Analyses Opinion & Marketing IFOP. Les modèles d’affaires du web 2.0. Les sites web 2.0 offrent toujours un accès gratuit à leurs services.
Leur économie repose donc sur la capacité à valoriser les activités et les échanges qui se développent sur le site de manière à générer des revenus autour de ce service gratuit. Jean-Samuel Beuscart, Christophe Dacheux et Kevin Mellet, chercheurs au laboratoire Sense d’Orange Labs ont cherché à identifier les différentes modalités de monétisation de la présence et de l’activité des utilisateurs. L’occasion, à travers la modularité de ces différentes combinaisons, de mieux identifier et comprendre les modèles d’affaire du web 2.0. On peut identifier quatre modalités distinctes de monétisation de la présence et de l’activité des utilisateurs. Pour la plus répandue d’entre elles, la publicité, on peut en outre distinguer quatre façons très différentes de faire de la réclame en ligne, dont deux sont spécifiques aux univers du Web 2.0. 1. Où en est la consommation média sur mobile et tablettes ? : 27% de la consommation média réalisée sur mobile. Les français utilisateurs d'Internet mobile consomment plus de 7 heures de médias par jour.
Après avoir détrôné la TV, le PC ne représente finalement que le second poste de consommation média avec 113 minutes par jour : c'est en effet le mobile qui arrive en tête puisqu'il représente 27% de la consommation média quotidienne des français, avec 116 minutes. A noter que 51% des français pratiquent le multi-tasking devant leur poste de télévision. Révolutionner la presse: la "Google Newsroom" Les périodes un peu agitées sont des périodes très actives où l'on multiplie les idées.
J'ai eu l'occasion de réfléchir, à mes heures perdues, à un concept de rédaction recomposée autour du web et du print, et comme j'ai trouvé cette réflexion passionnante, j'ai décidé de partager son résultat avec vous et d'ouvrir un échange. Cela fait longtemps que l'on parle et propose des modèles de rédaction intégrée (le modèle le plus connu est celui proposé par l'Ifra). Les réseaux sociaux, médias de demain ?
"Facebook, méta-média de demain ?
", s'était-on demandé ici-bas il y a quelques temps. C'est fort possible, laisse entendre la dernière étude du précieux Pew Internet Research Center, qui s'est penché sur les habitudes d'information de 2259 Américains de plus de 18 ans. Sites de presse magazine: La vitesse contre la qualité – Media T. Aujourd’hui, la plupart des groupes de presse en France sont engagés dans une réflexion —et engagent de profondes réformes— sur l’organisation de leurs rédactions.
Celles-ci doivent-elles être « bimédia », la rédaction « papier » doit-elle alimenter le site web et dans ce cas dans quelles conditions; qui doit avoir le final cut? Est-ce la rédaction en chef du papier, celle du web, ou encore une rédaction en chef arbitre? Quelle place doit avoir le secrétariat de rédaction? Etc. Autant de questions étudiées dans une enquête inédite réalisée par la Columbia Journalism Review, et publiée en mars 2010. 7 études de cas en data journalism et visualisation de données « Beaucoup de veille en ce moment, et peu d’écrit.
Voici quand même quelques études de cas à vous faire partager. Depuis un an que je piste les exemples de data journalism, je constate que les initiatives françaises sont bien rachitiques et que j’atterris le plus souvent sur des sites anglo-saxons. L'explosion des médias sur le net. A voir, cette animation, publiée par The Economist.
Elle montre ce qu'on pourrait appeler l'explosion des médias sur Internet. J'ai retenu trois instantanés de cette vidéo. La publication d'images et de contenus en tout genre est en explosion. L'accélération est très forte. Les "anciens médias" voient leurs recettes publicitaires diminuer. La publicité devrait se déplacer vers Internet et les contenus mobiles. Réflexion sur l’avenir des journalistes et des médias. Google's vision for the future of journalism. Google's search algorithm works on a simple principle: on the web, sites link to other authoritative sources, and the more sites link to something the more authoritative they think it is.
That's great if you're dealing with sites that actually follow that rule – as the vast majority do. Les journalistes vont-ils devenir des marques grâce à Internet ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Xavier Ternisien Que se passerait-il si les 50 meilleurs journalistes du New York Times quittaient le quotidien de la 8e Avenue et créaient leur propre entreprise de presse, sous la forme d'un site Internet ?
C'est Michael Arrington, fondateur du blog américain TechCrunch, qui a posé la question dans un billet du 30 juillet. "Le budget pour réunir une équipe bien payée composée des meilleurs journalistes de la planète s'élèverait à 25 millions de dollars par an, estime-t-il. Combien de temps faudra-t-il à ce site pour atteindre les 16 millions de visiteurs uniques et les 124 millions de pages vues du site du New York Times ? 70 Percent of Journalists Use Social Networks to Assist Reportin. According to a new survey from Middleberg Communications and the Society for New Communications Research (SNCR), as reported in PRWeek , 70 percent of journalists said they use social networks to assist in reporting (compared to 41 percent last year).
This is a huge spike in one year, though it shouldn’t surprise any of us with all the lists of journalists using Twitter and other social networks. The survey also found that 69 percent of respondents go to company websites to assist in their reporting, while 66 percent use blogs, 51 percent use Wikipedia (wow), 48 percent go to online videos (double wow), and 47 percent use Twitter and other microblogging services (would have guessed higher on this one).
A big part of this shift has to revolve around journalists having less help to do their jobs, while being required to produce more content across various formats in near real-time. When it comes to Twitter, 57 percent of journalists found this social medium to be credible. Quel est l'impact des pages Facebook des médias ? La presse se consomme autant en ligne que sur papier. La presse papier a encore de l’avenir, si l’on en croît les résultats de l’Observatoire international des usages et des interactions médias de Deloitte, qui s’intéresse pour la 2ème fois à la France. Selon cette enquête, dont les résultats ont été présentés le 3 mai, près d’un Français sur deux préfère le papier aux supports numériques.