Alliance franco-indienne (Amérique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Carte montrant, vers 1750, les possessions britanniques (en rouge), de la France (en bleu), et de l'Espagne (brun) sur les territoires contemporains des États-Unis et du Canada. La France avait depuis longtemps une présence en Amérique du Nord, qui a débuté par la création de la Nouvelle-France en 1534. L'acculturation et les conversions ont été promues, notamment à travers les activités des missions jésuites en Amérique du Nord. Selon l'historien du XIXe siècle Francis Parkman : Des Amérindiens en France : ils réclament la grâce pour Leonard Peltier. Leonard Peltier - Nelson Mandela, vous connaissez ?
– Evidemment ! – Et Leonard Peltier, vous connaissez ? – J’avoue que non. – Mandela était de quelle nationalité ? – Sud-Africaine. – Peltier appartient au peuple Anishinaabe, ce qui signifie “Le peuple des origines”. – Je ne connais pas, et quel est le lien ? Le message prémonitoire des Indiens d'Amérique. "Nous avons toujours eu beaucoup; nos enfants n'ont jamais pleuré de faim, notre peuple n'a jamais manqué de rien...
Les rapides de Rock River nous fournissaient un excellent poisson, et la terre très fertile a toujours porté de bonnes récoltes de maïs, de haricots, ce citrouilles, de courges... Ici était notre village depuis plus de 100 ans pendant lesquels nous avons tenu la vallée sans qu'elle nous fût jamais disputée. Si un prophète était venu à notre village en ce temps-là nous prédire ce qui allait advenir, et ce qui est advenu, personne dans le village ne l'aurait cru. " Black Hawk, chef indien "Nous aimons la tranquillité; nous laissons la souris jouer en paix; quand les bois frémissent sous le vent, nous n'avons pas peur.
" Jerry Dunson Deborah Freed. Earth…Mother of us all. Guide sur la spiritualité chez les Amérindiens. Le présent guide a pour but d'aider les policiers à mieux connaître les cérémonies et les objets sacrés des nombreux peuples autochtones au Canada.
À noter que les objets cérémoniels représentés dans ce guide ont été offerts à l'origine par un ancien à des fins éducatives. La G.R.C. est sensible au fait que de nombreux anciens s'opposent à la reproduction technique d'éléments spirituels de cette façon. Elle remercie donc sincèrement le porteur de ces objets pour avoir rendu possible ce projet.
Les diverses croyances religieuses ainsi que les cérémonies et les objets sacrés qui sont dépeints ici peuvent varier d'une tribu à l'autre au Canada. Le lecteur est invité à s'adresser aux anciens de la communauté locale, qui pourront le renseigner sur les cérémonies traditionnelles et lui apprendre la signification des divers objets du culte. Le cercle de vie Pipe sacrée, sacs-médecine et rouleau de tabac. La parole des Amérindiens du Canada contraints à une acculturation se libère. Loi sur les Indiens. Les Indiens du Canada : Respectez notre existence ou attendez-vous à de la résistance. Au Canada, la politique d'assimilation des Amérindiens qualifiée de «génocide culturel» La Commission vérité et réconciliation a conclu dans un rapport que le gouvernement canadien et les autorités religieuses avaient mis en place, en plaçant les enfants amérindiens dans des «pensionnats autochtones», une politique de «génocide culturel».
Après sept ans d'enquête au Canada, la Commission de vérité et de réconciliciation a conclu dans un rapport que le gouvernement canadien et les autorités religieuses avaient mis en place une politique de «génocide culturel» envers les populations autochtones. Les auteurs du rapport ont recueilli les témoignages de plus de 7.000 personnes, dont de nombreux anciens élèves des «pensionnats autochtones». Près de 150.000 enfants des Premières nations avaient été forcés à étudier dans ces écoles de la fin du XIXe siècle jusqu'aux années 1970, rappelle le Guardian.
