La Smart City: une vitrine technologique pour les municipales. ( mis à jour le 16 avril 2014) La Smart City a beau être à l’origine un concept marketing, décliné pour la première fois en 2004 par IBM, elle masque des enjeux bien réels.
Et serait en prise avec les défis actuels de l’espace urbain selon les entreprises du numérique et certaines collectivités locales qui jouent la carte de la modernité. La Smart City vise à optimiser l’utilisation des réseaux d’énergie (électricité, gaz), des ressources naturelles, des moyens de communication traditionnelle (transports multimodaux) et à gérer les données issues des capteurs électroniques, des échanges entre les habitants et avec l’administration, pour améliorer la qualité de la vie des habitants. Pas moins … Bien entendu, la nature et le périmètre des projets dépendent de la taille des collectivités locales qui les mettent en œuvre. L’administration, y trouve un levier de réduction des coûts, les élus, voient des projets médiatiques susceptibles d’incarner leur passage aux affaires. Nice le pionnier.
La smart city : la ville devient intelligente. Vers des villes numérisées. L'ITIS et des partenaires indépendants se mobilisent pour accompagner les municipalités du Québec dans leur démarche numérique structurante L'Institut technologies de l'information et sociétés de l'Université Laval (ITIS) s'associe à un organisme à but non lucratif et à deux établissements d'enseignement collégiaux voués au transfert d'expertise pour accompagner les municipalités du Québec dans leur développement en tant que «villes intelligentes».
Le Regroupement d'expertises vers des communautés intelligentes a fait l'objet d'un lancement virtuel, le mardi 20 janvier. «Le Regroupement vise à mettre en réseau une partie de l'expertise disponible à travers le Québec, explique le tout nouveau directeur de l'ITIS, Paul Fortier. L'intégration du numérique vient résoudre plusieurs problèmes liés notamment à la croissance de la sphère urbaine. EU - Smart City EU. La ville intelligente, utopie humaine ou mirage techno. En juillet 2012, la Commission européenne publiait une nouvelle communication sur la ville intelligente, elle y promeut un partenariat ayant pour but de rassembler les ressources et de soutenir des projets dans le domaine de l’énergie, des transports et des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans les zones urbaines |1|.
De son côté, IBM consacre un site Internet aux villes intelligentes au travers duquel elle propose « d’apporter une croissance et une prospérité durables par une utilisation stratégique de la technologie » |2|. Ces deux exemples montrent que la ville intelligente est bien en tête des agendas des autorités nationales, européennes et des multinationales. Mais qu’est-ce qu’une ville intelligente ? Les nouvelles applications technologiques sont séduisantes de prime abord mais quels impacts peuvent-elles avoir sur le citadin, ces impacts sont-ils tous positifs ou certains engendrent-ils des risques ? La ville intelligente est-elle une utopie ? A quoi ressemblera la smart city de demain ? - 15 décembre 2014. "La ville intelligente doit avant tout être connectée, mais également durable et innovante".
Telle est la représentation de la smart city du directeur de la marque Citeos du groupe Vinci, Xavier Albouy. Vinci Energies, spécialiste dans l'éclairage public et les équipements urbains, s'est en réalité lancée dans le business de la ville intelligente en créant sa marque Citeos, qui compte aujourd'hui un réseau international de 70 entreprises. "Notre marque veut construire la ville intelligente de demain et se fixe un double objectif de réduction des coûts et d'amélioration de la qualité de vie des citoyens" explique Xavier Albouy. Pour cela, la marque se concentre sur son cœur de métier et tente de révolutionner l'éclairage public en démocratisant l'utilisation de sa dernière pépite, la LED dimmable. A Chartres, un réseau électrique original Mais la véritable innovation de la marque est d'être parvenue à imaginer un réseau d'énergie qui peut servir de réseau de communication.
Montréal veut devenir la ville la plus intelligente au monde en 2017. En 2017, Montréal sera la ville la plus intelligente du monde.
Tel est l’objectif visé par Harout Chitilian, responsable du dossier au comité exécutif de la Ville, qui a annoncé mercredi la création du Bureau de la Ville intelligente et numérique promis en campagne électorale par Denis Coderre. Le comité exécutif a donné son aval à l’octroi d’un budget de 400 000 $ pour la mise en place du bureau, qui aura pour mission, au cours des prochains mois, d’élaborer une stratégie pour engager Montréal dans une révolution numérique.
Quatre axes ont été déterminés, dont la libération massive de données, le développement de plateformes Web, le déploiement d’infrastructures de réseaux sans fil et le développement de systèmes intelligents de gestion dans des domaines comme le transport ou l’environnement. Le bureau comptera un chef de service — qu’il faudra recruter — et trois employés. Pour l’instant, M.