Internationalisation. Synthèse fondements du CI Gilles Robert.docx. Synthèse cours chapitre 6 Grandclaude. Tses chapitre 4 commerce international cours de Kevin Hedé. TC02 mondialisation Synthèse d'un collègue. Carte mentale Commerce International. SES cours de Tle : expliquer les échanges internationaux. SES cours de Tle : l'internationalisation de la production.
SES cours de Tle : libre-échange ou protectionnisme ? PRODUCT 1/10 (SERIE ARTE) - LA CREVETTE. L'Iphone, un produit made in monde. Fragmentation de la chaîne de valeur. Qu’est-ce que le libre échange? Comparative Advantage. Avantage comparatif et coût d’opportunité : des gagnants sur toute la ligne. Mondialisation : le tour du monde d'un jeans. Portugal : le plus grand producteur de vélos d’Europe. Pour franceinfo, le respect de votre vie privée est une priorité.
Dessine-moi l'éco : Qu'est-ce que l'avantage comparatif ? Jamy retrace l'itinéraire d'un jean. (7) C'est quoi la courbe de l'éléphant ? Avec Branko Milanović. La compétitivité, c'est quoi ? Et comment l'améliorer ? Olivier Passet, Xerfi - La déglobalisation c'est faux ; place à l'hyperglobalisation : voilà pourquoi. Lorsque l’on met bout à bout les arguments qui plaident en faveur d’une « déglobalisation » du monde, la tendance paraît inéluctable.
Et la crise sanitaire n’a fait que renforcer un argumentaire qui s’allonge crise après crise. Une déglobalisation focalisée sur les échanges de marchandises Derrière cette idée, il y a d’abord le constat que la dynamique du commerce mondiale de biens, issue d’une explosion des échanges croisés entre les régions du monde s’est cassée depuis le milieu des années 2000.
Il y a ensuite le fait que le géant chinois ne se contente plus d’être un segment à faible valeur ajoutée dans les chaînes de valeur du monde. Le pays que l’on avait cantonné au rôle de pays-atelier, d’assembleur, n’est plus cette plaque tournante alimentant le jeu des importations/réexportations. Il y a les effets inéluctables d’une transition écologique qui plaide en faveur de circuits plus courts et traçables, réhabilitant la sous-traitance rapprochée. Containers : la vie en boîtes #DATAGUEULE 33. Le commerce mondial est-il dangereusement vulnérable ? - 28 Minutes - ARTE. Les firmes multinationales et leur localisation. Le commerce international dans la pensée économique. Rapport parlementaire 2014 libre échange. La mondialisation des chaînes de valeur : entretien avec Ariell Reshef et Gianluca Santoni.
Ariell Reshef est directeur de recherche CNRS au Centre d'Économie de la Sorbonne (Paris 1 Pantheon-Sorbonne), professeur associé à Paris School of Economics et conseiller scientifique au CEPII.
Gianluca Santoni est économiste au CEPII. Ils ont rédigé, avec Sébastien Jean, le chapitre II « Les chaînes de valeur mondiales à l'épreuve de la crise sanitaire » de la publication annuelle du CEPII, L'économie mondiale 2021 (La Découverte, coll. Repères, septembre 2020). Une histoire de la guerre économique. En lançant en 1889 sa flotte contre les jonques chinoises, l’Empire britannique déclare une des premières guerres motivées par les seuls intérêts économiques.
Déplorant une balance commerciale largement déficitaire avec la Chine, le Royaume-Uni veut lui vendre ses stocks d’opium par la force. Face à la résistance de l'Empire des Qing, les Britanniques passent à l’offensive au nom du libre-échange, dont ils sont convaincus des vertus pacificatrices. Depuis cette histoire exemplaire des relations ambiguës entre États, de la coopération à la compétition féroce, les guerres commerciales se sont répétées, de plus en plus sophistiquées mais pas toujours moins sanglantes.
L’avènement de la révolution industrielle, du libéralisme puis de la mondialisation ont multiplié les sources de conflits, entre conquêtes territoriales, espionnage, captation des savoirs par chantage ou encore désinformation... COVID-19 : l'impact de la Chine dans les chaînes de valeur mondiales. Acteur encore mineur du commerce international au milieu des années 90, la Chine c'est désormais près de 11% des exportations mondiales de biens et services et un peu plus de 10% des importations, ce qui place l'Empire du milieu au 1er rang des pays exportateurs devant les Etats-Unis et l'Allemagne et à la 2ème place des pays importateurs derrière l'Amérique.
Le choc subi par l’industrie dans la crise sanitaire a été un révélateur pour l’Allemagne. La situation dramatique du nord de l’Italie pendant la crise du Covid-19 a été un choc pour beaucoup de responsables politiques allemands.
Tous évoquent l’émotion suscitée par la crise hospitalière en Lombardie, épicentre italien de la pandémie. Et tous constatent la dépendance industrielle de l’Allemagne aux régions les plus touchées, devenue depuis mars un sujet majeur de préoccupation et l’un des ressorts de la conversion d’Angela Merkel au plan de relance, financé par une dette commune, soumis au Conseil européen, vendredi 17 juillet à Bruxelles. « L’Italie du Nord est très performante dans la production de certaines pièces qui sont essentielles dans l’industrie automobile : les pièces de fonte, les faisceaux de câblage, l’électronique et les techniques de connexion, explique Jürgen Braunstetter, chef du département supply chain (chaînes de fournisseurs) du groupe de pneumatiques allemand Continental, basé à Hanovre (Basse-Saxe) et présent dans 60 pays.
Guerre commerciale : l’Europe s’arme enfin. « Le jour d’après ne ressemblera pas au jour d’avant », promet-il, la main sur le cœur.
Ce jour-là, le 31 mars, Emmanuel Macron rend visite aux salariés de l’usine Kolmi-Hopen, produisant des masques à Saint-Barthélemy-d’Anjou (Maine-et-Loire), près d’Angers. Alors que la première vague de la pandémie de Covid-19 frappe l’Europe, certains pays membres se découvrent, avec stupeur, à court de masques, de médicaments et de matériel médical, en grande partie fabriqués en Asie. Pour répondre à l’inquiétude des Français, le chef de l’Etat s’engage alors : le combat contre le virus sera aussi celui des relocalisations. « Notre priorité est de produire plus sur le sol national pour réduire notre dépendance, martèle-t-il.
Nous devons rebâtir notre souveraineté nationale et européenne. » Article réservé à nos abonnés Lire aussi Avec le Covid-19, l’Allemagne a compris l’urgence de renforcer la « souveraineté » technologique européenne.