Pour Murray Sinclair, le président de la Commission, «l'expérience des pensionnats est un des chapitres les plus noirs et les plus douloureux de notre histoire collective». Au Canada, la politique d'assimilation des Amérindiens qualifiée de «génocide culturel» Sans titre. A propos Le but est de réaliser un ouvrage d'art sur mon immersion dans les réserves amérindiennes pour rendre compte, via ma peinture, de la perte de l'identité amérindienne.
Ouvrage à tirage limité au nombre exacte des souscriptions, une fois les 150 exemplaires prévendus. Ce livre n'est disponible qu'en souscription. Seules les personnes l'ayant pré-commandé pourront l'avoir, il n'est possible de l'acheter qu'ici et maintenant. Camping à la ferme, tipis indiens à Gavarnie Gèdre, bergerie - location camping hautes-pyrénées france. Les plus beaux prénoms amérindiens pour filles et garçons. Collections amérindiennes de Nouvelle-France. Peau peinte représentant l’oiseau-tonnerre (71.1878.32.134) © musée du quai Branly photo Patrick Gries des parcours mouvementés Rapportés en France par des missionnaires, gouverneurs, marins ou militaires, ces objets sont offerts aux Rois de France ou rassemblés par des aristocrates au sein de ce que l’on appelait les Cabinets de curiosités, microcosmes destinés à réunir des spécimens d'objets "étranges" et exotiques provenant des continents nouvellements découverts et ancêtres de nos musées.
Ces collections sont conservées au « cabinet des curiosités » royal dès le XVIe siècle, ou, transféré un peu plus tard, au Jardin des Plantes créé par Louis XIII en 1626. On en trouve également chez M. de Fayolle à Versailles, acquis par le marquis de Sérent pour l'éducation des enfants du comte d'Artois, frère du roi Louis XVI et futur Charles X. Montpellier : un maître de cérémonie amérindien. Tourisme Autochtone Québec Art et culture - Tourisme Autochtone Québec.
Les Amérindiens du Canada et du Québec. L'arrivée des Amérindiens en Amérique remonte à 12 000 ans environ, mais de récentes découvertes archéologiques feraient remonter les premières migrations à 40 000 ans.
Venant de Sibérie, ils auraient traversé le détroit de Béring, plusieurs fois à sec au cours de la dernière grande glaciation, puis peuplé le continent américain. Ils tiraient leur subsistance de la chasse et de la cueillette, des activités qui exigent l'accès à un vaste territoire. Attrape reves. Brochure lecon plume. Étudiants indiens apprennent la langue du Lakota - St. Joseph du Dakota. À l’école Saint-Joseph-du-Dakota, nous le savons bien : une culture est vouée à disparaître si elle ne possède plus de langue pour s’exprimer.
Préserver et promouvoir la langue des Sioux lakotas est une démarche capitale pour tous les enfants amérindiens. À l’école Saint-Joseph, nous participons activement à l’éducation et au développement de nos élèves lakotas en leur enseignant leur langue. Les jeunes Sioux lakota qui fréquentent l’école Saint-Joseph apprennent ici leur langue maternelle et leurs traditions. Partager cet enseignement sert à préserver et à promouvoir sur la planète cette richesse culturelle et donne aux jeunes Amérindiens l’espoir d’un avenir meilleur. Depuis plus de 85 ans, l’école St. Ces tribus qui ont tenu le choc. Le fait d’entrer en contact avec le monde extérieur condamne-t-il forcément une tribu à perdre sa culture ?
Ce n’est pas toujours le cas. L’exemple des Rikbaktsas du Mato Grosso. L’âme guerrière des Rikbaktsas reste éveillée et affronte des forces qui se trouvent au-delà des limites des forêts. Bien qu’ils aient perdu depuis longtemps leur autonomie et qu’ils soient très exposés au contact des Blancs, les Rikbaktsas ont gardé intacte leur identité ethnique. Ils sont parvenus à rester unis et à conserver un profond sentiment d’identité.
