Une lecture critique du projet de loi sur les violences faites aux femmes. Le projet de loi sur les violences faites aux femmes est à la Chambre des conseillers.
Après dix ans d'attente, son adoption définitive n'est qu'une question de temps. Oui, mais pour quel résultat? On attendait une loi spécifique, un code de lutte contre les violences faites aux femmes, mais au final, nous nous contenterons d'un greffon, complétant et modifiant des lois existantes, en l'occurrence, le code pénal et le code de procédure pénale. Les renvois aux articles complétés ou modifiés sont nombreux. Cela rend difficile la lecture du projet, le lecteur étant constamment balloté entre celui-ci, le code pénal et le code de procédure pénale.
Seuls points de rupture avec ces deux textes: le premier article du projet, qui définit, d'une part, les formes de violences et donc le champ d'application de la loi, et d'autre part, les articles portant création des comités (national, régionaux et locaux) de prise en charge des femmes victimes de violences. Ceci pour la forme. Crimes d'honneur : vers la fin de l’impunité au Pakistan. «En tant que femmes, nous devons nous défendre, nous défendre les unes les autres.
Nous tenir droites. Je me battrai pour cela. Rien ne m’arrêtera», écrivait sur Twitter et Facebook le 14 juillet Qandeel Baloch. Les femmes en Inde : une position sociale fragile, dans une société en transition. Tenter de décrire la position sociale des femmes dans un pays aussi vaste et composite que l'Inde, où les évolutions sont toujours complexes, relève du défi.
Une telle tentative soulève aussi de nombreux paradoxes. Comment expliquer l'infériorité sociale persistante des femmes dans un pays qui a connu plusieurs dirigeantes féminines ? Pourquoi la modernité n'a-t-elle pas réduit les discriminations à la naissance et les a même amplifiées ? Violences sexuelles en Inde: ce qu'il faut savoir sur cette épidémie. INDE - Des unités de la police anti-émeute étaient déployées samedi 7 mars dans la ville indienne de Dimapur (nord-est), où le couvre-feu restait en vigueur deux jours après le lynchage d'un homme soupçonné de viol.
Le suspect de 35 ans, accusé de plusieurs viols sur une femme et arrêté fin février, a été lynché par la foule qui l'avait sorti de sa prison. Présenté initialement comme un immigré du Bangladesh, l'homme, en réalité originaire de l'Etat indien de l'Assam et parlant bengali, a été battu à mort avant d'être pendu à une tour d'horloge. Cette affaire, une parmi d'autres, survient deux ans seulement après le viol en réunion d’une étudiante en médecine dans un bus de la capitale, et rappelle à nouveau le nombre alarmant d’agressions dont sont victimes les Indiennes.
L’édition japonaise du Huffington Post a demandé à Rituparna Chatterjee, rédacteur en chef adjoint du Huffington Post indien, de nous parler de l’épidémie de violences sexuelles qui touche son pays. Contactez-nous. Centres Psycho-sociaux et d’Éducation à la Santé - Afghanistan Libre. Les Centres Psycho-sociaux et d’Education à la Santé ont pour attribution de prendre en considération les détresses sociales, économiques et psychologiques des femmes afghanes.
Cela se traduit par : l’éducation à la santé : – Education à la santé personnelle et familiale : Savoir ce que l’on entend par santé, comment se maintenir en bonne santé, les démarches nécessaires pour se soigner. Pakistan: Femmes enfermées dans la tradition — Amnesty International Suisse. «Dans ce pays, les femmes pourraient arriver à tout, si seulement elle le voulaient», disait il y a quelque temps amna saleem, une entrepreneuse pakistanaise prospère, dans une interview donnée au magazine allemand Spiegel. effectivement, au Pakistan, on trouve des femmes avocates, entrepreneuses, enseignantes, universitaires et 33% des sièges au Parlement national sont réservés aux femmes. il existe même un Ministère pour le développement des femmes. au niveau législatif, des progrès sont régulièrement effectués: le Parlement a par exemple adopté en 2010 une loi contre le harcèlement au travail. tout serait-il donc rose pour les femmes pakistanaises ?
