Quelques grandes figures de l'industrie lyonnaise - P.G. Flacsu, histoire et généalogie. A côté, et souvent à partir des petites entreprises traditionnelles de la soie et du textile, des hommes vont faire naître de grandes entreprises qui ont profondément marqué le développement de l'agglomération lyonnaise.
L'Echo de la Fabrique - Table des matières. Canutdelacroixrousse. L'insurrection ouvrière de Lyon en 1831 et le rôle de Pierre Charnier. Vincelles, un petit hameau du Jura, avait combattu dans les rangs de l'armée lyonnaise pendant le siège de 93.
Sa mère, Agathe Riboulet, était issue d'une vieille famille paysanne de Lentilly, un petit village des environs de Lyon. Famille de paysans très aisés, car, écrit Charnier, «après la mort de mon grand-père maternel (survenue en 1806) son domaine s'est vendu 22.000 francs ». Mais le père de Charnier meurt jeune, à 31 ans, en 1801. La mise en nourrice, une pratique répandue en France au XIX e siècle - PDF Free Download. 1 Transtext(e)s Transcultures 跨文本跨文化 Journal of Global Cultural Studies Genre et filiation : pratiques et représentations La mise en nourrice, une pratique répandue en France au XIX e siècle Emmanuelle ROMANET Édition électronique URL : DOI : /transtexts.497 ISSN : Éditeur Gregory B.
Lee Référence électronique Emmanuelle ROMANET, «La mise en nourrice, une pratique répandue en France au XIX e siècle», Transtext(e)s Transcultures 跨文本跨文化 [En ligne], , mis en ligne le 02 décembre 2013, consulté le 30 septembre URL : ; DOI : /transtexts.497 Ce document est un fac-similé de l'édition imprimée. Tous droits réservés 2 Transtext(e)s Transcultures Journal of Global Cultural Studies : Genre et filiation : pratiques et représentations Pères, mères, nourrices La mise en nourrice, une pratique répandue en France au XIX e siècle EMMANUELLE ROMANET Résumés Français English La mise en nourrice des enfants des villes à la naissance est une réalité en France au XIXe siècle. F65 xp bat2. Grève des ovalistes. Ouvrières d’un atelier de moulinage vers 1910 Les ovalistes étaient des ouvrières de la soie.
Elles sont connues notamment au travers la grève des ovalistes qui eut lieu à Lyon en 1869. Le métier d'ovaliste[modifier | modifier le wikicode] Les ovalistes appliquaient des traitements préparatoires au fil de soie grège au sortir de la filature, afin de le rendre propre au tissage (l’ovale étant la pièce centrale du moulin qu’elles surveillaient). Cette activité s’appelle également le moulinage.
Les ovalistes étaient des jeunes femmes recrutées dans les campagnes voisines de Lyon, ou immigrées italiennes. Si elles ne meurent pas avant d’une tuberculose due à leurs conditions de travail, elles économiseront peut-être une petite dot pour un mariage. Cmo 024. François GILLET (1813 – 1895) : Millenaire 3, Territoire. Il est né le 10 décembre 1813 à Bully dans les Monts du lyonnais de parents paysans et analphabètes.
Il est l’aîné d’une famille de trois enfants. Histoire de la soierie à Lyon. L’histoire de la soierie à Lyon comprend l'étude de l'ensemble des acteurs de l'industrie de la soie à Lyon.
Le secteur soyeux lyonnais tout au long de son histoire comprend toutes les étapes de la fabrication et de la vente d'un tissu en soie à partir de la soie grège : filature, création d'un motif, tissage, apprêt, commercialisation. L'ensemble du secteur est dénommé la « Fabrique ». L'arrivée, au début du XVIIe siècle, du métier à la tire permet à la Fabrique de maîtriser les tissus à motifs. Son essor européen commence avec le règne de Louis XIV, la mode de la cour de Versailles s'imposant à toutes les autres cours européennes, et entraînant la soie lyonnaise du même coup.
Au XVIIIe siècle, les soyeux lyonnais maintiennent leur position grâce à de constantes innovations techniques, des dessinateurs de qualité et une innovation stylistique permanente. La soie avant son arrivée à Lyon[modifier | modifier le code] L'origine chinoise[modifier | modifier le code] Le choc est très violent. Recits et contes populaires de Lyon (les canuts lyonnais). A la fin du XVIIIe siècle, les maîtres tisseurs sont disséminés dans la ville de Lyon ; si l'on en trouve dans le quartier du Gourguillon, il y en a aussi dans celui de la place neuve, dans celui du port Saint-Paul, à Pierre-Scize et à Porte-Froc.
Les ateliers sont également nombreux à la Grand'Côte, à Saint-Vincent, à Saint-Georges ou encore à la Juiverie. La manufacture est donc bien enfermée dans la ville, groupée dans ses murs. Les récits des voyageurs d'alors nous rapportent que la plupart des maisons sont d'une hauteur excessive, "car elles ont six ou sept étages au-dessus de celui qui est sous terre". Les fenêtres sont fermées avec du papier blanc, parfois entièrement, d'autres fois uniquement dans leur partie inférieure. Le châssis qui supporte ce simple papier huilé s'ouvre de bas en haut au moyen d'une corde.
Histoire de la Soie de Lyon - les Soyeux, les Canuts. La Fabrique est un terme utilisé pour désigner l'ensemble des acteurs de l'industrie de la soie, en particulier à Lyon (mais également à Tours et St-Étienne).
XVe siècle : La naissance de la Fabrique : Au XVe siècle, Lyon est un lieu d'échanges important (site au confluent du Rhône et de la Saone, trois voies romaines partent de Lugdunum) à qui Charles VII donne le droit d'organiser deux foires où se vendent de nombreuses soieries en provenance d'Italie. Pour éviter une « fuite des devises »[1] (déficit commercial), Louis XI, par l'ordonnance du 23 novembre 1466, souhaite créer la première manufacture de soie à Lyon (aux frais de la ville). Mais les Lyonnais trainent les pieds, et trois ans plus tard, les ateliers sont finalement transportés à Tours.
Justin Godart, docteur en droit. L'Ouvrier en soie. Monographie du tisseur lyonnais. Étude historique, économique et sociale. 1ère partie : La Réglementation du travail (1466-1791). Lyon et Paris, 1899. Un second traitera de l'histoire du tisseur lyonnais sous le régime de la liberté du travail (1791-1884), un troisième l'étudiera sous le régime actuel, liberté du travail et liberté d'association (de 1884 à nos jours).
C'est donc un véritable monument que l'avocat à la cour d'appel de Lyon projette d'élever à la gloire d'une des plus brillantes industries de notre pays. Les assises de ce monument sont faites d'excellents matériaux. M. Pierre Charnier. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Un intérieur de « Canut » au XIXe siècle. Le canut[modifier | modifier le code] Il est le fils de Pierre Charnier père, épicier, et Agathe Riboulet, blanchisseuse[2]. À 12 ans, il est placé apprenti chez le chef d’atelier François Blanc « l’un des plus riches tisseurs de Lyon[3]». Il décrit son apprentissage comme « prospère et joyeux[3] ». En 1817, il acquiert son premier métier et monte en 1818 un atelier rue Saint-Marcel qui emploie deux compagnons.
Le mutuelliste[modifier | modifier le code] Révolte des Canuts de 1831. Premiers articles du règlement la Société du Devoir mutuel (20 juin 1828)[4]: Art. C'est novembre, les canuts reviennent à Lyon ! Le tissage au 19eme siecle.