Comprendre le complotisme : un dossier pédagogique et interactif. Pourquoi croit-on aux théories du complot ?
Quelles sont les bonnes questions à se poser ? Le réseau québécois RÉCIT tente de répondre à ces questions dans un dossier pédagogique en ligne, recommandé par Eduscol EMI. Un webinaire, des articles et des vidéos y sont rassemblés. Comprendre les mécanismes du complotisme Comme introduction, une vidéo interactive aux allures de film policier retrace l’histoire des théories conspirationnistes, et décrypte les causes de leur succès. Dans la vidéo, il est aussi question de distinguer les différents types de théories du complot et d’identifier les mécanismes qui conduisent à y adhérer : besoin de donner du sens aux événements, sentiment d’appartenance, biais cognitifs… Surtout, il est rappelé que les jeunes sont aujourd’hui particulièrement touchés par le phénomène, et qu’il est essentiel de leur donner les bons outils pour comprendre le monde. Le rôle de l’école Image de homepage : © Getty. Les résultats de recherche Google, de 1998 à aujourd’hui.
Google teste constamment des changements auprès de petits groupes d’utilisateurs, avant que les mises à jour ne soient révélées à tous les internautes.
Ces dernières années, quelques personnes ont donc déjà eu un aperçu des fonctionnalités suivantes : Une présentation des résultats de recherche Google en deux colonnesUne recherche intégrée dans les SERPDes annonces payées dans les résultats de recherche localeUne extension du Knowledge Graph sous forme d’un calendrier Tous ces exemples ont été révisés ou corrigés après les tests. Ce sont principalement des couleurs et des tailles de police des SERP Google qui ont été changés. Les changements des résultats de recherche Google ont bien entendu des répercussions sur l‘optimisation du référencement par les moteurs de recherche. Le géant du moteur de recherche teste actuellement des modifications visuelles et structurelles. Musette Numérique de l'Actif - livrable final.
CEGOS - Réussissez vos actions de formation. Comprendre pourquoi un résultat Google ne contient pas toujours la requête demandée. Sur une requête donnée, Google renvoie un certain nombre de "liens bleus" dans ses résultats de recherche.
Et, lorsqu'on clique sur un de ces liens, on s'attend la plupart du temps à ce que la page en question contienne les mots clés tapés sur le moteur. Or, ce n'est pas toujours le cas. Parfois même, la page en question ne contient aucun des termes recherchés, ce qui peut paraître étrange. Il existe pourtant plusieurs façons d'expliquer ce phénomène. Dans une nouvelle vidéo didactique, Olivier Andrieu apporte quelques explications. Première hypothèse : Entre le moment où Google a indexé la page et l'instant où l'internaute lance sa recherche, il est fort possible que le contenu ait quelque peu changé. Deuxième hypothèse : le mot-clé demandé ne se trouve pas dans la page mais uniquement dans un lien. Par ailleurs, Google peut aussi avoir exploré la page en question et a ainsi trouvé des termes sémantiquement proches. L'œuvre au tamis de l'Internet. Lettre TIC'Édu thématique N°05 Les (biens) communs de la connaissance et de l'information — Enseigner avec le numérique.
Sommaire 1.
Préambule Si la notion de biens communs n'est pas nouvelle(1), elle opère un retour en force en ce début de siècle, popularisée en partie par les travaux de l'Américaine Elinor Ostrom(2), récompensés par l'attribution du Nobel d'économie en 2009. Depuis une trentaine d'années, numérique, écologie et (alter) mondialisation obligent, sa définition s'est élargie, ses usages ont pris une ampleur conséquente, notamment dans les domaines de l’information et des savoirs. L’intérêt porté aux biens communs de la connaissance et aux biens communs informationnels(3) se concrétise par leur présence dans nombre de rapports et publications parus cette année.
. (1) Certains auteurs situent son origine avec le travail dans les champs de l'Europe du 12ème siècle. (2) Hervé Le Crosnier, Le prix « Nobel » à Elinor Ostrom : une bonne nouvelle pour la théorie des biens communs . (3) L’information est aussi considéré par certains chercheurs comme un bien commun de la connaissance. America's internet is incredibly free compared to most countries.