Lee Jefferies' photos capture the pain of homeless people sleeping rough in London. Lee Jefferies, from Manchester, photographs homeless people He spends time with them and gets to know their stories Lee has travelled across Europe and the US to find subjects to photograph By Phoebe Jackson-edwards For Mailonline Published: 13:29 GMT, 21 October 2015 | Updated: 14:36 GMT, 21 October 2015 A photographer has made it his mission to change the way homeless people are perceived with a striking set of portraits.
Lee Jefferies, from Manchester, first struck upon the idea in 2008 after photographing a young woman living on the streets in London. He's since travelled around America and Europe to capture the moving images of homeless people and listen to their stories, which has resulted in a book called Lost Angels released next month. Scroll down for video Lee started taking pictures of homeless people after a chance encounter with a girl on the street. Michelle moved to London from Edinburgh, Lee photographed her on the streets around Leicester Square. Sans-abri et mal-logés. Amorçant le débat sur le logement suite à la distribution par MdM de 400 tentes aux personnes à la rue, le droit au logement, droit fondamental, a connu une avancée majeure en 2007, suite à l’adoption de la loi Dalo (droit au logement opposable) qui fixe aux collectivités publiques une obligation de résultat : donner un toit aux personnes qui n’en ont pas.
Un an après sa mise en œuvre, la France compte encore près de 3,5 millions de personnes non ou très mal logées et la grande majorité des patients vus par MdM France sont sans abri ou demeurent dans des logements précaires. Se mobiliser pour les personnes à la rue Une personne sans-abri à Toulouse © Stéphane Lehr Si le droit au logement, droit fondamental, a connu une avancée en 2007 avec l’adoption de la loi Dalo (droit au logement opposable) ; trois ans après la mise en oeuvre de cette loi, la France compte encore plus de 3,5 millions personnes non ou très mal logées1.
Poursuivre nos actions de soins, de prévention et d’accompagnement. F.N.D.S.A. - Actualités. Dernière mise à jour le 13 octobre 2015 OUVERTURE DU NOUVEAU BRIC A BRAC A LYON 7e / INFORMATIONS ICI. 3 au 18 octobre 2015 : 6e Biennale Hors les normes (BHN) dans près de 40 lieux en Rhône-Alpes.
Comme chaque année, des œuvres réalisées par des passagers du FOYER seront exposées. 17 octobre 2015 : JOURNÉE MONDIALE DU REFUS DE LA MISÈRE. LE FOYER sera présent aux côtés d’ATD Quart-Monde et d’autres associations dans le cadre de la Journée mondiale de la misère, place Carnot LYON 2e, de 10h à 18h. 17 octobre 2015 : LE FOYER s'associe à l'Agence du Don en Nature pour la redistribution de produits de nécessité courante à des associations. 21 octobre 2015 : pas de réunion d'accueil des candidats bénévoles ce jour là au Centre Gabriel ROSSET. Foyer Notre-Dame des Sans-Abri - Accueil. Le nombre de SDF a augmenté de 50% depuis 2001. Le nombre de sans-domicile (1) a augmenté de 50% depuis 2001, atteignant le chiffre de 141 500 personnes, dont 30 000 enfants début 2012.
C’est ce que révèle une étude de l’Insee rendue publique mardi. L'institut de la statistique avait recensé 130 000 SDF lors de sa précédente enquête en 2011. Cette explosion démographique reflète l’impact de la crise économique couplée à la flambée des prix de l'immobilier dans les années 2000. Pour les associations de défense des mal-logés et des sans-abri, réunies hier devant la gare de Lyon pour appeler à la mobilisation des pouvoirs publics, elle illustre aussi l’inefficacité de la gestion saisonnière du problème sans politique sur le long terme.
Près de deux sans-domicile sur cinq sont des femmes d’après l’enquête de l’Insee. Sur les 81 000 adultes sans domicile recensés dans les agglomérations de plus de 20 000 habitants, 53% étaient d’origine étrangère, alors qu’ils n’étaient que 38% en 2001. Guillaume Gendron avec AFP. Réfugiés : "Le décalage entre la générosité soudaine des politiques et leurs actes"
Depuis le début du mois de septembre, les responsables politiques, essentiellement socialistes, revendiquent une « tradition humaniste » pour recevoir des réfugiés.
A Lyon, le maire Gérard Collomb a notamment estimé qu’il y a une « capacité d’accueil suffisante ». Dans la tribune que nous publions, le collectif lyonnais Jamais sans toit, qui s’est fait connaître par ses occupations d’écoles, répond à ces déclarations. Pancarte à l’école Ampère d’Oullins, occupée pendant l’année scolaire 2014/2015. ©DR La problématique de l’accueil des réfugiés n’a pas attendu septembre 2015 et les images médiatisées de tragiques noyades pour devenir une question vive dans les rangs du Collectif Jamais sans toit.