CANADA. Coup d'Etat chez les Mohawks du Québec. Incendie criminel, barrages routiers et prise en otages de policiers : une poignée d’Iroquois Mohawks de la réserve de Kanesatake, à 50 km à l’ouest de Montréal, ont déterré la hache de guerre le 12 janvier, lorsque leur grand chef, James Gabriel, a décidé de combattre la lucrative contrebande de cigarettes et de cannabis qui gangrène la communauté. Cette histoire a fait la une de tous les journaux du Québec. Depuis le milieu des années 90, une cinquantaine des 1 200 Amérindiens de Kanesatake profitent du statut spécial des territoires autochtones canadiens pour en faire un formidable paradis pour la contrebande de cigarettes et la culture illicite de marijuana.
Les médias [...] CANADA. Une réserve indienne menacée par l'eau contaminée. La province de l’Ontario a déclaré l’état d’urgence, le 25 octobre, afin d’évacuer une réserve indienne frappée par la contamination de l’eau potable, rapporte le quotidien de référence canadien The Globe and Mail. Près de 60 % des membres de la petite communauté Cree de Kashechewan, située au nord de la province et que l’on ne peut atteindre que par avion, ont besoin de soins médicaux, selon le ministre ontarien des Ressources naturelles, David Ramsay. “L’ordre d’évacuation marque un retour des autorités ontariennes sur leurs positions initiales”, signale le journal. La veille, le Premier ministre de la province la plus riche du Canada, Dalton McGuinty, avait jugé la situation “rien de moins que déplorable”, mais en reportant sur Ottawa la responsabilité d’agir. Vive les renaissances indiennes ! Enfin de bonnes nouvelles à propos des Indiens.
On avait coutume en effet de se désoler depuis des décennies sur le triste sort des tribus d’Amazonie, sur l’acculturation des peuples amérindiens de l’Amérique du Nord, sur l’exclusion politique des Indiens des Andes, etc. Mais, ces dernières années, du nord au sud du continent, il y a du mieux. Pour trois raisons assez différentes : d’abord, à cause de l’action de Bill Clinton et de la vague de “political correctness” au nord du continent ; ensuite, à cause des nouvelles technologies, Internet, téléphones satellitaires, etc., qui décloisonnent les ethnies et permettent des échanges d’informations, militantes ou culturelles ( [...]
Article réservé aux abonnés. CHANGER D’APPARTENANCE ETHNIQUE. Ça vous dirait d’être indien ? CANADA. Les aigles plumés par les pow-wows. Depuis une trentaine d’années, la vogue des pow-wows encourage le marché noir des plumes d’aigle. Au grand dam des défenseurs de la nature, écrit The Globe and Mail. L’enquête a des airs de roman d’espionnage. Un policier infiltré a passé un an à gagner la confiance de la propriétaire d’un mont-de-piété de la province de la Saskatchewan (Canada). Celle-ci a fini par lui proposer un produit de contrebande précieux et étonnant : des plumes. Accusée en octobre dernier de trafic d’espèces sauvages, Linda Bomak, propriétaire de Linda’s Pawn Used Furniture and Collectibles, à North Battleford, a plaidé coupable et été condamnée à une amende de 25 000 dollars canadiens [16 500 euros]. “Une nouvelle demande colossale de costumes a fait son apparition, qui nourrit à son tour la demande en plumes d’aigle royal, mais aussi, désormais, de pygargue à tête blanche”, précise David Hancock, un chercheur de la région de North Vancouver auteur de plusieurs ouvrages sur les rapaces.
CONTROVERSE. Les “Redskins” doivent-ils changer de nom ? "Squaw", politiquement incorrect. CANADA. Des excuses, et après. Le Premier ministre du Canada, Stephen Harper, a présenté des excuses officielles aux Amérindiens le 11 juin. Un repentir certes nécessaire mais encore insuffisant, estime le principal quotidien québécois. CANADA. Les Indiens d'Amérique avaient-ils (aussi) des esclaves.