«il existe des histoires de réussite. Mais la grande majorité des femmes pakistanaises vivent dans un tout autre monde», explique susanne Preisig, spécialiste du Pakistan et ancienne experte-pays auprès d’amnesty international. ainsi, en géné Assassinée pour l’«honneur» Brûlées dans leur chair : le supplice des femmes pakistanaises - The Paris Globalist. Ndeye Aminata dia (N.A.A.D) Najaf Sultana a 5 ans.
Dans son Lahore natal, ville pakistanaise située sur les rives de la rivière Ravi, la petite fille dort. Tranquillement, son sommeil est bercé par les échos mélodieux des eaux riveraines. Au Pakistan, la chaleur du mois de juillet bat son plein et frappe de plein fouet les populations. Mais rien ne semble perturber le sommeil de la jeune Najaf, qui, entre deux respirations se retourne de temps à autre. « La Saison des femmes », quatre visages de l’émancipation en Inde - La Croix. Ce film détourne certains codes de Bollywood pour raconter l’émancipation de quatre Indiennes dans un petit village du Gujarat.
Avec plus ou moins de finesse, mais une incontestable audace. de Leena Yadav film indien – 1 h 56 Dans un petit village de l’État du Gujarat, à l’ouest de l’Inde, trois femmes ne supportent les épreuves de leur quotidien que par la force de leur amitié. « La Saison des femmes » dénonce la condition féminine en Inde. Le dernier film à voir tourné par une femme, traitant des femmes avec des femmes et pour les femmes s’intitule La Saison des femmes.
Il a été réalisé par Leena Yudav et vient de sortir en salles le 20 avril. Et même s’il s’agit d’un film indien, on est très loin d’un Bollywood… non, on est plutôt dans un cinéma plus indépendant, tout en authenticité. À lire aussi : J’ai testé pour vous… le syndrome de l’Inde, ou le pétage de câble à l’étranger De quoi ça parle ? L'Inde déconseille aux touristes étrangères de porter des jupes. «Ne portez pas de jupes ou de robes trop courtes, ne vous aventurez pas seule la nuit dans les petites villes.»
Voici le message adressé dimanche par le ministre du Tourisme indien, Mahesh Sharma, à l’attention des étrangères en vacances. Lors de cette conférence de presse, il a évoqué la sécurité des touristes dans la ville d’Agra au nord de l’Inde, où se situe le Taj Mahal. L’occasion de reparler d’un «kit de bienvenue» distribué dans les aéroports depuis 2015, qui contient des conseils pour les femmes. Inde : les smartphones, nouveaux marqueurs des inégalités homme-femme. Faire un selfie avec ses amis, partager son humeur sur les réseaux sociaux, des usages anodins qui sont loin d'être une évidence pour les femmes en Inde. Souvent pointé du doigt sur la condition féminine, le pays pourrait voir la situation s'aggraver face aux inégalités dans l'accès aux nouvelles technologies.
À l'heure où le gouvernement parie sur le numérique, les femmes sont largement marginalisées à cause du modèle patriarcal. En février dernier, le conseil municipal d'un village situé dans le Gujarat, région natale du premier ministre Narendra Modi, a décidé d'interdire aux adolescentes et aux femmes célibataires l'usage de téléphones portables, selon Reuters. Les élus estimant qu'un tel comportement est aussi "nuisible à la société" que la consommation d'alcool. Plusieurs autres villages des comtés aux alentours ont suivi le mouvement. Les hommes sont 114 millions de plus à détenir un téléphone portable. Les femmes dalits - Inégalités des sexes en Inde. L’appartenance à une caste jugée indésirable et leur sexe féminin rend des millions de femmes dalits particulièrement vulnérables à la discrimination, à la violence, au viol, à la prostitution forcée , ainsi qu' à des formes modernes d’esclavage. « Beaucoup de femmes dalits sont exposées aux pires formes de discrimination », a expliqué Rashida Manjoo, Rapporteuse spéciale de l’ONU sur la violence contre les femmes. « La réalité des femmes et des filles dalits est marquée par l’exclusion et la marginalisation, elle perpétue leur position subordonnée dans la société et accroît leur vulnérabilité au cours des générations. » Les quatre Organisation Non Gouvernementale - International Movement Against All Forms of Discrimination and Racism (IMADR), Human Rights Watch, Minority Rights Group International et le Réseau international de solidarité des Dalits (IDSN) - ont appelé les Etats membres de l’ONU à soutenir les efforts visant à éliminer les discriminations basées sur le sexe et la caste.
