Hamdi NABLI Politologue, chercheur indépendant. Un bilan des recherches sur la participation du public en démocratie : beaucoup de bruit pour rien ?

Notes Le dossier de ce premier numéro de la revue Participations reprend les huit contributions présentées lors de deux journées du Congrès du Groupement d’intérêt scientifique « Participation du public, décision, démocratie participative » intitulé « Participation du public et démocratie participative : état des savoirs et chantiers de recherche », qui s’est tenu du 18 au 21 octobre 2011, à Paris. La locution est employée pour l’une de ses toutes premières fois dans le Manifeste des Étudiants pour une Société Démocratique (le SDS) de Port Huron en 1962. Sur cette histoire, cf. Sintomer Y., « Démocratie participative, démocratie délibérative : l’histoire contrastée de deux catégories émergentes », in Bacqué M. H. et Sintomer Y., La démocratie participative. Histoire et généalogie, Paris, La Découverte, 2011, p. 115. Arnstein S., « A Ladder of Citizen Participation », Journal of the American Institute of Planners, 35 (4), 1969, p. 216-224. C. C. Nous rejoignons ici les remarques de M.

Cf. Une société de l'incertitude. La rhétorique de la crise empêche de saisir les recompositions à l'œuvre au sein de la société française. En filigrane des mutations contemporaines, on peut pourtant saisir le modèle d'une société incertaine, prise entre la généralisation d'un principe d'autonomie et une demande de sécurité accrue. Il est devenu banal de le constater : la société française a connu de profonds changements au cours de ces vingt dernières années.

Elle manifeste pourtant bien des difficultés à penser ses propres transformations autrement que par l'actualisation de ses défections. D'où ce paradoxe : interpréter dans leur globalité les mutations sociologiques et politiques qui travaillent la France contemporaine n'a jamais semblé aussi délicat, voire périlleux.

C'est ce paradoxe que nous voudrions contribuer à dénouer en mettant l'accent sur l'incertitude comme forme sociale et enjeu stratégique. Ce que la crise nous cache De ce point de vue, deux lignes de transformation se conjuguent. . [1] J. . [2] F. . [5] C. Téléologie. La norme dialogique. Propositions critiques en philosophie du discours. Nous considérerons […] d’un côté, que la critique ne prend sens que par rapport à l’ordre qu’elle met en crise, mais aussi, de l’autre, que les dispositifs qui assurent quelque chose comme le maintien d’un ordre ne prennent tout leur sens que si l’on voit qu’ils sont adossés à la menace constante, quoique inégale selon les époques et les sociétés, que représente la possibilité de la critique (Luc Boltanski, De la critique.

Précis de sociologie de l’émancipation) 1 Je remercie vivement E. Danblon et A. Rabatel qui m’ont, par leur lecture aussi rigoureuse que gén (...) 1La fortune épistémique du dialogisme est un phénomène remarquable de l’histoire des idées discursives dans le dernier tiers du 20e siècle. 2Je voudrais réfléchir ici, dans une perspective historique et épistémologique, aux implications philosophiques d’une telle conception mise au centre du fonctionnement des discours. 5 Ce terme de Spivak, issu de Foucault et désormais courant dans les cultural studies désigne la man (...)

Concepts de la philosophie des connaissances. Thème. La science Pour obtenir une vue générale des différentes pages composant ce dossier, consulter le Plan Grands concepts de la philosophie des connaissances A propos de PSEUDO-SCIENCES ET POSTMODERNISME - ADVERSAIRES OU COMPAGNONS DE ROUTE ? - Alan Sokal - Odile Jacob 2005, préface de Jean Bricmont Ce livre, dont nous partageons globalement les positions épistémiques (relatives au statut de la connaissance) incite à préciser quelques uns des concepts que nous avons plusieurs fois évoqués dans les numéros de cette revue consacrés au sujet.

Les questions de terminologie sont toujours difficiles, car elles génèrent les malentendus. Déterminisme : s’emploie pour dire que le monde n’est pas aléatoire mais obéit à des lois. Ceci admis, le déterminisme ne peut être évoqué que dans les domaines où des lois scientifiques complètes ont pu être formulées. Les théories de la reconnaissance. A l'agonie, les sciences sociales contre-attaquent.

Bernard Flavien