CANADA. La jeunesse indienne mal en point. Grippe A, mortalité infantile, suicide… les jeunes Amérindiens connaissent de nombreux maux. CANADA. Francophones ? Oui, mais Indiens aussi. CONTROVERSE. Faut-il soutenir les Amérindiens du Canada. Depuis plusieurs semaines, un mouvement national de mécontentement, Idle No More (Fini l’apathie), se développe chez les peuples autochtones. Parmi leurs revendications : la préservation de l’environnement et leurs propres conditions de vie.
OUI – Leurs inquiétudes sont légitimes Stephen Hume — The Vancouver Sun (extraits) Vancouver L’éparpillement des objectifs et l’apparente incohérence stratégique du mouvement Idle No More divisent les chefs de l’Assemblée des Premières Nations et laissent perplexes les gouvernements en raison de sa rhétorique parfois belliqueuse mais regretter l’absence d’objectifs clairement définis est parfaitement hors sujet.Ce mouvement est indissociable de l’opposition viscérale à la construction d’un pipeline à travers les vastes étendues sauvages du nord de la Colombie-Britannique.
CONTROVERSE. Faut-il soutenir les Amérindiens du Canada. CANADA. Francophones ? Oui, mais Indiens aussi. CANADA. La jeunesse indienne mal en point. CANADA. Les Indiens d'Amérique avaient-ils (aussi) des esclaves. ANTHROPOLOGIE. Et de la terre naquit la langue. CANADA. La fronde des Amérindiens contre "l'enfer sur terre" L’industrie canadienne des sables bitumineux a l’ambition d’accélérer la production mais ses projets d’infrastructures se heurtent à un obstacle : les populations indiennes qui habitent les régions reculées où se trouvent les gisements. Geraldine Thomas vit en Colombie-Britannique et, comme d’autres Amérindiens de sa province, elle se dit prête à donner sa vie pour “sauver les générations futures de l’enfer sur terre”. Comme elle, 160 groupes autochtones de Colombie-Britannique se battent contre le projet d’oléoduc Enbridge qui devrait acheminer le pétrole des sables bitumineux d’Alberta jusqu’à Kitimat, dans le nord de la province, afin d’exporter l’or noir vers l’Asie.
“Si l’eau est contaminée par une fuite, explique Geraldine au journaliste de Radio-Canada, “c’est toute une manière de vivre des autochtones qui va disparaître.” La résistance des Amérindiens au secteur pétrolier canadien ne se manifeste pas seulement en Colombie-Britannique. Une menace sérieuse pour l’industrie. Crise humanitaire dans les réserves amérindiennes. Le gouvernement fédéral vient de mettre sous tutelle la réserve amérindienne Attawapiskat, où plusieurs familles vivent dans des conditions particulièrement difficiles.
Ulcérés par cette décision «paternaliste», les chefs des Premières Nations font appel à l’ONU. Réunis d’urgence à Ottawa le mardi 6 décembre, les leaders des peuples autochtones ont demandé aux Nations unies de dépêcher un rapporteur au Canada afin d’enquêter sur la pauvreté qui afflige leurs communautés, en particulier dans la réserve d’Attawapiskat, et de faire pression sur le gouvernement canadien pour qu’il respecte les traités conclus avec les Premières Nations. Le Vatican canonise pour la première fois une Amérindienne. Celle qu’on appelle le Lys des Mohawks comptait parmi les sept saints canonisés le 21 octobre au Vatican par le pape Benoît XVI. DOUBLE PEINE. Les Amérindiennes, oubliées de la société canadienne. ANTHROPOLOGIE. Cet étrange lien qui unit Eurasiens et Amérindiens. CANADA. Quand les Amérindiens s’y mettent aussi.
Grâce au pétrole, l’Alberta est une province canadienne florissante. CANADA. Amérindiennes en colère. Canada. Amérindiens : un génocide culturel. Canada : silence, on assassine les Amérindiennes. Pura Fe - My people My Land - clip.