IVG : 200 millions de « femmes manquantes » selon l’ONU. Dans le scénario d’un avortement, le foetus n’a aucun droit : il est considéré comme un bout de viande à expulser de l’utérus. La mère ne lui ne donne pas de sépulture, tout est aspiré puis incinéré, ou bien rejeté dans les égouts, après un passage aux toilettes. Mais il y a un cas particulier qui alarme les féministes : lorsque le bébé est avorté parce que c’est une fille. Petit point sur cette contradiction flagrante. L’Inde ouvre le débat sur les avortements sélectifs. En Inde, une ministre propose de rendre obligatoire les tests de détection du sexe des foetus. Elle veut lutter contre les avortements sélectifs, mais sa proposition fait polémique. Rendre obligatoire un test prénatal de détection du sexe. C’est la proposition de la ministre indienne de l’Enfance, Maneka Gandhi. L'Afghanistan s'engage contre les violences faites aux femmes.
L'Etat afghan a lancé jeudi une campagne contre la violence envers les femmes, mobilisant la justice et différents ministères dans un pays toujours considéré comme "l'un des pires endroits sur terre pour naître femme", selon des observateurs étrangers. Sur les huit premiers mois de l'année, plus de 3.700 cas de violences contre les femmes ont été enregistrés dans ce pays, selon le bureau du Procureur, semblant indiquer une hausse par rapport aux 5.000 enregistrés sur l'ensemble de 2015.
La situation des femmes en Inde. Entre un Womanism renouvelé et une servitude acceptée © Linda B, New Delhi 2015 « De tous les maux dont l’homme s’est fait lui-même responsable, aucun n’est aussi dégradant, choquant ou brutal que son abus de la meilleure moitié de l’humanité ; le sexe féminin (pas le sexe faible) » Gandhi 1921. Des femmes cheffes de famille Au 1er février dernier, la Haute Cour de New Delhi, a validé un verdict historique (1) ! En effet, cet organe de juridiction a donné raison à la demande de la fille aînée d’une famille riche, suite au décès de son père (et n’ayant plus de frères ni oncles), de prendre le titre de « cheffe de famille » au détriment de son neveu se considérant comme le mâle vivant le plus âgé de la famille.
Sur Snapchat, des Indiennes brisent l’omerta sur le viol. En Inde, les victimes de viol n’osent généralement pas évoquer leur calvaire ou porter plainte, par peur des représailles ou pour préserver "l’honneur" de leur famille. Afin qu’elles puissent s’exprimer sans crainte, un journaliste indien a recueilli leurs témoignages en utilisant Snapchat, une application mobile leur permettant d’utiliser des filtres pour cacher leurs visages. Pourquoi l'Inde est-elle devenue le "pays du viol" pour les médias occidentaux? Le 16 décembre 2012, une jeune Indienne de 23 ans était victime d’un viol collectif dans un bus à New Delhi. Inde : victime d'un viol collectif, elle est harcelée par des policiers et retire sa plainte - LCI. DOUBLE PEINE - Humiliation supplémentaire pour une femme victime d'un viol collectif au Kerala (sud de l'Inde). Elle accuse les policiers chargés de recueillir sa plainte d'avoir multiplié les questions obscènes et dégradantes.
Un phénomène de plus en plus répandu dans ce pays. Inde : un café au secours des femmes défigurées. «Les insoumises» : ciné-débat à la Halle - 23/11/2016 - ladepeche.fr. En Inde, la ministre des Femmes minimise les affaires de viol - LCI. VERBATIM - La ministre indienne de la Femme, Maneka Gandhi, a affirmé que l'Inde était un pays sûr pour les femmes, alors que les affaires de viol se multiplient ces dernières années. Elle accuse les médias de contribuer à donner une mauvaise image du pays par leur couverture de ces cas de violences sexuelles.