Cvuh: « Ma parole ! » en réponse à Barbara Lefebvre par Laurence De Cock, professeure d’histoire-géographie au lycée Joliot Curie de Nanterre et formatrice à l’IUFM de Versailles. En réponse à l’article de Barbara Lefebvre dans Le Monde du 8 mars 2006 : « Des barbarismes à la barbarie ».
Dans un article du Monde du 8 mars 2006, Barbara Lefebvre 1 établit un lien direct entre les « barbarismes » énoncés en toute impunité à l’école par une catégorie des populations de nos banlieues et la barbarie des crimes dont ont été victimes Ilan Halimi et Sohane. Que le langage soit porteur d’une dimension performative va de soi ; mais que l’on s’improvise linguiste pour user sans complexe et sans pudeur de citations bien choisies aux fins d’étayer simplement une thèse mensongère et infamante relève de l’imposture intellectuelle peu digne d’un enseignant. Du nouveau dans la réflexion : l’école, lieu de gestation de la barbarie ; l’école, terreau de la haine et plus particulièrement de l’homophobie et de l’antisémitisme... et poussons plus loin l’analyse de texte : qui seraient ces « petits tyrans », qui « prétendent respecter leurs mères et leurs soeurs » ?
Notes : 1. 2. 3. Caméra perdue en territoire de la République. Jeudi 22 octobre a été diffusé sur France 3 un documentaire intitulé « Profs en territoire perdus de la République ?
» Celui-ci, dans le contexte post-Charlie, réactive l’approche contestable qui était au fondement de l’ouvrage « Les territoires perdus de la République » paru en 2002. Rédacteurs/rices : Vincent Capdepuy, Vincent Casanova, Laurence De Cock, Eric Fournier, Hayat El Kaaouachi, Samuel Kuhn, Fanny Layani, Servane Marzin, Véronique Servat. 2002 : Retour préalable sur un ouvrage. Histoire à l'école : "Il faut lutter par les savoirs contre l'ignorance" INTERVIEW - Secrétaire général de l'Association des professeurs d'histoire et géographie (APHG), Hubert Tison revient pour leJDD.fr sur les propos du Premier ministre, Manuel Valls, qui lundi sur RTL a affirmé, en réponse aux récents attentats et à la montée de l'antisémitisme, que "deux matières doivent être renforcées à l'école" : l'histoire et le français.
"Il faut comprendre notre propre Histoire, d'où nous venons, nos valeurs", a déclaré Manuel Valls, qui estime qu'il faut "renforcer" cette matière l'école. Quelle est votre réaction? J'approuve entièrement ce discours. Il me paraît répondre à une situation qui s'est dégradée ces dernières années et à laquelle l'école doit répondre, même si elle ne doit pas être la seule. On ne peut rien comprendre à notre histoire présente sans puiser dans notre passé les éléments de compréhension du présent. 1) Introduction du dossier Figaro Histoire : « la vérité sur l’Histoire à l’école » ou les mensonges du Figaro.
Rédacteurs : Laurence De Cock, Eric Fournier, Guillaume Mazeau 1979 : depuis quelques années, une réforme des programmes d’histoire peine à s’instituer.
A l’école primaire, les activités d’éveil ont remplacé les cours disciplinaires et, dans le collège unique à peine naissant, le ministre René Haby tente de faire admettre un enseignement de sciences sociales qui mêle histoire, géographie et économie. L’association des professeurs d’histoire-géographie s’alarme dès 1976 de cette dissolution disciplinaire. C’est le rôle d’une association corporatiste d’exercer une vigilance sur les changements d’une discipline. En octobre de la même année, Alain Decaux, féru d’histoire, fait une conférence à Vichy. Il suffit parfois d’un mélange de narcissisme, de machisme et d’un bon réseau relationnel pour faire éclater une véritable controverse. TRIBUNE. "Non à l'instrumentalisation de l'histoire par les politiques !" : l'Association des professeurs d'histoire-géo réplique à François Fillon.
Jeudi 24 novembre, lors du débat de l'entre-deux-tours de la primaire de la droite, François Fillon a de nouveau remis en cause la manière dont est enseignée l'histoire à l'école primaire.
Partisan d'un "récit national", l'ancien Premier ministre a promis de faire réécrire les programmes par trois académiciens s'il est élu président. Dans une tribune publiée par franceinfo, Hubert Tison, agrégé d'histoire, secrétaire général de l'Association des professeurs d'histoire et de géographie (APHG) et Christine Guimonnet, secrétaire générale adjointe de l'association et professeure d'histoire-géographie dans un lycée de Pontoise (Val-d'Oise) lui répondent.
Ils s'expriment ici librement. Il n'y a que dans les Etats totalitaires et autoritaires qu'existe une histoire officielle, le plus souvent instrumentalisée à des fins politiques et idéologiques, quand elle n'est pas délibérément travestie et faussée. Prix Annie et Charles Corrin - Le jury. Boris CYRULNIK Président Boris CYRULNIK – Neuropsychiatre et écrivain Coordinatrice FSJU Paule-Henriette LEVY - Directrice de l’action culturelle du Fonds Social Juif Unifié, Directrice d’Antenne de Radio RCJ Membres.
La Refondation du Concours National de la Résistance et de la Déportation - Le Souvenir Français. Tristan LECOQ, Inspecteur général de l’Éducation nationale.
Organigramme de la Fondation de la Résistance. Enseigner la Résistance. Captation vidéo. Enseigner la Résistance et la déportation.