La Quotidienne de la Croissance. Apple en tête du classement valorisation de BrandZ de Millward brown. Réponse avec l'édition 2015 du classement annuel BrandZ de Millward Brown : en tête du classement, Apple repasse devant Google... et 98 autres marques, dont la valorisation est en hausse de 14%.
De la guerre qui les oppose depuis 2011, Apple sort vainqueur face à son rivale Google ! La marque de Cupertino parvient à ce résultat grâce à une remarquable progression de 67% de sa valeur, désormais établie à 247 milliards de dollars. Google progresse également, mais de seulement 9%. Apple, la marque la plus valorisée au monde Comme le souligne Pierre Goumy, directeur général adjoint de Millward Brown France, dans le communiqué qui accompagne les résultats, " le succès d'Apple repose principalement sur l'engouement du public pour l'iPhone 6, vendu à 74,5 millions d'unités en trois mois (vs 47,8 millions d'iPhone 5 sur la même période en 2013). Le dynamisme des marques venues du digital Source : Millward Brown Quatre points clés de l'édition 2015 (extraits) :
Ces milliardaires qui spéculent sur l'avenir de la planète - Oligarchies. En photo : Action du « Sauvons les riches » anglo-saxon (Billionaires for Bush) / source Ils sont 50.
Cinquante milliardaires à être pointés du doigt pour leur responsabilité individuelle dans la dégradation du climat. Ils tirent leurs richesses d’activités très polluantes, et n’hésitent pas à dépenser des millions pour influencer gouvernements et opinions. Leurs fortunes cumulées représentent 613 milliards d’euros. À 50, ils pèsent financièrement davantage que le Fonds européen de stabilité, censé défendre la zone euro – 17 pays – contre la spéculation.
Leur volumineux rapport, Outing The Oligarchy [1], a pour objectif « d’attirer l’attention du public sur les individus ultrariches qui profitent le plus – et sont les plus responsables – de l’aggravation de la crise climatique ». L’homme qui valait 63,3 milliards Ces 50 milliardaires sont états-uniens, russes, indiens ou mexicains. Les nouvelles oligarchies émergentes. 737 maîtres du monde contrôlent 80 % de la valeur des entreprises mondiales - Capitalisme. Une étude d’économistes et de statisticiens, publiée en Suisse cet été, met en lumière les interconnexions entre les multinationales mondiales.
Et révèle qu’un petit groupe d’acteurs économiques – sociétés financières ou groupes industriels – domine la grande majorité du capital de dizaines de milliers d’entreprises à travers le monde. Crédit : Michael Aston Leur étude, à la frontière de l’économie, de la finance, des mathématiques et de la statistique, fait froid dans le dos. Trois jeunes chercheurs de l’Institut fédéral de technologie de Zurich [1] ont scruté les interactions financières entre multinationales du monde entier. Leur travail – « The network of global corporate control » (le réseau de domination globale des multinationales) – porte sur un panel de 43.000 groupes (« transnational corporations ») sélectionnés dans la liste de l’OCDE.
Ces 147 sociétés qui dominent le monde. L’économie mondiale est hyperconcentrée, selon une équipe de chercheurs de Zurich.
Leur étude souligne la fragilité d’un système financier contrôlé par un petit groupe de multinationales, liées entre elles par des participations croisées. La science apeut-être bien confirmé les pires craintes des indignés qui ont manifestécontre le pouvoir financier. L’étude des relations entre 43 000 multinationales a en effet mis en évidence l’existence d’un groupe relativementrestreint de sociétés – pour la plupart des banques – jouissant d’une influencedisproportionnée sur l’économie mondiale. Selon lesspécialistes des systèmes complexes que nous avons interrogés, ces travaux, quifournissent une remarquable tentative d’analyse du pouvoir économique mondial,pourraient servir de base de travail pour définir les moyens de renforcer lastabilité du capitalisme.
Qui possède les médias ? " La presse libre n’existe pas.
Vous, chers amis, le savez bien, moi je le sais aussi. Aucun de vous n’oserait donner son avis personnel ouvertement. Nous sommes les pantins qui sautent et qui dansent quand ils tirent sur les fils. Notre savoir faire, nos capacités et notre vie même leur appartiennent. Nous sommes les outils et les laquais des puissances financières derrière nous. 1. L’article 19 de la Déclaration des droits de l’homme de 1948 indique : « tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. » De plus, Victor Hugo, cité par Médiapart [1], a dit : « Le principe de la liberté de la presse n’est pas moins essentiel, n’est pas moins sacré que le principe du suffrage universel. 2.
Les médias sont très nombreux. Que reste-t-il ?